Un scientifique de Johns Hopkins révèle un rapport choquant sur les vaccins contre la grippe

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Un scientifique de Johns Hopkins, Peter Doshi, médecin, révèle un rapport choquant sur les vaccins contre la grippe

Un scientifique de l’École de Médecine John Hopkins a publié un rapport cinglant sur les vaccins contre la grippe dans le British Medical Journal (BMJ) qui jette de sérieux doutes sur leur innocuité et leur efficacité à un moment où les vaccins contre la grippe sont imposés au public en nombre sans précédent.

Peter Doshi, médecin, affirme que la politique du CDC d’encourager le public à se faire vacciner contre la grippe tous les ans est basée sur des études de qualité médiocre qui échouent à justifier les affirmations qu’ils préviennent la grippe, et qui minimisent les risques de se faire vacciner.

La promotion des vaccins contre la grippe est l’une des politiques de santé publique les plus visibles et agressives aux États-Unis, dit Doshi de l’École de Médecine Johns Hopkins. Les compagnies pharmaceutiques et les fonctionnaires insistent lourdement pour une vaccination généralisée chaque automne, proposant des vaccinations dans les pharmacies et les supermarchés. Les résultats ont été phénoménaux. Il y a seulement 20 ans, 32 millions de doses de vaccin contre la grippe étaient disponibles aux États-Unis sur une base annuelle. Aujourd’hui, le total a grimpé à 135 millions de doses.

« Le vaccin pourrait être moins bénéfique et moins sûr que ce qui a été prétendu, et la menace de la grippe semble être surestimée », dit Doshi. Des politiques de vaccination obligatoires ont été adoptées, souvent dans des établissements de santé, ce qui oblige certaines personnes à prendre le vaccin sous la menace de perdre leur emploi.

La principale affirmation du CDC qui pousse les gens à se faire vacciner contre la grippe chaque année est que la grippe peut causer des complications graves qui peuvent entraîner la mort, surtout chez les personnes âgées et celles souffrant de maladies chroniques. Ce n’est pas le cas, a déclaré Doshi.

Lorsqu’on lit attentivement, le CDC reconnaît que les études qui ont révélé une baisse du taux de mortalité peut être due au fait que les personnes en bonne santé ont plus tendance à se faire vacciner que celles qui ont des problèmes de santé. Le seul essai de vaccin contre la grippe randomisé sur les personnes âgées n’a trouvé aucune diminution du nombre de décès. « Cela signifie qu’on approuve l’utilisation des vaccins contre la grippe chez les personnes âgées malgré des essais cliniques qui démontrent qu’il n’y a aucune amélioration grâce au vaccin », dit Doshi.

Même lorsque le vaccin est étroitement adapté au type de grippe qui est répandue, ce qui n’arrive pas tous les ans, des essais randomisés et contrôlés sur des adultes en bonne santé ont montré que vacciner entre 33 et 100 personnes a entrainé un cas en moins de grippe. En outre, dit Doshi, aucune preuve n’existe pour montrer que cette réduction du risque de grippe pour une population spécifique – chez les adultes en bonne santé par exemple – extrapole n’importe quelle réduction du risque de complications graves de la grippe, telles que des hospitalisations ou des décès, chez les personnes âgées.

« Pour la plupart des gens, et peut-être même des médecins, les représentants ont seulement besoin d’affirmer que les vaccins sauvent des vies, et on suppose qu’il doit y avoir des recherches solides derrière cette affirmation », dit Doshi. Malheureusement, ce n’est pas le cas, dit-il.

Bien que le CDC suppose que les vaccins contre la grippe sont sûrs et qu’il n’est pas nécessaire de peser les avantages contre les risques, Doshi est en désaccord. Il souligne qu’une étude australienne a révélé qu’un enfant sur 110 de moins de 5 ans a eu des convulsions suite à une vaccination pour la grippe H1N1 en 2009. Des études complémentaires ont trouvé que le vaccin H1N1 a également été associé à une montée en flèche de cas de narcolepsie chez les adolescents.

Les préoccupations de Doshi font écho à celles du Dr Russell Blaylock, neurochirurgien et auteur de “The Blaylock Wellness Report” qui a de profondes inquiétudes concernant la sécurité et l’efficacité du vaccin contre la grippe.

Non seulement le vaccin n’est pas sûr, mais il n’est même pas efficace, dit le Dr Blaylock. « Le vaccin est complètement inutile, et le gouvernement le sait, » dit-il.  « Il y a trois raisons pour lesquelles le gouvernement dit que les personnes âgées devraient se faire vacciner contre la grippe : une pneumonie secondaire bactérienne, l’hospitalisation, et la mort. Pourtant, une étude menée par le groupe Cochrane a étudié des centaines de milliers de personnes et a trouvé que le vaccin offrait une protection nulle contre ces trois éléments dans la population générale. Il n’a offert aux personnes en maison de retraite que peu d’immunité contre la grippe, au mieux un tiers, mais seulement s’ils avaient choisi le bon vaccin. »

Une étude publiée en février a constaté que le vaccin contre la grippe a été efficace à seulement 9 pour cent pour les personnes âgées contre la plus virulente des grippes en 2012-2013.

Ce qui est encore pire, c’est que les enfants qui reçoivent les vaccins contre la grippe ne reçoivent pas de protection contre cette maladie. « Le gouvernement dit également que tout bébé de plus de six mois devrait se faire vacciner, et ils savent qu’il contient une dose de mercure qui est toxique pour le cerveau », explique le Dr Blaylock. « Il savent aussi que le vaccin contre la grippe n’a aucune efficacité chez les enfants de moins de cinq ans. »

Pour la plupart des gens, explique le Dr Blaylock, les vaccins antigrippaux ne préviennent pas la grippe, mais en réalité ils augmentent les chances de l’avoir. Le mercure contenu dans les vaccins est un dépresseur immunitaire tellement fort que le vaccin contre la grippe supprime l’immunité pendant plusieurs semaines. « Les gens ont de fortes chances de contracter la grippe à cause de cela », déclare-t-il. «  Ils pourraient même penser que c’est le vaccin qui leur a donné la grippe, mais ce n’est pas vrai, il a fortement affaibli leur système immunitaire et ils ont attrapé la grippe. »

Le mercure surexcite le cerveau pendant plusieurs années, explique le Dr Blaylock, et c’est cette surexcitation qui est la cause de la maladie d’Alzheimer et d’autres maladies dégénératives. Une étude a révélé que les personnes qui reçoivent le vaccin contre la grippe pendant 3 à 5 ans multiplient par 10 le risque d’avoir la maladie d’Alzheimer.

Doshi affirme que la grippe est un cas de « pathologie clef-en-main » dans un effort pour élargir les marchés. Il souligne le fait que le nombre de décès causés par la grippe a fortement baissé au milieu du 20e siècle, bien avant les énormes campagnes de vaccination qui ont été lancées au 21e siècle.

Pourquoi les compagnies pharmaceutiques mettent en avant les vaccins contre la grippe? « Tout est une question d’argent », explique le Dr Blaylock. « Les vaccins sont le rêve des compagnies pharmaceutiques. Ils ont un produit qu’à la fois le gouvernement et les médias les aideront à vendre, et puisque les vaccins sont protégés, ils ne peuvent être pas être poursuivis si quelqu’un a une complication. »

L’article de Doshi est une  « bouffée d’air frais », explique le Dr Blaylock. « Cet article révèle dans des termes bien définis et bien articulés ce qu’on sait depuis longtemps, la promotion de la vaccination contre la grippe est une fraude.

« Voici la ligne de fond », explique le Dr Blaylock. « Le grand nombre de personnes qui se font vacciner contre la grippe n’en tireront aucun bénéfice, mais ils ont tous les risques et les complications. »

Source: newsmaxhealth.com, The British Medical Journal

Article par SYLVIA BOOTH HUBBARD / Real Farmacy

Cet article a été initialement publié en 2014 et est fréquemment mis à jour