Les 5 mythes les plus rabâchés sur la santé que les médecins n’ont aucune intention d’abandonner

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Il y a aujourd’hui plus de mythes de santé propagés par les médias et la médecine conventionnelle qu’il n’y en a eu tout au long de l’histoire. Cela est dû en grande partie au manque d’éducation du public et à l’élargissement du pouvoir des sociétés qui font la promotion de ces mythes pour atteindre des buts particuliers et malveillants, tous au nom du profit.

Mythe n° 1
La médecine conventionnelle et le système des soins de santé aident les malades.

Peut-être le plus grand mythe aujourd’hui est-il la fausse idée que se font les gens sur la médecine dominante et le système des soins de santé qui aideraient les malades. Rien ne pourrait être aussi éloigné de la vérité.

La liberté des gens à choisir des soins naturels, une médecine alternative et des méthodes de prévention pourrait bientôt être menacée par les lobbys corporatifs qui feront n’importe quoi pour protéger leur richesse aux dépens de votre santé.

Les incitateurs à la médecine conventionnelle prétendent que toutes les études sur les médicaments, les autorisations de mise sur le marché, les traitements chirurgicaux, sont basées sur une preuve scientifique. Mais est-ce réellement une science? Ce qui passe pour de la  »science » aujourd’hui est une collection de mythes de santé, de demi-vérités, de malhonnêtetés intellectuelles et de rapports frauduleux qui servent d’autres intérêts. La science n’est plus vraiment de la science. 90 % de toutes les maladies (cancer, diabète, dépression, maladies cardiaques, etc.) sont facilement évitables par une hygiène alimentaire, un régime, l’exposition au soleil et l’exercice. Aucune de ces solutions n’est jamais mise en avant par la médecine conventionnelle parce qu’elles ne rapportent pas d’argent.

Aucun produit pharmaceutique ne guérit ou ne résout réellement les causes sous-jacentes de la maladie. Même les médicaments  »efficaces » ne gèrent que les symptômes, habituellement au prix d’interférences avec d’autres fonctions physiologiques qui engendreront un jour des effets secondaires. Il n’existe aucun médicament sans effet secondaire. Le système médical actuel n’a aucun avantage financier à améliorer la santé des patients. Le profit se trouve dans une prolongation de la maladie et non dans le bien-être ou la prévention.

Presque tous les programmes de  »prévention » d’aujourd’hui (comme les mammographies gratuites ou autres programmes de dépistage) ne sont rien de plus que des combines de recrutement de patients prévus pour accroître le chiffre d’affaires et la maladie. Ils utilisent les dépistages gratuits pour faire peur aux gens afin qu’ils soient d’accord pour des traitements inutiles qui engendrent d’autres maladies. La mammographie est un très bon exemple. La chimiothérapie en est un autre.

Personne n’a d’intérêt pour votre santé sauf vous. Aucune société, aucun médecin et aucun gouvernement n’a un quelconque désir de vous rendre vraiment en bonne santé. Cela a très bien servi les intérêts financiers à court terme des grandes puissances de l’ouest. Les seuls individus en bonne santé, conscients, ayant une démarche critique se démarquent tous à 100 % des produits pharmaceutiques et des aliments transformés.

Mythe n°2
Les vaccins sont préventifs et augmentent l’immunité.

Le terme  »immunisation », souvent substitué à vaccination, est faux et devrait être légalement contesté. La recherche médicale a bien établi qu’une injection directe de protéines étrangères et autres matériaux toxiques (particulièrement les poisons connus comme sensibilisateurs d’immunité, tel le mercure) rend le receveur plus facilement touché par ce qu’il ou elle va rencontrer dans l’avenir. Cela veut dire qu’ils font le contraire d’une immunisation, en empêchant même généralement l’immunité de se développer après une exposition naturelle.

La fréquence réelle de problèmes de santé a été estimée par les autorités jusqu’à 100 % des cas, plus importante que rapporté par les agences gouvernementales. Cette différence est due au manque d’obligation ou de motivation des médecins pour rapporter les effets négatifs. Grâce aux mouvements anti-vaccinations qui exposent maintenant la vérité sur internet, la communauté médicale est aujourd’hui en alerte maximum, défendant ses prétentions et voient les fabricants de vaccins leur dire qu’elle ne devrait jamais laisser ses patients (ou parents) penser que les risques pourraient dépasser les bénéfices, alors qu’en réalité, c’est précisément le contraire qui est vrai.
Le rapport bénéfice/risque est une décision importante où chacun doit décider de se faire vacciner ou non. Contrairement à la croyance populaire et au marketing, les maladies d’enfance des pays développés ne sont pas aussi dangereuses qu’on nous a amené à le croire. Être atteint d’une maladie particulière ne veut pas dire qu’on en meurt. Les vaccins ont été en fait introduits à une époque où les maladies étaient descendues à un niveau faible de risque. Ce fait est prouvé scientifiquement.

Les principales avancées dans la lutte contre les maladies de ces 200 dernières années ont été une meilleure alimentation et de l’eau propre…et non les vaccins. Une meilleure hygiène de vie, moins de surpeuplement, de meilleures conditions de vie contribuent aussi. Confirmation de ceci est également donnée dans des recherches publiées qui prouvent que la vaccination ne nous a pas sauvés.

Tous les vaccins contiennent des agents stériles, des neurotoxines, des immunotoxines et des composants carcinogènes. Certains comportent du formaldéhyde, un carcinogène qu’on retrouve dans presque tous les vaccins, des neurotoxines comme le glutamate monosodique, le chlorure de potassium, le thimoséral, des agents stériles comme le Triton X-100, l’octoxynol-10, le polysorbate 80 et des immunotoxines comme la néomycine, le phosphate de potassium monobasique, le sodium déoxycholate pour n’en nommer que quelques-uns.

Ce n’est pas une coïncidence que plus vous en sachiez, moins vous vous ferez vacciner, ce qui contredit les fausses idées de nombreux professionnels de la santé qui professent que les parents ne font pas de vaccins parce qu’ils sont mal éduqués, pauvres ou désinformés. Les plus informés des dangers des vaccins ne perçoivent plus jamais les professionnels de santé de la même façon car les motivations de ces derniers apparaissent clairement.

Mythe n°3
Nous devrions tous nous concentrer sur un abaissement du mauvais cholestérol

Certainement l’un des plus grands mythes de santé propagé dans la culture occidentale est l’abus du terme inventé,  »mauvais cholestérol » par les médias et la communauté médicale. De plus, le public naïf au plan scientifique, a été trompé par la frauduleuse corrélation entre un cholestérol élevé et les maladies cardiovasculaires. Le cholestérol n’a pas été démontré comme causant réellement des maladies cardiovasculaires. Au contraire, le cholestérol est vital pour notre survie, et tenter de l’abaisser artificiellement peut avoir des effets préjudiciables, particulièrement en vieillissant.

Nous sommes devenus une culture si obsédée par une alimentation pauvre en cholestérol et graisses que de nombreux experts de la santé remettent maintenant en question ses conséquences. Pouvons-nous vraiment maintenir un mode de vie diététique si éloigné de ceux de nos populations ancestrales sans qu’il n’y ait aucun effet sur la santé? De nombreux chercheurs concluent aujourd’hui que la réponse à cette question est NON. Les données actuelles suggèrent qu’abaisser le cholestérol précède le développement du cancer.

La science du type  »Oui-Oui » (marionnette qui passe son temps à hocher la tête pour dire oui, NdT) offerte par les spécialistes du marketing à un public en général naïf au plan scientifique a conduit pas mal de gens à croire que nous devrions remplacer certains choix alimentaires par des produits spécialement conçus dans le but de réduire le cholestérol. Naturellement ceci se paie et nécessite de la part de ceux qui peuvent se le permettre de dépenser quatre ou cinq fois plus qu’un produit typique ordinaire. Mais est-ce que ce besoin apparent de protection s’efforçant d’abaisser notre cholestérol est justifié? Et vraiment, est-ce sain?

Le cholestérol lui-même, qu’il soit LDL (Low density lipoprotein) ou HDL (high density lipoprotein) est toujours le même. Le cholestérol est toujours un ingrédient nécessaire requis pour se répartir régulièrement autour du corps pour un développement efficace de la santé, l’entretien et le fonctionnement de nos cellules. La différence est dans les convoyeurs (les lipoprotéines HDL et LDL) et les deux types sont essentiels pour un travail efficace de la logistique de distribution dans le corps.

Des problèmes peuvent malgré tout survenir, quand les particules LDL sont à la fois petites et que leur capacité de charge soit prédominante sur le potentiel de transport du HDL disponible. Ceci peut conduire à un supplément de cholestérol délivré dans le corps avec des ressources plus faibles pour renvoyer l’excédent au foie.

Mythe n°4
Prévention des décès par les dépistages et traitements médicaux

Même si la communauté médicale plaide en faveur de dépistages réguliers pour les malades, il est possible qu’ils n’apportent que peu de bénéfices et qu’en réalité ils constituent un risque pour la santé. Cela s’applique à presque tout type de dépistage médical pour les cancers et plusieurs autres maladies. Le dépistage détient un immense risque en lui-même, pas seulement en raison des dégâts infligés par les techniques de dépistage sur le corps, mais par la nature même des protocoles du suivi médical. Ces protocoles encouragent habituellement les patients à s’engager plus loin dans des techniques plus invasives, qui dégradent encore plus la santé et conduisent à un pourcentage plus élevé de décès.

Dans une étude suédoise qui a porté sur 60.000 femmes, 70 % des tumeurs détectées par mammographie n’étaient pas du tout des tumeurs. Ces  »faux positifs » ne sont pas seulement des contraintes financières et émotionnelles, ils peuvent se poursuivre par de nombreuses biopsies inutiles et invasives. En fait, 70 à 80 % de toutes les mammographies ne révèlent, après biopsie, aucune trace de cancer.

Le test sanguin pour la prostate (recherche de PSA = prostate specific antigen) recherche cet antigène produit par la prostate. De hauts niveaux seraient associés à un cancer. Le problème est que l’association n’est pas toujours correcte, et quand elle l’est, le cancer de la prostate n’est pas nécessairement mortel. Seuls 3 % environ des hommes meurent d’un cancer de la prostate. Le test PSA conduit classiquement à un sur-diagnostic – à des biopsies et un traitement dont les effets secondaires sont l’impuissance et l’incontinence. Des biopsies répétées peuvent répandre des cellules cancéreuses sur la trajectoire de l’aiguille ou en déversant des cellules cancéreuses directement dans le courant sanguin ou lymphatique.

La couverture médiatique de nombreuses maladies se concentre trop sur les traitements et pas assez sur la prévention, tendance qui pourrait s’avérer risquée à long terme pour les gens qui ne savent pas comment prendre soin de leur santé.

Le genre principal d’histoire qu’on entend généralement dans les médias parle de traitement et les récits se prêtent beaucoup mieux à cela que la prévention, où les gens font de l’exercice et mangent correctement, ce qui ne remplit pas les articles.

Si notre approche actuelle de traitement continue, d’ici un siècle l’humanité pourra se retourner vers la  »médecine moderne » d’aujourd’hui et penser :  »Comment ont-ils pu avoir des idées si primitives et autant se tromper ? Quel manque d’humanisme de la part des gouvernements d’avoir permis aux industries médicales de tuer les gens avec de fausses croyances et idées au nom de l’économie. Pourquoi le gouvernement ne les a-t-il pas arrêtés? Qui étaient les personnes chargées de protéger ces citoyens?

Une éducation préventive nécessite davantage de finances pour des recherches vers une approche en diététique, activité physique, comportementale, socio-économique, environnementale et médicale pour la prévention des maladies chroniques. Les enfants qui deviennent des adolescents et ensuite des adultes nécessitent davantage de responsabilités pour leur bien-être grâce à des décisions de santé conscientes motivées par des applications pratiques et théoriques correctes. Ils ont besoin de savoir que les modalités de traitement et les applications pharmaceutiques peuvent ne pas être facteurs de santé à longue échéance. De considérables contributions politiques et financières sont également impératives pour investir dans une prévention plus efficace pour missionner des politiques qui touchent aux corps de santé et d’éducation. Toute tergiversation ou manquement à résoudre ces questions dans les dix années à venir ne fera qu’apporter une plus grave détérioration de la santé humaine et des systèmes de soins de santé. Une direction correcte et une communication efficace concernant ces mesures préventives pourraient encore renverser les tendances dépistage/traitement et par conséquence changer cette façon de penser pour promouvoir finalement une meilleure santé à une population vieillissante.

Mythe n°5
Le fluor prévient la carie dentaire

Mettre du fluor dans l’eau est un canular (aux US, du fluor est ajouté dans les réservoirs d’eau du robinet, mais en France on en trouve dans presque tous les dentifrices conventionnels, NdT). Consommer n’importe quelle quantité de fluor est dangereux pour la santé et il N’A JAMAIS été prouvé qu’il empêchait les caries dentaires. C’est en réalité la plus grande fraude scientifique jamais encouragée par les gouvernements nationaux et internationaux. On a fait le lien entre le fluor et l’ostéoporose, le cancer, les maladies auto-immunes et même de très petites concentrations peuvent perturber de 50 % les enzymes de réparation de l’ADN.

Le fluor ajouté à l’eau est un déchet produit de l’aluminium et des engrais phosphatés. Et ce n’est même pas du fluorure de calcium qui apparaît naturellement dans l’eau, mais du fluorure de sodium, qui est une chose toute différente et porteur de mauvaises nouvelles.

– En fait, le fluorure de sodium n’apporte aucune bonne nouvelle. Sauf pour quelques rapports suspects par les gens qui vendent le truc, il est prouvé après études sur études que le fluorure de sodium ne protège pas les dents, et qu’il est néfaste pour les os. Et il l’est également pour d’autres parties du corps, telle la glande thyroïde.

– Le fluor est un carcinogène suspecté.

– Boire de l’eau fluorée va doubler le nombre de fractures du col du fémur aussi bien chez les hommes que les femmes âgés.

– La stérilité féminine augmente avec la fluorisation de l’eau. Les scientifiques de la FDA ont rapporté une corrélation étroite entre les taux décroissants de fertilité chez les femmes entre 10 et 49 ans et des niveaux croissants de fluor.

– Le fluor n’a jamais été décrit comme réduisant efficacement la carie dentaire. Aucune relation de cause à effet ou même de lien n’ont été trouvés entre les taux de fluor dans l’eau et les caries dentaires dans une quelconque étude.

– Le fluor attaque aussi la glande pinéale. La pinéale contrôle notre horloge interne, aide à bien dormir, travaille de concert avec nos glandes surrénales pour gérer le stress, nourrit le thymus et communique 24h/24 et 7j/7 avec le reste du système endocrinien pour tout faire fonctionner. Le fluor calcifie la glande pinéale.

– Le gouvernement classe le fluorure de sodium comme un déchet environnemental dangereux. Quiconque le manipule porte une tenue de protection. Le déverser dans les rivières est un crime.Le plus grand argument de départ que le fluor est sans danger à faible dose pour les humains vient des scientifiques du programme de la bombe A, qui a été secrètement exigé pour fournir  »une preuve utile en cas de litige » avec des marchands d’armes pour les dégâts commis par le fluor sur les citoyens. Des documents attestent que les premiers procès contre le programme américain de la bombe A ne concernaient pas les radiations, mais les dégâts faits par le fluor.

Source: Prevent Desease, BBB