L’Algue Klamath : l’un des aliments les plus complets de la planète : Elle protège les fonctions neuronales et cognitives, améliore l’humeur et a un effet revitalisant !

Elle n’arrête pas d’étonner ! D’abord parce que les chercheurs, qui confirment qu’il s’agit de l’un des aliments si ce n’est l’aliment le plus complet de la planète, rien que ça, ont récemment confirmé son action bénéfique dans la protection des fonctions neuronales et cognitives. Ensuite parce que les consommateurs font part, à un pourcentage élevé, de leur satisfaction de l’utilisation de ce multivitamines naturel et envoient régulièrement des témoignages.

Pour ceux qui ne connaissant pas encore, il s’agit en quelque sorte d’une « super spiruline sauvage », qui ne pousse que dans un seul endroit, un endroit unique au monde, en plein centre de la chaîne des Rocheuses. 

Historique

Daryl Kollman, un enseignant ne se doutait pas de ce qu’il allait découvrir lorsque, intimement persuadé d’un lien entre difficultés d’apprentissage et alimentation, il commença à s’intéresser aux algues. « Je savais que la concentration est un pré-requis à l’apprentissage et que les  enfants en manquait de plus en plus. Si je voulais réussir avec ma classe, il fallait faire quelque chose pour améliorer l’alimentation des enfants« .

Il se tourna d’abord vers les algues telles que la spiruline et la chlorelle, riches en nutriments, mais ses pas ont finis par le guider vers le lac klamath, rapporte Didier Le Bail dans une chronique du magazine Rebelle-santé. Ce serait sa teneur en phényléthylamine ou PEA qui serait parvenu jusqu’à ses oreilles. Le PEA est en effet connu pour favoriser l’activité intellectuelle en augmentant la capacité de concentration. A la suite d’une cure d’algue klamath, des enfants en échec scolaire et souffrant de troubles de l’attention (TDAH), ont constaté une amélioration notable de leur état, parfois au point de pouvoir stopper leur traitement médicale. Daryl Kollman avait réussi à trouver un « aliment complet » permettant d’aider ses élèves !

En 1982, Daryl et son frère créèrent une des premières sociétés ayant pour objectif de récolter, traiter et distribuer l’algue klamath.

Qu’est ce donc que l’algue bleu-vert Klamath ?

L’Aphanizomenon flos-aquae (ou AFA), qui est son nom scientifique, est extraite d’un lac du sud de l’Orégon, situé à 1 400 mètres d’altitude, protégé de toute pollution industrielle : le lac Upper Klamath de 250 km2 réceptionnant des milliers de cascades naturelles claires comme le cristal, il est extrêmement riche en minéraux et connaît 300 jours de soleil par an. On y trouve une micro-algue qui ne se développe nulle part ailleurs, se reproduit en 4 jours, ayant la capacité de métaboliser l’azote moléculaire de l’eau, de la terre mais aussi de l’air. Parmi les aliments les plus riches en phytonutriments, elle possède des propriétés curatives dans les maladies dégénératives et nerveuses.

Apports : plus de 115 micro-nutriments, plus de 50% de protéines, tous les acides aminés (deux semi-essentiels et 6 parmi les non essentiels), calcium, cuivre, fer, phosphore, potassium, magnésium, sélénium, silice, germanium, zinc, acides gras insaturés, des nucléoprotéides (structures de base de l’ADN et ARN), de nombreux peptides dont les neuro-peptides qui renforcent et réparent les cellules nerveuses, tout un spectre d’hormones végétales, de pigments oxygénants et antioxydants, précurseurs de vitamines (vitamines B1, B2, B3, B6, B8, B12, C, E), des enzymes et coenzymes, du bêtacarotène (provitamine A : l’algue bleue en contient dix fois plus que les carottes), de la lutéine, zeaxanthine, du Iycopène et de l’aphanine, un caroténoïde unique à cette espèce, de la chlorophylle (les algues en possèdent le taux le plus élevé de tous les aliments connus)…

De fait on considère l’AFA comme probablement l’aliment le plus complet de la planète, l’alicament par excellence…

Comme toutes les plantes, elle transforme la lumière du soleil en chlorophylle, alors même que sa paroi cellulaire ne soit pas constituée de cellulose.

Comme les hommes et les animaux, leur paroi cellulaire est faite de protéines.

Comme les bactéries, l’information génétique est distribuée dans la totalité de la cellule, et pas uniquement dans le noyau. Cela lui permet de s’adapter rapidement à tous les changements extérieurs.

De par sa richesse en nutriments, la klamath est bénéfique sur de nombreux plans : immunité, digestion, purification de l’organisme grâce à son taux élevé en chlorophylle, etc…

Elle est un aliment complètement naturel puisque sauvage, des plus complets, parfaitement assimilé par l’organisme grâce à sa structure synergique quasi parfaite, agissant comme un bio modulateur orthomoléculaire.

Fortifiant, Revitalisant, Reconstituant de l’organisme par son apport nutritionnel quotidien en doses infimes, l’Algue Klamath se présente comme une des alternatives les plus sérieuses face aux diverses carences dues au mode de vie moderne, aux déséquilibres alimentaires et aux pollutions présents dans notre environnement.

Acides gras essentiels Omega 3 et omega 6. Une alimentation riche en acides gras essentiels, particulièrement en omega-3, est indispensable au bon fonctionnement des systèmes immunitaire, nerveux et cardio-vasculaire. Les acides gras, qui furent classés pendant un certain temps comme facteurs vitaminiques F, constituent un important facteur de croissance chez les enfants et représentent 60% de la matière du cerveau, au sein duquel ils assurent une bonne communication intercellulaire en favorisant la transmission et la réception de l’influx nerveux. Transportés par des corps protidiques (vitamine B7, J, méthionine…), ils sont indispensables à la bonne utilisation des vitamines liposolubles et constituent la base de nombreuses substances à activité hormonales, les prostaglandines, importantes dans la régulation de presque tous les processus de l’organisme. Transformés en phospholipides directement assimilables au cours de la digestion, les acides gras interviennent au plan énergétique. Rapidement oxydés par le myocarde, ils constituent la principale source d’énergie du cœur.

Leur importance primordiale en tant que facteur préventif de l’athérome (cholestérolémie, dépôt de gras dans les artères, plaques athéromateuses) a été mise en évidence depuis longtemps. En effet, ce sont eux qui régulent le métabolisme des graisses et l’activité de la vésicule biliaire. Les acides gras jouent un rôle primordial dans la perméabilité osmotique des cellules. Intervenant dans la constitution des membranes cellulaires et des enzymes, ils améliorent les échanges cellulaires et préviennent l’accumulation des déchets.

Etant donné que le maintien de la santé est directement lié à la qualité de nos membranes cellulaires, ils sont essentiels au maintien de celle-ci, de même qu’à la qualité de la peau et des phanères, reflet extérieur d’une bonne santé. Ils sont saturés lorsque leur molécule ne peut plus fixer un nouveau corps. Comme pour les acides aminés on distingue les essentiels, Omega 3 et Omega 6, et les non essentiels qui constituent la réserve de matière pour les biosynthèses et la substance énergétique du cœur. Ce sont des acides organiques composés de carbone, hydrogène et oxygène, comme tous les acides organiques, mais ils ne renferment que quelques atomes d’hydrogène à fonction acide.

Ce sont donc des acides faibles qui peuvent encore fixer de l’hydrogène par catalyse, et ainsi se lier à d’autres molécules pour favoriser les échanges ioniques. Certains atomes de carbone possèdent des liens doubles, ce qui entraîne une modification spatiale de la molécule par rapport aux chaînes linéaires. Cette différence d’organisation se répercute notamment sur la densité de ces corps gras en modifiant le point de fusion. Les appellations Omega 3 et Omega 6 désignent tout simplement l’atome de carbone sur lequel se trouve le premier de ces liens doubles, correspondant aux régions d’insaturation de la molécule.

Avec plus de 60% de son poids, l’Algue Bleue présente un taux protéique des plus élevés du règne végétal. C’est une protéine exceptionnelle, complète, de faible poids moléculaire, donc facilement assimilable.

Phényléthylamine et système nerveux. 

Le témoignage le plus courant des consommateurs d’Afa à long terme est cette sensation générale d’énergie décuplée ainsi qu’une meilleure faculté de concentration. Plusieurs enfants en échec

scolaire, souffrant de déficit d’attention, accompagné ou pas de syndromes d’hyperactivité, ont expérimenté une nette amélioration de leur condition, souvent au point d’interrompre leur traitement médicamenteux avec des drogues telles que le méthylphénidate. D’autres ont stoppé leur traitement aux antidépresseurs après quelques mois de consommation d’Afa. Une étude conduite en collaboration avec l’Université du Nouveau-Mexique auprès de patients souffrant de traumatismes crâniens légers, a démontré grâce aux encéphalogrammes que l’Afa stimule l’activité cérébrale et favorise grandement certains processus de régénération. Cette étude comparative démontra une nette diminution du temps de traitement lorsque celui-ci est combiné avec les algues, à raison de cinq semaines pour un résultat identique à cinq mois de traitement conventionnel sans les algues. Une étude rétrospective faite par l’Université de l’Illinois rapporte l’amélioration de plusieurs cas de dépressions, de déficit d’attention chez les enfants et de fatigue chronique.

En général, l’effet des algues a un retentissement sur le bien-être, l’humeur et la qualité de vie. Une analyse a révélé la présence de phényléthylamine (PEA) dans l’Afa. Cet acide aminé produit par le cerveau est connu pour ses facultés d’amélioration de l’humeur. C’est un puissant agent antidépresseur qui joue en outre un rôle important dans la pathogenèse des déficits d’attention. Dépression Il y a plus de vingt ans, il fut démontré que la quantité de PEA dans le cerveau des personnes dépressives était nettement. diminuée en comparaison d’un individu normal, et que la prise orale de PEA avait pour effet de rétablir les conditions. Une diminution de PEA semble dès lors étroitement associée à certaines formes de dépressions. A cette même époque, on remarqua que la plupart des médicaments antidépresseurs agissaient en stimulant la production de PEA par le cerveau. D’après une étude comparative, la prise orale de PEA en consommant les algues a un effet spectaculaire dans 60% des cas. Ces patients présentent une diminution des symptômes et ne développent aucune tolérance ni aucun des effets secondaires caractéristiques des thérapies aux antidépresseurs (nausée, fatigue, diminution de la libido, problèmes cardio-vasculaires, etc.). La PEA reste donc efficace avec le temps et ces patients auraient plutôt tendance à perdre le poids attribué aux thérapies conventionnelles (antidépresseurs, anxiolytiques).

Déficit d’attention, hyperactivité des enfants : La synthèse de la PEA par le cerveau se fait à partir de deux autres acides aminés, la phénylalanine et la tyrosine. Dégradée en acide phénylacétique par l’enzyme monoamine-oxydase, la PEA est éliminée dans l’urine. Or, la PEA et l’acide phénylacétique sont tous deux diminués dans l’urine des patients atteints de déficit d’attention, et les deux précurseurs de la PEA, la phénylalanine et la tyrosine, sont également nettement diminuées dans le plasma de ces patients. L’hypothèse de la PEA sur le comportement affectif suggère que ce neuromodulateur endogène est responsable de l’excitation, de l’euphorie, ainsi que de l’état d’éveil et de vigilance. Structurellement proche des amphétamines et des catécholamines, la PEA induit des effets électrophysiologiques et de comportement similaires aux dérivés de ces substances, comme celles, par exemple, qui sont utilisées dans le traitement des déficits d’attention. En tant que composé endogène du cerveau, la PEA n’engendre par contre aucune dépendance ni aucun effet secondaire typiques des médicaments traditionnellement utilisés dans le traitement des déficits d’attention. Ces derniers agissent d’ailleurs en stimulant la production de norépinephrine et de PEA. Au stade préliminaire des plus récentes recherches, il semblerait qu’un concentré de PEA provenant d’un extrait d’Afa provoque une amélioration de la concentration et des performances intellectuelles dans les 10 minutes qui suivent l’ingestion. Bien que les grands pontes de la médecine industrielle déclarent que la dose contenue dans les algues n’est pas suffisante, la PEA contenue dans l’Afa représente assurément un moyen naturel sûr et efficace pour améliorer les conditions de personnes souffrant de déficit d’attention, comme le confirment les nombreux témoignages.

Amélioration générale de l’humeur : l’hypothèse de la PEA sur le comportement affectif suggère également que ce composé est responsable de l’expérience du plaisir, de l’euphorie amoureuse et de la libido. Or, l’Afa ne contient pas seulement de la PEA, mais également ses deux précurseurs, la phénylalanine et la tyrosine, deux acides aminés essentiels, ainsi que du tryptophane, de la valine, lysine, leucine, isoleucine, de l’acide glutamique et une grande sont autant d’aliments nécessaires Au bon fonctionnement du cerveau. Il a été démontré que la phénylalanine stimule grandement la production de PEA. Dans une autre étude, la phénylalanine s’est montrée efficace dans le traitement de patients dépressifs qui présentaient un taux d’acide phénylacétique bas dans les urines. Prises dans leur ensemble, ces données semblent expliquer, ou du moins confirmer les milliers de témoignages enthousiastes concernant l’amélioration générale des facultés mentales et de l’humeur qu’engendre l’Afa.

Un effet revitalisant, augmentation de la concentration, une sensation d’énergie mentale et de bien-être, élévation du moral voir un effet anti-dépresseur dû à la phényléthylamine (PEA), acide aminé proche des amphétamines et des catécholamines (n’entrainant ni dépendance ni effet secondaire), familièrement nommée « la molécule du bonheur ». De ce point de vue, son action est comparable à celle de la spiruline. Réduction et soulagement du stress, des appréhensions, des dépressions. Soulage des symptômes d’épuisement, de léthargie et d’anxiété, améliore la mémoire, mental plus clair, meilleure capacité de concentration, amélioration de l’intuition, augmentation générale de la vitalité.

Système immunitaire. Une action de stimulation du système immunitaire : un polysaccharide unique à l’AFA stimule rapidement après son absorption l’action des globules blancs.

Alors qu’elle stabilise et diminue la production de radicaux libres par les cellules polynucléées, l’Afa contient en revanche un polysaccharide capable de stimuler les macrophages de façon exceptionnelle. Première ligne de défense du système immunitaire, les macrophages constituent le premier réflexe du corps lors de toute infection. L’Afa a la propriété unique de stimuler la migration de monocytes et de lymphocytes T et B. Les cellules tueuses du système immunitaire sont un type de lymphocytes-T, programmés pour la détection et la destruction des cellules cancéreuses et des cellules infectées par des virus au sein des tissus de l’organisme.

Dans une étude réalisée en double aveugle sur 21 volontaires en bonne santé, il fut démontré que l’Afa stimule la migration de 40% des cellules tueuses deux heures après. Une analyse plus approfondie révéla que cet effet était à peine détectable chez les nouveaux consommateurs, alors qu’il s’accentuait avec le temps pour devenir maximal après quelques semaines de consommation quotidienne.

Des synergies d’antioxydants spécifiques. Plusieurs substances, comme le thé vert ou le ginkgo biloba, sont connues depuis longtemps pour stimuler l’activité des cellules tueuses du système immunitaire. Par contre, jusqu’à cette récente découverte concernant l’Afa, aucune de ces substances était réputée stimuler leur migration dans les tissus de l’organisme pour y supprimer les cellules qui présentent des signes de transformation anormale ou celles qui sont infectées par un virus. Les propriétés antimutagènes de l’Afa avaient déjà été mises en évidence mais cette nouvelle découverte démontre non seulement la capacité de prévenir le cancer ou la précancérose des tissus, mais également les maladies associées aux infections virales. Une récente étude comparative a révélé le profil glucidique et le potentiel irnmunostimulant des trois micro algues les plus utilisées (irnmunon : Afa, immuline : spiruline, iII1murella : chlorella ). Les résultats placent l’Afa en premier, suivie de la Chlorella pyrenoidosa, et enfin de la Spirulina platensis. Pour un résultat identique, les concentrations respectives sont de 10 mg/ml (Afa), 25 mg/ml (chlorella), et 50 mg/ml (spiruline).

Des propriétés anti-inflammatoires grâce à la phycocyanine, le pigment bleu de l’algue (inhibition de la cyclooxygénase).

Source potentielle d’agents antinéoplastiques, elle est riche en carotène bêta afin de réduire le risque de cancer, dans le cas de diète faible en gras, élevée en fibres, c’est un puissant neutralisant libre bloquant le processus par lequel une cellule normale peut devenir maligne.

Virologie : macromolécules, cancer et sida : Au cours des nombreuses recherches sur le cancer, on remarqua l’intérêt primordial des macromolécules des algues bleues et dont l’Afa est particulièrement riche. Toutes ses macromolécules sont d’un grand intérêt, notamment dans la chemoprotection, mais les recherches les plus récentes semblent désigner les glycolipides comme des composés de toute première importance. Plus particulièrement les sulfonoglycolipides et les phosphoglycolipides, ainsi que leurs macromolécules associées, les lipo-polysaccharides. Les algues bleues en renferment une quantité qui correspond à 1.5 % de leur poids sec. Ces molécules complexes entrent dans la constitution des parois cellulaires, des enveloppes et des membranes. En réalité, la division des nutriments en protides, lipides et glucides ne correspond pas tout à fait à la réalité des composés. En effet, dans la nature les relations entre les différents groupes donnent lieu à de complexes combinaisons moléculaires qui ne permettent pas de distinguer les composés de façon aussi précise. La couche qui entoure le protoplasme des cellules hétérocystes, par exemple, est composée de glycolipides.

La couche la plus externe des cellules d’Afa est un assemblage de polysaccharides non compactés, et l’enveloppe elle-même contient des polymères différents, dont des lipo-polysaccharides. Ces substances hétéropolysaccharides, comme les glycoprotéines et les lipopolysaccharides sont courantes chez les algues. Dans les recherches sur le SIDA, les composés de la classe des sulfolipides ont démontré une capacité d’inhibition de la réplication in vitro d’un des virus responsables du SIDA, le HIVl. Cette capacité concerne également de nombreux autres virus, comme le cytomégalovirus, le virus de l’influenza A, de l’herpès, de la rougeole et des oreillons.

Détoxifiant et purifiant. Pollution chimique, pesticides, métaux lourds : L’algue bleue est la plus ancienne forme de vie apparue sur la planète. Ayant traversé les époques sans aucun changement, elle est sans doute aussi la plus résistante, notamment aux microbes, avec qui elle vit généralement en symbiose, et surtout à la pollution. Elle constitue ainsi le plus puissant agent de chemoprotection (de l’anglais: protection contre les poisons chimiques). En conséquence de la spécificité des substrats, les molécules porteuses des enzymes, on doit s’attendre à trouver des substances assez proches pour s’associer en ses lieu et place à l’enzyme, sans toutefois être transformées. Si cette association est réversible, de tels analogues de substrats » entrent en compétition avec le substrat vrai pour sa fixation et provoquent une inhibition compétitive de la réaction. C’est le cas par exemple pour l’aigle d’Amérique, chez lequel certains pesticides se substituent au chélateur du calcium et en bloquent le métabolisme.

Le mécanisme par lequel l’Afa empêche ce phénomène est la combinaison de ses macromolécules, principalement des polysaccharides et des pigments, aux agents contaminants, favorisant ainsi leur élimination de l’organisme. Ces poisons métalliques et autres agents toxiques sont présents dans l’atmosphère et dans l’alimentation. Les métaux lourds, les métaux radioactifs, les pesticides et engrais chimiques, par exemple, font partie de ces composés particulièrement dangereux pour l’organisme. Les métaux lourds se déposent dans les tissus, les empoisonnent, ralentissent et perturbent leurs fonctions, notamment dans le foie et dans les reins. Plusieurs espèces de micro-algues ont démontré une capacité de fixation de ces substances et leur élimination l’organisme. Une recherche scientifique a mis en évidence leur fonction de protection des reins contre la toxicité de certains métaux lourds. Un polysaccharide présent dans les membranes cellulaires des micro-algues favorise la fixation et l’élimination des pesticides dans les intestins.

Les mêmes propriétés ont été attribuées à la chlorophylle, ainsi qu’à la phycocyanine, le pigment des algues bleues particulièrement abondant dans l’Afa. Les amalgames dentaires représentent une source de pollution constante dans l’organisme, à tel point que la pratique qui consiste à les remplacer par des céramiques et des résines est devenue très courante. Cette démarche s’accompagne généralement d’un drainage des organes grâce à des dilutions homéopathiques assez élevées des poisons métalliques. A Seattle, aux Etats-Unis, la clinique de détoxination du Docteur Klinghardt est spécialisée dans ce genre de procédure, grâce à son concept de neurobiologie, une méthode de plus en plus renommée. La formule du Docteur Klinghardt est un mélange de coriandre, d’ail des ours et d’une algue verte, la chlorelle.

Grâce à sa tunique de cellulose indigeste, cette dernière fixe les poisons métalliques que les autres composés drainent des organes et les élimine par le tractus digestif. Ayant eu connaissance des procédés du Docteur Klinghardt, nous avons testé la formule en remplaçant la chlorelle par l’Afa. Les résultats ont été au-delà de nos espérances. En effet, non seulement l’Afa réalise le même travail à un dosage dix fois moindre que la chlorelle, mais de surcroît, elle va chercher les métaux dans les tissus et les organes, cerveau y compris, alors que la chlorelIe n’agit que dans les intestins. Cette différence est probablement due au fait que l’Afa a une action synergique de plusieurs composés, alors que la chlorelle est intéressante pour son taux de chlorophylle, ses polysaccharides et ses membranes de cellulose indigeste. La chlorelle, par exemple, ne contient pas de phycocyanine, le pigment exclusif des algues bleues qui semble être d’une importance non négligeable dans ces processus de détoxination en profondeur.

Pollution électromagnétique, radicaux libres et vieillissement cellulaire. Le plus grand producteur endogène de radicaux libres est le système immunitaire. En effet, les radicaux libres sont un des moyens utilisés par les patrouilles de leucocytes pour détruire les cellules malsaines. Un système immunitaire trop stimulé représente donc un facteur de vieillissement et d’inflammation.

Par bonheur, l’Afa renforce les défenses de l’organisme tout en combattant l’inflammation. Ainsi, elle permet d’optimiser les systèmes par une action régulatrice et stabilisante. Nécessaires lorsqu’ils sont contrôlés, les radicaux libres sont toxiques pour les cellules quand ils échappent au contrôle des anti-radicaux libres. Ils sont alors réellement libres de faire n’importe quoi, d’aller se fixer sur les sites actifs des métabolites, dénaturant les composés et perturbant les fonctions. Leur attaque entraîne la destruction des lipides membranaires, des mitochondries, des glucides, des protéines et des acides nucléiques, perturbant ainsi les transports ioniques, l’équilibre acido-basique et les fonctions du système enzymatique. Les conséquences sont le vieillissement prématuré des tissus, la dégénérescence (cancer) ou la mort de la cellule par alcalose ou acidose.

L’équilibre entre les radicaux libres et les enzymes qui les contrôlent peut être perturbé par des facteurs endogènes ou exogènes: déséquilibre fonctionnel, nutrition, équilibre acido-basique, tabac, pollutions, radiations ionisantes, etc. Parmi ces diverses pollutions, les radiations ionisantes (rayons UV, imagerie médicale aux rayons X et g, téléphones portables, etc…) sont particulièrement agressives et doublement dangereuses. Lorsqu’elles traversent la matière vivante, leur énergie est absorbée et donne lieu a deux types d’effets, un effet direct et un effet indirect. Le premier est la destruction des molécules. Les ondes arrachent des particules aux atomes, perturbent l’équilibre des charges électriques et dénaturent les molécules. Les molécules ainsi transformées deviennent des radicaux libres susceptibles de créer des cascades de réactions à la recherche d’un état stable. Ces processus entrainent généralement la destruction des membranes cellulaires. Lorsque les chromosomes et les gènes sont touchés, leur mutation entraîne la mort cellulaire, dans le meilleur des cas. Si la cellule survit, cette transformation est responsable d’aberrations génétiques et de cancers. L’effet indirect, qui se mesure sur l’eau des tissus, va du simple réchauffement à la production d’ions H+ et OH-, entraînant des perturbations de l’équilibre acido-basique (PH), ainsi que des réactions en chaîne de radicaux libres. Les éléments qui agissent de façon concomitante dans les processus de contrôle des radicaux libres sont les vitamines A, C, E, le cuivre, le zinc et le sélénium.

Renfermant tous ces précieux éléments, l’Afa constitue ainsi une excellente protection contre ce type d’agressions, ce qui en fait un agent antivieillissement exceptionnel. Combinée à la radio-oncologie, elle permet de réparer les dégâts causés par l’irradiation de certains cancers en régénérant le sang et les tissus.

Tabagisme, alcoolisme, toxicomanie. D’une façon générale, le tabac est nocif pour la santé. Certaines thèses, financées par des compagnies telles que Morobral Malbaré, en démontrent pourtant l’avantage dans la production de dopamine par les ganglions de la chaîne parasympathique. Cet effet tant recherché est responsable de la double sensation de détente et de stimulation, une synergie qui permet au fumeur d’expérimenter simultanément calme émotionnel et vigueur mentale. Malheureusement, le prix de cette illusion se paie cher à bien d’autres titres. Je ne parle évidemment pas des sommes colossales qui partent en fumée et qui représentent par ailleurs une grosse partie de la santé économique puisque les fumeurs meurent tôt et rapportent doublement à la collectivité. Il s’agit ici d’un autre prix, et dans ce cas les monnaies d’échange se mesurent en radicaux libres, en métaux lourds, en destruction des vitamines et des composés indispensables au métabolisme conduisant à une entrave progressive de toutes les fonctions vitales. Si l’algue combat tous ces méfaits et constitue sans doute une aide précieuse, ce Dieu procaryote ne peut toutefois pas prendre de décisions à notre place. Les paramètres sont identiques en ce qui concerne l’alcool et l’usage intempestif d’autres drogues. Certaines traditions ont pourtant utilisé ces substances psychotropes à des fins d’élévation spirituelle et de connaissance de soi.

Malheureusement, la société occidentale en mal de consommation en a fait un vulgaire bien de plus, et les rites initiatiques et les Liens Sacrés qui devraient accompagner ces pratiques occasionnelles ont été déformés ou tout simplement perdus en chemin. Plusieurs témoignages concernant des expériences de désaccoutumance mentionnent l’Afa comme une aide précieuse dans les processus de désintoxication physique et mentale. L’Afa semble interagir dans le phénomène de modification de l’alcool déshydrogénase, ce qui pourrait expliquer la perte progressive de l’envie de boire rapportée par de nombreux repentants. D’autre part, des expérimentations effectuées avec un extrait de phycocyanine pure et des substances psychotropes ont permis d’observer une synergie… stupéfiante! La prise orale de phycocyanine à haute dose semble moduler l’effet psychotrope de drogues comme les amphétamines, le MDMA, la cocafue, l’alcool ou le tétrahydrocannabinol (THC). Ces données permettent de penser que la phycocyanine a la faculté de réduire l’agitation incontrôlée de l’activité cérébrale.

Associée aux nombreux autres facteurs, elle constituerait ainsi une sorte de régulateur émotionnel. L’extraction de ce pigment bleu faisant appel à des techniques fort coûteuses, le prix de cette substance pure est tout aussi exorbitant que les produits stupéfiants, ce qui compromet un peu son avenir pharmaceutique. Consommé quotidiennement en petite dose dans l’Afa par contre, elle représente un moyen naturel de soutenir et d’accompagner la personne toxicodépendante sur le chemin de son salut.

La stimulation du renouvellement cellulaire : action directe sur le relâchement des cellules souches de la moelle osseuse et sur leur migration vers les tissus. D’où son action régénérante exceptionnelle, intervenant au cœur même des tissus et organes abimés.

Bienfaits : résumé. 

Régule le métabolisme. Stimule la digestion. Entretient et nourrit les articulations.
Améliore la qualité des phanères (peau, ongles, cheveux) ..Protège le système cardio-vasculaire..
Renforce les défenses immunitaires. Empêche la réplication des virus.
Lutte contre les radicaux libres. Protège de toutes les formes de pollutions. Accroît la résistance aux phénomènes radiants.
Combat l’inflammation.
Stimule la régénération cellulaire.
Soutient et accélère les processus d’auto guérison.
Améliore les performances intellectuelles l’activité mentale, la concentration et la mémoire.
Diminue le stress physique et émotionnel.
Augmente et améliore l’énergie à long terme.

Pour connaître les distributeurs d’algue Klamath, veuillez en faire la demande par écrit : [email protected]