Un médecin se convertit à l’alimentation vivante et guérit son arthrite, son diabète, sa maladie coronarienne et son obésité !

arbres

C’est le témoignage qu’a donné le Dr Gary J. Dellerson, de West Palm Beach, Floride, sur le magazine Healing our World (Volume 34 – Issue 1) de l’Institut de santé Hippocrate en Floride.

Je pensais que je faisais tout bien :  bœuf biologique nourri à l’herbe, poulet bio élevé en plein air, saumon sauvage et thon du pacifique nord, fruits et légumes biologiques. J’ai découvert qu’à part les fruits et les légumes je faisais tout faux.

J’étais un médecin de 69 ans avec un diabète insulino-dépendant* de l’arthrite dans les articulations majeures, une maladie coronarienne** et de l’obésité. Je faisais 1,80m pour 110 kg. J’avais essayé tous les régimes de pointe célèbres, qui fonctionnaient durant un court moment mais se terminaient toujours en m’ayant ajouté plus de poids que je n’en avais en commençant.

A ce point de ma vie j’avais besoin de faire quelque chose de spectaculaire. J’avais entendu parler de l’Institut Hippocrate (HHI) depuis plus de 20 ans et je n’aurais jamais envisagé une alimentation de type végétalien. Cela me semblait bizarre, restrictif et à l’opposé de tout ce que je connaissais. J’ai finalement découvert que : vous ne connaissez pas… ce que vous ne connaissez pas !

Après en avoir discuté avec ma famille j’ai décidé d’aller vérifier le HHI où j’ai parlé au directeur, le Dr Brian Clement. Il m’a présenté tous les avantages que son Programme de transformation de vie pouvait m’apporter et m’a assuré que je me débarrasserais de mon insuline en un temps très court. Je décidais d’essayer et m’inscrivis pour le programme de trois semaines.

Mon séjour au HHI a été l’expérience la plus transformative de ma vie. Cela a changé et modelé mon appréciation sur le processus de guérison naturelle. Conférences surprenantes, sessions de psychothérapie, programme d’exercices, diverses modalités de traitement, évaluations médicales, rapports de laboratoire des progrès et détoxification sont juste quelques exemples de ce qu’offre le programme.

La nourriture, bien qu’extra-terrestre pour moi au début, était fantastique et j’ai appris de nombreuses recettes qui rivalisaient avec les plats traditionnels. Je n’ai pas réalisé alors que j’étais là-bas à quel point j’étais gâté avec les repas qui m’étaient servis. Cela a rendu ce passage majeur à une alimentation crue végétale, facile et sans heurt. Mes remerciements au chef de l’Institut, Ken Blue et à sa formidable équipe.

Ce qui m’a réellement motivé fut qu’après deux jours je n’avais plus besoin de mes médicaments anti-inflammatoires pour les problèmes articulaires. J’étais complètement libéré de mon insuline en juste 11 jours. J’ai perdu plus de 11 kg durant mes trois semaines au HHI et après quatre mois j’avais perdu un total de 22 kg.

Aussi émerveillé ai-je été par mes résultats, je fus encore plus impressionné par les succès obtenus par les autres visiteurs qui étaient venus avec de sérieux problèmes de santé.

Plusieurs sont arrivés en chaise roulante et quand je suis parti, soit ils marchaient, soit ils semblaient plus solides, plus énergiques et alertes. Il y avait beaucoup de gens avec des degrés divers de cancer. Même ceux qui avaient été diagnostiqués en phase terminale semblaient plus forts et d’une façon générale notablement mieux portants.

Il y avait là, je pense, environ 100 visiteurs de 18 pays en même temps que moi. Beaucoup avaient entendu tellement d’expériences positives de personnes dont ils savaient qu’elles avaient adhéré au programme de trois-semaines que ce fut pour eux un facteur motivant pour s’inscrire au HHI.

Après avoir terminé le programme, je m’éloignais du HHI sachant que le système immunitaire du corps peut pratiquement guérir tous les problèmes de santé. Fournir les nutriments nécessaires, détoxifier et éliminer les métaux lourds qui se sont accumulés au cours d’une vie sont les clés d’une santé optimale.

Après avoir été exposé à une quantité débordante de connaissances utiles, un programme détaillé sur la façon de continuer ce que nous avions appris nous a été fourni pour la période transitoire de notre retour dans le monde réél. Kathryn Lippman, directrice du service clientèle, le fournit lors de l’entretien de départ que chacun a avec elle. Cela m’a permis de partir avec la confiance nécessaire pour continuer seul le programme.

Après plusieurs mois, je continue à suivre le programme entier et planifie d’aller plus avant. Je fais désormais pousser ma propre herbe de blé et mes germes. Le régime ne nécessite pas rééllement de force de volonté parce que je n’ai aucun désir pour tous les aliments que j’aimais auparavant.

Les Drs Brian et Anna Maria Clement et leur personnel veulent que nous réussissions, donc ils se rendent disponibles pour toute question que nous pourrions avoir à poser. En parlant de Brian et Anna Maria, si vous décidez d’aller au HHI, ne ratez aucune des sessions qu’ils donnent. Non seulement sont-ils incroyablement compétents mais ils transmettent aussi l’information d’une manière stimulante et ludique.

Le programme est bien composé et bien exécuté. Il évolue au fil de la progression des connaissances et de l’expérience. Ceci se passe sur 20 hectares d’un endroit de première qualité avec un personnel excellent, professionnel et attentionné.

Bien que je fus sceptique avant de commencer mon expérience HHI, je suis désormais un véritable converti et recommande ce programme sans réserve à tous ceux qui ont un problème de santé ou souhaitent juste optimiser leur bien-être.

* Voir aussi cette liste d’articles traitant du diabète.

** A ce propos je vous signale un ouvrage (en anglais) écrit par un médecin qui avertit que 85% des opérations coronariennes sont inutiles et n’apporteront aucune amélioration au patient…  dans tous ces cas l’alimentation et le mode de vie suffisent à régler le problème, ce que ne manque pas de clamer le Pr Campbell (Le Rapport Campbell : La plus vaste étude internationale à ce jour sur la nutrition), tout comme le Dr Caldwell Esselstyn.

D’autre part vous trouverez ici une présentation en français de l’Institut Hippocrate (moins « glamour » que l’original en anglais !) et vous trouverez aussi sur notre page « autres liens intéressants » les coordonnées d’accompagnatrices des groupes de visiteurs français.

NOTE : Vous pouvez lire ici quantités d’autres témoignages de guérisons obtenues par des méthodes naturelles (exclusivement pour la majorité des cas ou en partie pour certains autres cas : les gens hélas n’y venant souvent que lorsque toutes les offres « conventionnelles » ont été épuisées).

Source : Veg an’ Bio

3 commentaires à “Un médecin se convertit à l’alimentation vivante et guérit son arthrite, son diabète, sa maladie coronarienne et son obésité !”

  1. CYMONE dit :

    Bonjour
    « L’alimentation vivante » ce serait essentiellement les fruits et les légumes que l’on mange crus afin qu’ils ne perdent pas à la cuisson, leurs saveurs, leurs qualités gustatives, nutritives, réparatrices et préventives.
    L’idéal serait même qu’ils passent directement du jardin à l’assiette en n’ayant pas traînés sur les étales des supermarchés. On mordrait dans les fruits à pleines dents alors qu’on viendrait tout juste de les cueillir sur l’arbre. L’idéal serait d’avoir son propre jardin, mais nous n’avons pas tous cette chance-là. Si on oublie l’idéal, on peut se satisfaire d’une agriculture bio, comme le dit si bien « Santé-Nutrition » dans son article « l’alimentation vivante » qui nécessite essentiellement d’être végétalien et surtout de manger cru.
    D’après le témoignage du Dr Gary J. Dellerson cette alimentation peut nous détoxiquer, éliminer les métaux lourds, nous guérir de certaines maladies, réduire l’obésité etc. Des malades ont eu aussi de belles réussites en éliminant tous les produits laitiers, les viandes, les poissons et les céréales contenant du gluten.
    Avant que ma colopathie se déclare brusquement, j’avais goûté à la nourriture végétarienne et au cru par excellence*. J’y croyais tellement que je pensais être protégée des maladies. Si bien que lorsque mon ventre se déchaîna brutalement vers l’âge de 40 ans, je ne comprenais pas pourquoi ! Les anti-végétariens de tout bord me disaient « mange de la viande et fais cuire tes légumes, tu verras, ça ira beaucoup mieux.» Je les ai écoutés en faisant machine arrière, cependant ma santé continuait de se détériorer, et pour cause : j’étais déjà empoisonnée par les métaux. Qui allait le détecter à l’époque ? Personne ! Aucun médecin ne pensait à ça, et tous y allaient de leurs bons ou mauvais conseils. Et pourtant j’avais sans doute raison de manger bio et sans dénaturer mon alimentation par la cuisson. Je n’en doute plus, car actuellement je lis des témoignages de fibromyalgiques et colopathes, de gens souffrant d’intestins déréglés qui attestent s’en être sortis grâce à cette hygiène de vie.
    SN évoque dans son article, que les crudités participent à la détoxication et à l’élimination des métaux lourds ou légers de l’organisme. Soit, mais elle ne peut se faire correctement si l’on n’élimine pas auparavant les métaux nocifs qui sont implantés dans notre bouche, par le biais des prothèses dentaires. Il ne sert à rien de faire une chélation des métaux par les plantes, sans éliminer leur source ! D’ailleurs, si je suis guérie de ma colopathie, (ou SII) c’est avant tout parce qu’en fin 2009, mon dentiste à changé mes 2 couronnes dentaires, l’une était en or, l’autre en acier ! Bel exemple de polymétallisme et d’électrolyse qui nous ruine sournoisement la santé et nous empoisonne.
    Au sujet des protéines, serait-il indispensable de consommer de la viande pour en trouver ? Les protéines végétales sont peut-être plus adaptées à nos organismes, et plus assimilables. J’emploierais aussi facilement les mêmes termes pour les lipides. La graisse animale, ne serait bonne pour personne car elle encrasserait nos artères. Quand aux glucides, que l’on trouve par exemple sous forme de lactose (ou sucre de lait) est-il si bon à notre santé ?
    Oui, je pense que le régime végétalien peut apporter beaucoup d’énergie et de bonne santé à ceux qui veulent en finir avec tous les maux qu’ils traînent depuis des années. Je pense aussi qu’on peut progressivement changer de régime alimentaire en étant d’abord végétarien. C’est un bon début qui apporte des solutions, à condition de trouver un bel équilibre « protides, lipides, glucides ».
    Depuis ma guérison, je mange toujours bio, mais j’ai presque remplacé la viande et le poisson par des fruits et des légumes souvent crus. J’ai éliminé les produits laitiers et les inflammations de la sphère ORL qui allaient avec. J’ai presque éliminé le gluten, et totalement éliminé les petites douleurs que je ressentais au niveau du côlon ascendant ; pourtant je n’ai pas la maladie cœliaque ! J’espère repasser bientôt au régime végétarien, pour améliorer mes qualités de vie. Et après, pourquoi ne pas essayer le régime végétalien pour me protéger d’avantage en renforçant mon système immunitaire. Bien sûr, ces changements demandent de la volonté, et surtout beaucoup de rigueur. Mais essayer ne risque que de m’apporter un bien être supplémentaire !
    Bien cordialement
    Cymone
    *J’avais un collègue de travail qui était un fervent adepte du végétalisme et des crudités. Il ne cessait de mettre en avant les bienfaits de cette alimentation. Et pour cause ! Son père, artisan boucher, avait attrapé un cancer. En phase terminale il avait décidé, sur les conseils d’un médecin, de passer au régime végétalien et à l’alimentation vivante, alors qu’auparavant il consommait d’avantage de viande que de fruits et légumes et que de surcroît il consommait très peu de crudités.
    Ca avait été très difficile au début, car son médecin lui avait d’abord suggéré de jeûner pour éliminer les toxines animales. Comme il ne tenait plus que par un fil, il avait accepté l’expérience, car il n’avait plus rien à perdre. Bien sûr, il était en clinique et surveillé attentivement. Le résultat avait été phénoménal, car suite à ce traitement il avait retrouvé un peu d’énergie et suffisamment de force pour continuer à vivre. Rentré chez lui, il avait appliqué ce régime qui tout compte fait n’était pas aussi contraignant qu’il l’avait imaginé. Il avait trouvé d’autres plaisirs dans la nourriture et dans la vie. Pourtant avant sa prise en charge par ce fameux médecin, on lui avait pronostiqué 5 ou 6 mois à vivre. Or il a vécu 5 ans de plus ! Entouré par sa femme et ses enfants qui l’ont chéri jusqu’au bout, il a certes vécu au ralenti, mais il s’est éteint tout doucement, sans souffrir le martyr.
    Cette expérience, le fils l’a contée mille fois autour de lui. Lui, fils de boucher, n’hésitait pas à dire que la viande, même bio, n’était pas bonne à la santé !

    • Jeremy dit :

      Bonjour madame.je suis dans le même cas que vous je suis empoisoné par les Metaux que j’avais dans la bouche mais je ne trouve perssone pour m’aider à me désintoxiquer.pouvez vous m’aider svp

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