Les mammographies sont plus nocives que vous ne le pensez

mammographie

La mammographie a acquis la réputation d’être un outil efficace pour le dépistage du cancer du sein. Mais certaines recherches d’experts suggèrent qu’elle pourrait faire plus de mal que de bien.

Elle augmente le risque de cancer

Subir une mammographie oblige les femmes à être exposées à des rayons. Et les rayons, comme nous le savons, sont une cause de cancer.

Le Dr Russell Blaylock, oncologue, chirurgien du cerveau et expert en neurosciences, a estimé que des mammographies annuelles pouvaient élever annuellement de 1 à 3 % le risque de cancer. Selon lui, « certains radiologues disent que ce pourcentage serait encore plus élevé ».

Lors d’une étude sur 1600 femmes européennes publiée dans le Journal d’Oncologie Clinique en juillet 2006, des chercheurs ont découvert que les femmes ayant subi des mammographies présentaient un risque plus élevé d’au moins 54 % de développer un cancer du sein par rapport à celles qui n’en avaient jamais fait.

Par ailleurs, le Dr Samuel Epstein, dans son livre « les politiques du cancer », a écrit : « Une mammographie régulière des femmes jeunes augmente le risque de cancer. Une analyse de contrôle sur dix ans a montré dans les années ayant suivi les débuts du dépistage une augmentation importante de la mortalité par cancer du sein. Ce qui apporte une preuve de la forte sensibilité des seins chez les femmes non ménopausées et les effets cancérigènes cumulés des rayons ».

Et il n’y a pas que les rayons. Pendant la mammographie, la poitrine est littéralement « écrabouillée » afin d’obtenir des images plus claires. La douleur peut être violente au point de faire pleurer certaines femmes. Une telle manipulation physique des tumeurs, si c’est bien le cas, pourrait en fait déclencher une propagation des cellules cancéreuses dans l’organisme.

Le Dr Charles Simone, ancien associé à l’Institut National du Cancer, disait que « les mammographies augmentent le risque de développer un cancer du sein et augmentent le risque de disperser une tumeur existante ».

Une faible exactitude

De nombreux médecins pensent que les mammographies sont inefficaces dans la détection des tumeurs du sein. Une étude suédoise publiée dans le British Medical Journal qui impliquait 60.000 femmes, a révélé que 7 tumeurs sur 10 signalées par les mammographies étaient en fait de « faux positifs ».

Et de faux positifs entraînent souvent une angoisse inutile, des frais financiers, des biopsies invasives et même une mutilation physique.

« Les diagnostics ne sont vraiment pas très précis et de nombreuses femmes se voient contraintes à subir une chimiothérapie et une radiothérapie sans aucune raison », a dit le Dr Blaylock.

Sans parler aussi de l’enlèvement d’un sein avec la mammectomie

Elle ne diminue pas le taux de mortalité

Pis encore, une recherche, incluant une large étude récente canadienne qui a suivi 90.000 femmes pendant 25 ans, a montré que les mammographies ne diminuaient pas le taux global de mortalité du cancer du sein. Il est clair que si certaines mammographies ont sauvé certaines femmes, elles sont probablement nocives pour les autres. Il est important ici de faire une distinction entre des analyses qui touchent le domaine émotionnel et des analyses en vue de statistiques ; et il faut garder une vision d’ensemble.

Profit et politiques

Pourquoi alors la mammographie reste-t-elle l’outil de dépistage dominant ?

« Cette industrie entretient l’activité de radiologues, de manipulateurs en radiologie, de chirurgiens, d’infirmières, de fabricants d’équipement radiologique, d’hôpitaux, etc, et on ne l’autorisera pas à disparaître dans le cadre du traitement et de la prévention du cancer du sein », a déclaré le Dr James Howenstine.

« Il est prouvé que les mammographies ne donnent pas un diagnostic exact et qu’elles peuvent induire un cancer du sein, surtout chez les femmes très sensibles. Mais il y a tant d’argent à gagner et tant d’argent a été investi dans ces unités hospitalières, que personne ne veut admettre la vérité », a ajouté le Dr Blaylock.

Un outil de diagnostic alternatif

Une bonne alternative à la mammographie est la thermographie, une méthode de diagnostic sans danger, très précise, peu coûteuse, qui peut détecter un cancer du sein plusieurs années à l’avance, bien avant les examens physiques et les mammographies. Des médecins progressistes d’Europe et des US utilisent la thermographie [analyse des différences de température au niveau du sein] depuis 1962.

Sources:

Blaylock, Russell L, MD. Natural Strategies For Cancer Patients. New York, NY: Kensington Publishing, 2003. Print.

Somers, Suzanne. Knockout: Interviews With Doctors Who Are Curing Cancer And How To Prevent Getting It In The First Place. NY, USA: Three Rivers Press, 2009. Print.

Bollinger, Ty. Cancer: Step Outside The Box. 5th ed. USA: Infinity 510 510 Partners, 2011. Print.

https://www.nytimes.com/

https://www.naturalnews.com/

https://bistrobarblog.blogspot.com/

Un commentaire

  1. babin dit :

    Mais où se pratique la thermographie en France ? Merci

Comments are closed.