Décancérisation du cancer

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Un écran de fumée cache la réalité énergétique et psychologique des maladies que l’on présente comme des entités paraissant avoir une existence indépendante. « Il a le cancer, il a le sida, Ebola est à nos portes ».

La maladie serait une sorte d’acquisition malencontreuse : un mauvais lot gagné dans la loterie de la vie ! Prenons le cas du cancer. On assiste à des campagnes de lutte contre le cancer, on prône la prévention et le dépistage, on fait tout pour essayer de le guérir, mais peu de monde s’interroge sur la nature exacte du cancer et les raisons de son apparition ? Qu’est ce qui fait qu’une personne tombe malade et pas une autre ? Parfois, on parle d’hérédité et de prédisposition, sans jamais préciser en quoi il est possible d’éviter la « disposition », c’est à dire le déclenchement de la maladie. Toutes ces questions restent sans réponse, et dans le public, une peur grandissante !

On peut souvent entendre : « pourvu que je n’attrape pas un cancer ». Or, on sait que la peur fait partie intégrante de toutes les maladies ! Elle attire ce que l’on craint.

Alors comment en sortir ? Tout d’abord prendre conscience que la notion de maladie est une forme d’abstraction, qu’en réalité il n’existe que des malades ! Essayons de voir ce qu’il en est exactement à ce niveau

Les paramètres énergétiques du cancer

En radiesthésie appliquée, on constate qu’un « cancer » correspond à un niveau énergétique affaibli. Sur l’échelle de mesure en unités Bovis, il apparaît à 8 800 UB soit en dessous du seuil santé (13 000). À tout affaiblissement énergétique, correspondent une ou plusieurs causes que l’on peut déceler et neutraliser. Elles peuvent être d’ordre psychologique ou physique : pollutions électromagnétiques ou géobiologiques. Le décalage des paramètres bio électroniques vers l’alcalin fournit une deuxième indication sur les caractéristiques du cancer.

Le cancer correspond à un pH de 8,5 (mesure de la concentration en ions Hydrogène) et un rH de 32 (mesure du degré d’électronisation). La santé correspond à un pH de 7,1 et à un rH² de 21. Le terrain bio électronique se dégrade par une mauvaise qualité de l’eau, par une nourriture inappropriée et par diverses pollutions chimiques.

Enfin, troisième paramètre, le niveau de stress. Lorsqu’il atteint un certain degré, la pathologie se déclare. Tous ces paramètres énergétiques sont mesurables par la radiesthésie appliquée et surtout ils sont modulables par différentes techniques énergétiques, géobiologiques, bioéléctroniques et psychologiques, ce qui veut dire qu’en les ramenant aux normes santé, on rétablit le terrain biologique du patient. La guérison s’effectue alors de manière naturelle.

L’effet loupe

À l’échelle de l’individu, le phénomène du « cancer » porte généralement sur un point précis du corps. Cette focalisation est en rapport direct avec la symbolique qui se rattache à l’organe atteint : le sein pour la maternité, l’estomac pour la digestion (au sens large du terme), les poumons pour les situations étouffantes, la prostate pour les questions de procréation etc. On peut donc établir de la sorte une passerelle entre ces fonctions symboliques du corps et les difficultés psychologiques vécues par l’individu. Ces passerelles permettent de travailler en amont c’est-à-dire sur les causes et non sur les effets. Supprimer la prolifération des cellules nécessite de « défocaliser » l’individu de son problème. En d’autres termes, il convient d’élargir les points de vue. Le travail porte par conséquent sur l’augmentation du niveau de conscience. Il importe d’aider le malade à voir plus large.

La conscience cellulaire

Essayons à présent d’éclairer la situation d’une autre manière. Comparons le corps humain à une ville. On y trouve différentes spécialités : la gastronomie, (l’estomac, le pancréas), le tourisme vert, (les poumons), les transports, (les pieds, les muscles), l’industrie, (le foie, les mains), l’évacuation des déchets, (reins, gros intestin) etc. Lorsque l’un de ses habitants a un accident ou se trouve mal (manque d’énergie localisé mesurable en radiesthésie appliquée), les passants s’arrêtent et lui portent secours. Un attroupement se constitue.

Il y a certes dans cette réaction de la curiosité, mais au niveau de l’inconscient collectif, le désir d’apporter de l’énergie à la personne en difficulté. La situation est la même au niveau biologique. Elle génère autour des cellules défaillantes une présence de « cellules secouristes », visant à les réconforter et à les renforcer : ce sont les cellules dites cancéreuses. Elles prolifèrent pour renforcer les cellules qui se trouvent mal et se retirent lorsque tout rentre dans l’ordre. En fait, elles sont tout simplement montées et démontées par des microorganismes que le professeur Bechamp avait appelés les microzymas.

Les cellules cancéreuses refusent de mourir

Paradoxalement, alors que l’individu paraît être en danger de mort, les cellules dites cancéreuses refusent de mourir ! Au niveau psy, ce paradoxe est révélateur d’une difficulté du cancéreux à lâcher le passé, c’est à dire à abandonner les idées qu’il se fait de la situation et donc à « mourir » à ce passé. Toute appréhension du changement se traduit par une peur qui peut devenir rapidement pathogène. Il convient d’aider la personne à se fluidifier. La vie est un fleuve. L’eau y joue du reste un facteur important : en quantité et en qualité. Le docteur Batmangelidg affirme que les maladies y compris « les cancers » sont dues à une forme de déshydratation chronique.

Une attention toute particulière doit être portée sur la manière dont le malade s’hydrate. Nous sommes fait à plus de 70% d’eau et curieusement la médecine dans son ensemble paraît se désintéresser de cet élément pourtant fondamental ! Il y a là par conséquent matière à une nouvelle compréhension du processus de cancérisation. La sédentarisation de l’homme et les idées arrêtées qui s’ensuivent contribuent du reste à figer l’homme dans des positions de vie figées. Les situations cancer ressemblent à des « arrêts image » du film de la vie. Guérir du « cancer », c’est aider le malade à remettre « le film de sa vie » en route, à « dérouler la bobine ».

Les familles de cellules

Examinons à présent la situation au niveau cellulaire. Dans une situation de crise, ce sont d’abord les cellules saines qui se trouvent en difficulté. Elles ont peur au niveau de leurs fonctions spécifiques. Leurs énergies baissent. Si on regarde sous l’angle des énergies orgoniques dont parle Reich, on constate dans les régions atteintes la présence de dor, autrement dit cette énergie vitale dénaturée.

Que se passe-t-il alors ? Pour rétablir la situation des cellules secouristes, celles que l’on dit cancéreuses, arrivent en renfort. Elles ont un mental neuf, tout comme les troupes de soldats nouvellement recrutés. Elles savent ce qu’elles doivent faire ! Si on compare (par voie radiesthesique) leur niveau de conscience à celui des cellules saines, on s’aperçoit d’une différence très nette. Les premières possèdent un niveau de conscience plus élevé que les secondes. Cet éclairage est particulièrement important pour comprendre ce qui se passe en profondeur. En fait, nous sommes en présence de trois sortes de cellules :

Les cellules qui assurent le fonctionnement habituel de l’ensemble du corps. Elles ont une conscience et une sensibilité globale.

Parmi elles, on constate une population de cellules stressées, dépassées par la situation ou bien blessées, comme dans le cas d’une simple bosse. Elles correspondent à la symbolique du conflit (cf. § la conscience cellulaire).
Dans cette situation de crise, des cellules dites « cancéreuses » arrivent en renfort pour rétablir la situation, le temps nécessaire au retour Psychologique à la normale. Ces cellules sont construites par les microzymas et ensuite démontées par ces mêmes micro-organismes que Pasteur avait pris pour des microbes et dont le professeur Béchamp avait compris toute l’utilité.

La dramaturgie qui se joue au niveau des cellules dites cancéreuses est comparable à celle que pourraient vivre des pompiers qui arrivant sur un lieu de sinistre, se trouvent attaqués, comme cela se passe parfois dans des « banlieues chaudes ». Les cellules dites cancéreuses sont secouristes et non malfaisantes ! Cette incompréhension des rôles est conflictuelle. Elle crée un « sur conflit » qui vient se rajouter aux difficultés que vit le malade ! La situation provient de l’affrontement entre deux logiques : celle de la sagesse de l’organisme cellulaire et celle du monde médical qui considère que toute sortie de la norme relève de la pathologie. Cette mentalité découle d’une forme d’éducation monolithique, génératrice de ce qu’on appelle la pensée unique.

Il est significatif que l’école qui formait les instituteurs s’appelait l’école normale et que celle qui destine principalement ses élèves à l’enseignement, à la recherche, aux grands corps de l’État s’appelle école normale supérieure, ENS !

« Decancérisation » du cancer

Il est donc avant tout nécessaire de se sortir de ces notions de normes et de normalité pour s’ouvrir à la logique et à la conscience du monde cellulaire. Pour y parvenir, il est salvateur de décoller l’étiquette cancer. Sa seule présence contribue à créer un écran de fumée cachant la réalité. En recherche, cette étiquette polarise la pensée et empêche de voir. «

Lorsqu’on ne sait pas expliquer quelque chose, on lui donne un nom » affirme l’académicien russe Grigory Petrovitch Grabovoï. Cette pensée s’applique parfaitement à l’étiquette « cancer », comme du reste à toutes les maladies. Leurs dénominations sont mystificatrices et déresponsabilisatrices, car elles occultent le fait que les pathologies sont des réactions du corps à l’environnement psychologique ou physique. Plus grave encore, ces appellations font croire en une existence autonome des maladies et plus particulièrement du « cancer », ce qui relève absolument du mythe*. Dans cette mythologie certains malades vont même jusqu’à dire que « le crabe est en train de les dévorer ». C’est dire l’importance du mythe !

L’autopsie radiesthésique

On objectera que des gens « meurent du cancer ». Certes, les malades décèdent, mais de quoi meurent ils exactement ? Dire que quelqu’un meurt de ceci ou de cela est très facile. Encore une fois des étiquettes ! On peut mourir de peur, de chagrin, de faim, d’une overdose, de l’absence de projets, d’un choc psychologique, par auto programmation, par erreur médicale, à la place d’un autre etc… Alors, quelles sont les causes exactes des décès ? En prenant les facteurs déterminants les dérèglements énergétiques, on trouve, au cas par cas, le ou les facteurs dont le cumul entraîne la mort. En moyenne, sont en cause : l’agressivité rentrée, l’inhibition, une situation conflictuelle durable et des zones pathogènes dans l’habitat. Le diagnostic précipite généralement le malade dans le désespoir, son annonce équivaut dans l’esprit des gens à une condamnation.

L’idée même d’un « cancer » est pourrait-on dire « cancérigène » ! Les chamanes et les extralucides russes actuels témoignent d’une vision d’esprits malfaisants dans les régions malades et non de quelconques virus ou de microbes. C’est dire l’importance de la peur et des idées noires. En radiesthésie, on constate que l’annonce d’un diagnostic « cancer » ou celle de la date d’une opération, fait chuter les énergies. Une personne qui se sait « cancéreuse » vit par conséquent un double stress :

  • celui du conflit personnel, qui est à l’origine de la prolifération des cellules dites « cancéreuses ».
  • celui du diagnostic qui affecte l’ensemble des cellules.

De telles situations conduisent souvent à la mort alors que tout est mis en place par la médecine pour l’éviter ! En effet, le professeur Laborit l’a parfaitement démontré : lorsqu’un individu n’est plus en mesure de combattre la difficulté qu’il vit, il se laisse mourir à petit feu. On dit du reste des malades qu’ils sont des patients.

Guérison

Au lieu de « lutter contre le cancer » il est donc avant tout nécessaire d’expliquer ce qu’il est et surtout ce qu’il n’est pas ! Il importe de sortir le public de la peur. Elle est aveuglante.

Or le « cancer » fait peur. Il s’agit de comprendre, de renseigner, avant de soigner dans la précipitation. La guérison véritable (à ne pas confondre avec les rémissions) se produit lorsque le malade réalise ce qui se passe et coopère. Le choix de la thérapie devient alors en quelque sorte secondaire (médecine officielle ou médecines alternatives) puisque la personne sait ce qu’elle doit dépasser. En revanche, lorsque le malade subit une pression sans comprendre ce qui lui arrive et cède à celle-ci, il perd le contrôle de sa vie.

On connaît l’issue de telles situations. La difficulté que l’on rencontre en la matière se situe au niveau de la conscience collective et d’une véritable industrie du cancer qui rend incertaine la frontière entre les nécessités purement médicales et celles liées aux raisons économiques.

L’essence de la maladie se situe au niveau de l’être et de la manière dont il aborde la vie. Il y a donc à expliquer au malade que son corps réagit aux difficultés qu’il traverse, et que seul le changement de son regard, de son mode de vie, de son monde d’alimentation lui permettront de se tirer d’affaire.

La maladie est une incitation à se réveiller et à s’éveiller à des remises en question en profondeur et en définitive à une vie harmonieuse. Pour cela, il importe d’abandonner tous les masques et les compromissions car dans toute maladie, il y a un mensonge à soi-même… à débusquer.

Serge FITZ
http://survey-smiles.com/

L’auteur a publié chez Recto Verseau un ouvrage intitulé « La maladie, un mythe qui se porte bien »

Source: Amessi