Chimiothérapie: 35 ans de mensonge ou lorsque Big Pharma danse au bord de la falaise

Une sagesse populaire dit « la vérité c’est comme l’huile elle vient toujours au-dessus ». Cela fait environ 4 décennies que la médecine conventionnelle nous vend l’idée que la chimiothérapie est l’arme fatale contre les cancers, aujourd’hui la vérité émerge de plus en plus des décombres de l’ignorance dans laquelle l’orthodoxie médicale veut nous enfermer: même les professionnels de la santé ne croient plus à son efficacité.

Pire, ils estiment qu’elle est dangereuse, une chaîne d’information libanaise Al Manar vient de publier un rapport montrant que même les médecins ne croient pas à la chimiothérapie. Et pourtant pendant 35 ans environ l’industrie pharmaceutique nous sert le même plat sans cesse réchauffé. Et nous, les « moutons de Panurge » suivons toujours.

Si l’histoire  de la chimiothérapie nous était contée !

Selon la médecine conventionnelle les traitements par chimiothérapie consistent à injecter, le plus souvent par voie intraveineuse, des substances chimiques dans l’organisme. Le but de la chimiothérapie serait donc d’enrayer ou de ralentir l’évolution de la prolifération des cellules tumorales. Les médicaments employés agissent surtout sur l’ADN, sur l’ARN ou sur les protéines des cellules, pour bloquer certaines étapes de la division cellulaire.

Mais cette définition de la médecine conventionnelle cache une vérité bien plus cruelle et ne répond pas non plus à la question essentielle sur cette maladie qui, au fil des années, a pris des proportions épidémiques:

  • Comment naissent les cancers ?
  • Pourquoi le cancer est-il devenu, aujourd’hui la première cause de mortalité i en France et dans les autres pays dits développés ainsi qu’aux Etats Unis ?
  • Pourquoi, après des années et des années de « progrès de la médecine », le cancer avance toujours ?
  • Pourquoi la médecine conventionnelle, qui a bénéficié et continue de tirer profit des fonds publics pour ses travaux de recherche dans le domaine du cancer, refuse toujours, avec les même arguments de charlatanisme, de prendre en considération les travaux de tant de chercheurs écartés des organismes subventionnés pour avoir osé fait preuve d’originalité en explorant des zones de recherche jamais touchées ?
  • Pourquoi tant de chercheurs continuent-ils à être traînés dans la boue par les assauts médiatiques des chercheurs de la cancérologie officielle ?
  • Pourquoi les médias officiels refusent ils de donner la parole aux chercheurs dont le seul tort est d’être allé plus loin dans l’étude des mécanismes du cancer au lieu de se contenter d’étudier les tumeurs ? Autrement dit pourquoi la cancérologie officielle se contente toujours de confondre le cancer avec la tumeur, de confondre la cause avec l’effet. Ne faudrait-il pas davantage se préoccuper d’étudier les conditions favorisant l’éclosion du cancer ?

Lorsqu’on répondra à cette série de questions et à beaucoup d’autres on réalisera alors qu’il nous faut un autre Nuremberg, un Nuremberg de la santé. En effet est-il acceptable que l’on continue d’accepter les mêmes méthodes de traitement des cancers – la chimiothérapie, radiothérapie & immunothérapie – dont on sait d’avance qu’elles engloutissent beaucoup d’argent  et sont vouées à l’échec ?

Pour comprendre le contexte du maintien d’une méthode de traitement inefficace et contre-productive il est intéressant de savoir qu’au cours des  années qui ont précédé la Première Guerre mondiale, il y eut l’existence d’un cartel pharmaceutique international basé en Allemagne, qui a dominé les industries de médicaments chimiques et de l’ensemble du monde entier. Il avait étendu ses opérations à quatre-vingt-trois pays et fut la force économique et politique la plus puissante du moment. Il était connu sous le nom de IG Farben.

Le livre Le Relais de Les Racines nazie de l’Union Européenne de Bruxelles explique comment ce fut le même IG Farben qui fabriqua les instruments de guerre chimique d’Hitler comprenant le poison gaz moutarde et l’infâme Zyklon B utilisé dans les camps de concentration.

Mais bien avant la seconde guerre mondiale un industriel américain John D Rockefeller à la tête d’un empire industriel s’était associé, en 1928 avec IG Farben, le plus grand cartel pharmaceutique d’alors (…) dont les branches jouèrent un rôle primordial aussi bien en politique que dans les thérapies cancéreuses.

En tant qu’industriels les Rockefellers connaissaient la science de création de besoins artificiels et la façon de les maintenir tant que le profit y était. Dès ce moment plusieurs substances chimiques furent inventoriées et obtinrent des brevets approuvés par « l’American Medical Association and Food &Drug Administration » sponsorisé par les Rockefellers dont les membres étaient des médecins et spécialistes travaillant dans des institutions sous perfusion financière des fondations Rockefeller et Carnegie. Rockefeller a transformé à lui seul le visage de la médecine allopathique en la faisant passer d’un atelier de production de comprimés en un monstre industriel pharmaceutique que nous connaissons aujourd’hui .

L’histoire de la prise en main et le contrôle de la médecine par une famille, les Rockefeller, est assez révélatrice de la terrible et grave évolution des structures actuelles de soins de santé dans le monde et en particulier dans les pays occidentaux. De plus en plus de structures de santé suivent malheureusement le modèle Rockefeller en choisissant de confier les structures hospitalières à des patrons choisis en fonction de leur capacité de gestion et de rentabilité économique plutôt qu’en fonction de la fonctionnalité de leurs structures. Les patrons de ces structures réduisent ainsi le personnel en augmentant le luxe des locaux comme la mise à disposition des patients d’écrans plats dans les chambres ou l’achat d’instruments coûteux pour bombarder les tumeurs cancéreuses de rayons. Le monde a besoin de plus de santé et moins d’hôpitaux luxueux pour abriter davantage de malades que l’on ne saurait éviter si on ne change pas de stratégie. Le monde a besoin de plus de prévention des maladies de civilisation, nous pouvons y parvenir grâce à l’adoption des technologies propres et la lutte contre l’analphabétisme.

Le monde se réveille, un Nuremberg de la santé se profile à l’horizon.

« En présence des Maîtres de cette école, de mes chers condisciples et devant l’effigie d’Hippocrate, je promets … » ii C’ est ainsi que commence le serment d’Hippocrate, celui que tous les médecins font avant leur entrée en fonction avant d’ajouter « je donnerai mes soins gratuits à l’indigent, et n’exigerai jamais un salaire au-dessus de mon travail ». Et pourtant certains professionnels de la santé continuent à se faire les apôtres et les défenseurs d’une politique médicale inepte et criminelle dont les scandales comme le Vioxx et le Mediator ne sont que des minuscules parties émergées de l’iceberg de la désinformation médicale. Pire encore, les partisans de la pensée unique dominante continuent d’organiser des campagnes de dénigrement des chercheurs originaux et tant d’autres anonymes incapables parfois de mener leurs travaux à terme.

Combien faudra-t-il sacrifier de Galilée pour dire que le monde sache ce que la pensée dominante vous cache: « certaines molécules présentes dans notre alimentation (les micronutriments) sont en mesure de bloquer les mécanismes biologiques responsables de la propagation des cellules cancéreuses » iii. Comme vous pouvez le constater, il ne reste qu’à briser les chaines de l’ignorance dans laquelle l’orthodoxie médicale veut nous enfermer. Les lobbies clinico-pharmaceutiques se réjouissent du profit gargantuesque qu’ils réalisent sur le dos des citoyens et des contribuables, ils dansent mais c’est au bord de la falaise. Nous encourageons les médecins intègres à continuer la bataille en faveur de ce qui compte, la bataille pour la santé et la vie. Et comme disait Platon, « il ne dépend que de nous de suivre la route qui monte et d’éviter celle qui descend ». Et si vous souhaitez que le cancer avance et continue à être ce le « Terminator », ne faites rien. Mais si vous pensez comme nous, que les maladies de civilisation comme le cancer, le diabète, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires peuvent être réduites à leur portion congrue, si vous pensez qu’il vaut mieux prévenir que guérir, rejoignez nous. La médecine conventionnelle devrait dès maintenant préparer sa dernière épitaphe sur la chimiothérapie « ci git les méthodes d’un autre âge ».

Références:

  1. Rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé ,Base de données européennes de la santé pour tous , Copenhague, Bureau régional de l’OMS pour l’Europe, janvier 2012.
  2. En présence des Maîtres de cette école, de mes chers condisciples et devant l’effigie d’Hippocrate, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité dans l’exercice de la médecine. Je donnerai mes soins gratuits à l’indigent, et n’exigerai jamais un salaire au-dessus de mon travail. Je ne permettrai pas que des considérations de religion, de nation, de race, viennent s’interposer entre mon devoir et mon patient.
    Admis dans l’intérieur des maisons, mes yeux ne verront pas ce qui s’y passe. Ma langue taira les secrets qui me seront confiés, et mon état ne servira pas à corrompre les mœurs, ni à favoriser le crime. Respectueux et reconnaissant envers mes Maîtres, je rendrai à leurs enfants l’instruction que j’ai reçue de leur père. Que les hommes m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses, que je sois couvert d’opprobre et méprisé de mes confrères si j’y manque.
  3. Matthias Rath, M.D. et Aleksandra Niedzwicki,Ph.D 1ère Ed.2011 Dr Rath Education Services pp.51

Source : Dr Rath Health Foundation