La maladie est aussi un message de notre inconscient

Trevor-Leat-Falkland-300x239La maladie est un message de notre inconscient, de notre âme.En fait ça va dans les deux sens : la maladie est la conséquence des multiples pollutions auxquelles on est confronté, qui encrassent nos cellules. En même temps, elle est un langage. Thème fort développé ces dernières années par de multiples auteurs, très bien médiatisé par la revue Néosanté, enseigné par plusieurs écoles de « psychosomatique ».L’être humain est ce qu’il y a de plus complexe dans l’Univers. Une âme incarnée dans un corps physique disent les philosophes.Telle une oeuvre faite en osier, avec de multiples brins qui s’entrelacent presqu’à l’infini, l’être humain est le lieu d’une multitudes de causes et effets, de mémoires qui s’entremêlent. Les mémoires de notre corps, de nos ancêtres, de notre âme, avec pour les interconnecter, la  tuyauterie des méridiens et des nadis (méridiens des chakras). Une complexité que personne, en ce monde, ce peut prétendre appréhender dans sa totalité. Une seule personne sait ce qui est nécessaire de faire pour guérir : vous-même.Il est primordial de se détoxiner disent les naturopathes. Il est nécessaire d’apporter les nutriments dont nos cellules ont besoin pour fonctionner disent les nutritionnistes. Il est nécessaire de comprendre puis déprogrammer les mémoires familiales disent les psy et les « décodeurs » de mémoire cellulaire. Tous ont raison, tous apportent une pierre à notre chemin, celui de retrouver, recouvrer puis conserver une pleine santé.

9782914569620FSEt si la maladie n’était pas un hasard, dit le Dr Thomas-Lamotte, neurologue passionné de mémoire cellulaire, dont le livre est remplie d’exemples de personnes qui ont développé puis guéri leur maladie qui était en lien avec un événement, un ressenti, une mémoire gardée au fond de soi.La maladie est un message qui vient nous demander de changer de paradigme, changer profondément notre style de vie. La plupart des maladies sont initiatiques. Egalement un appel à un processus de pardon.Qu’est ce que le pardon ?C’est déposer les bagages. Déposer à terre des bagages que l’on a plus à porter.Si on vous a fait une « crasse », il faut se rappeler que la justice divine, ça existe. Elle se charge de juger les « mauvais agissements » des personnes qu’on a rencontré sur son chemin.
De notre côté on peut pardonner à leur âme ; après tout elle est venu, comme nous, expérimenter l’imperfection de ce monde.Ce monde, je rappelle qu’on l’a de toute manière choisi.On vient en fait nettoyer, guérir notre lignée familiale, c’est le principal but de la vie, en même temps que  de trouver les ressources pour s’épanouir et de développer les talents qu’on a choisit de développer.On a beaucoup plus de libre arbitre que ce qu’on croit.

Cela signifie qu’on choisit TOUT ce que l’on vit, consciemment ou inconsciemment.

Quand c’est semble-t-il inconscient c’est que notre âme a choisit de nous faire grandir par une épreuve, qui nous confronte à une mémoire familiale que l’épreuve réveille. Cette mémoire qui est toujours en résonance avec la mémoire d’une autre vie, pour ceux qui y croient, qu’on a décidé de transmuter.

Si notre âme a choisit une épreuve c’est qu’elle nous sait capable de la vivre ; elle nous sait capable de résoudre toute la lourdeur de la lignée familiale qu’on a choisi. Le cas échéant en rencontrant des personnes qui nous donnent un coup de main…

Un exercice est souverain pour aller interroger la fonction physiologique ou l’organe de son corps qui ne fonctionne plus correctement.
C’est celui d’écouter, sur le site de Guy Corneau, le dialogue avec les cellules.

REVIVREEt comme Guy Corneau l’explique si bien dans son livre Revivre (dans lequel il raconte comment il s’est guérit de son cancer), pratiquer des séances de visualisation est un exercice qui peut changer votre vie. Se visualiser guéri, goûtant la vie avec tous ses sens : le goût, l’odorat, le toucher, la vue, l’ouïe ; accomplissant les rêves de son âme…

C’est gratuit.

C’est la liberté de notre âme. Cette âme à qui on redonne toute sa place. Notre âme tellement incarcérée et mise « dans des boites » comme dit si bien Pierre Rabhi.

La maladie c’est le moment de faire abstraction de nos auto-limitations, projeter ce que l’on rêve de réaliser dans sa vie. On peut l’écrire aussi. Ecrire le rêve de son âme.

Mon rêve à moi, c’est celui de contribuer à ce que d’autres écrivent le leur.

Christophe

source: cledesante