Vaccins: Un médecin décidé à respecter son Serment d’Hippocrate : « D’ABORD NE PAS NUIRE »

Interview du Dr Anthony Phan, M.D. par Polly Tommey (VAXXED)

Dr A. Phan : Je suis originaire du Vietnam. A cette époque, un chaos total régnait dans le pays. Les enfants étaient séparés de leurs parents. Mon frère et moi avons aussi été séparés de nos parents. Nous nous sommes enfuis du Vietnam pour rejoindre les Etats-Unis. A cette époque, mes parents pensaient, à juste titre, qu’un système qui possédait un contrôle total sur nos vies, sur ce que nous mangions, lisions, sur ce que nous devions penser, était vraiment injuste, immoral et malfaisant.

Mon frère et moi avons été séparés de nos parents. C’est finalement bien plus tard que nous nous sommes retrouvés aux Etats-Unis. Quand j’ai eu 11, 12 ans, j’ai voulu devenir médecin. Après avoir lu quantité d’ouvrages sur la médecine, je me suis inscrit à la Faculté de médecine et ai poursuivi mes études.

Je me suis longtemps penché sur le « Sement Hippocratique », et en tout premier lieu, j’ai longuement réfléchi sur le tout premier principe qui exige que le médecin ne fasse pas de mal: « D’abord ne pas nuire ».

J’ai bien compris que ce serment concernait avant tout le patient et non le CDC, le gouvernement ou la FDA, mais essentiellement le patient.

Un jour, je fus averti que si je prenais conscience que, si ces trois-là se retrouvaient dans le même lit, j’aurais à me montrer particulièrement prudent. On m’avait donc bien averti que si je voyais que les compagnies pharmaceutiques partageaient le même lit avec le gouvernement pour contrôler la situation, j’aurais à bien réfléchir à ma carrière de médecin et sûrement à prendre d’importantes décisions. J’aurais peut-être à prendre ma pension, donner ma démission parce qu’alors je serais de nouveau plongé dans la même situation de contrôle qui avait forcé ma famille à quitter le Vietnam des années auparavant. Je savais que ceux qui contrôlent la santé, contrôlent en fait aussi le peuple.

Mon expérience avec les vaccins a commencé aux environs de l’an 2000. Je m’interrogeais déjà alors sur ce qui n’allait pas dans la pratique médicale. J’avais aussi remarqué que quand j’administrais le vaccin contre la grippe à des personnes âgées, ces patients finissaient par devenir très malades. Ils faisaient des infections respiratoires, des pneumonies, Certains faisaient de graves complications, puis mouraient. J’administrais ces vaccins parce qu’en fait ils étaient recommandés par le CDC avant que la saison grippale ne débute.

Polly (maman d’un enfant gravement handicapé après des vaccinations) : Quand vous avez fait vos études de médecine, vous a-t-on donné des cours sur les effets secondaires des vaccins ?

Dr Phan : Zéro ! Rien du tout ! Quand les patients venaient me voir après avoir été vaccinés, ils me disaient : après avoir été vaccinés, j’ai fait une infection respiratoire pendant 15 jours. D’autres me racontaient s’être retrouvés à l’hôpital pour une pneumonie après avoir reçu le vaccin.

Les médecins doivent se réveiller, je suis tellement désolé!

Toutes ces observations m’ont bien fait réfléchir à la relation de confiance qui doit exister entre le médecin et son patient. Cette relation de confiance me parait essentielle.

Après avoir administré plusieurs vaccins contre la grippe, je me suis demandé ce qui se passait et j’ai fini par décider d’arrêter.

J’ai alors commencé à approfondir mes connaissances dans ce domaine. Un jour, j’ai découvert un article sur un lanceur d’alerte du CDC. Cet article parlait de fraude, de fausses données. J’ai donc commencé à prendre mes distances par rapport au CDC car je voulais obtenir des données claires et sûres. J’ai commencé à réaliser que le mercure pouvait avoir un impact négatif sur le cerveau. Après toute une série de découvertes, l’idée m’est venue d’arrêter de vacciner mes patients.

Au cours des dernières années, j’ai été stupéfait d’apprendre que dans certaines régions, les vaccins étaient devenus obligatoires. – Les vaccins ne doivent au grand jamais être rendus obligatoires. Même s’il s’agit d’un bon, d’un merveilleux médicament, si le patient décide de ne pas le prendre, c’est très bien, c’est son choix à lui. Il s’agit bien ici de la relation de confiance entre le médecin et son patient. Cette relation est en quelque sorte sacrée.et ne peut être mise en cause par personne, même pas par le gouvernement. Celui-ci peut, bien entendu, proposer des directives. – Je ne suis nullement anti- médecin, ni anti-science. Par contre, je suis contre la mauvaise et la fausse science. Je suis aussi contre la mauvaise médecine. Je suis aussi contre tout ce qui est imposé par la contrainte, par la force ou rendu obligatoire. Mon expérience m’a rendu très sceptique par rapport à la FDA et au CDC.

J’ai accepté cette interview parce que je veux, en quelque sorte, provoquer les médecins en leur proposant de voir le film documentaire VAXXED, de la dissimulation à la catastrophe.

Je me suis rendu compte que des « ennemis » parvenaient à s’infiltrer dans l’institution médicale. On apprend, par exemple, aux étudiants en médecine, aux jeunes médecins de virer les patients qui posent trop de questions sur les vaccins tout en les vaccinant envers et contre tout ! Qu’est-ce cela pour un enseignement ? Tout cela est inadmissible ; cette attitude dépasse de loin les questions d’argent et d’avidité. Avec cet endoctrinement des jeunes médecins, nous avons affaire ici à des attitudes maléfiques.

Comme je discute souvent avec une amie pédiatre, j’ai pu me rendre compte qu’elle n’était pas informée. Toute l’information qu’elle recevait provenait du CDC.

Par le biais de cette interview, je voudrais pouvoir lui dire ceci : avant de vacciner le prochain enfant, pourrais-je te demander de visionner le documentaire VAXXED. J’ose espérer qu’elle pourra voir le film et changera d’avis, car, il faut aussi savoir que les pédiatres qui effectuent l’entièreté du programme vaccinal officiel reçoivent de l’argent. […]

Après la guerre du Vietnam, les autorités en place ont envoyé des médecins, des enseignants dans les camps de concentration. Ces personnes-là ne sont jamais revenues. Je sais que l’on désinforme et que l’on fait peur aux médecins. Personnellement, j’ai reçu une lettre de menace de Medicare à propos des dossiers médicaux que je ne voulais pas communiquer. Tout le monde doit savoir que ces dossiers sont strictement confidentiels. Le gouvernement voudrait tout savoir sur ces dossiers privés. J’ai refusé de donner ces informations. Le second point du Serment d’Hippocrate concerne justement la protection des données privées du patient. Je leur ai dit que les médecins qui acceptaient ces choses, cessaient automatiquement d’être des médecins.

Je voudrais demander à tous les médecins de relire le texte de leur Serment d’Hippocrate.- Quand j’ai vu le film documentaire hier soir, je me suis surpris à pleurer. S’adressant à Polly qui l’interviewait, et dont l’enfant est resté handicapé à vie à la suite de vaccinations, le Dr Phan, la larme à l’oeil, lui a dit : je suis si triste pour votre enfant ; je regrette tellement, je regrette tellement !

Tout ému, le Dr Phan dit à Polly : je suis tellement désolé, tellement désolé pour votre enfant !

Polly : Docteur, je vous remercie infiniment, et vous suis tellement reconnaissante pour ce que vous avez dit. Si tous les médecins avaient votre courage, Tous ces problèmes seraient réglés, car, de par le monde, il y a des millions de personnes et d’enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins.

Source: initiativecitoyenne.be