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Alzheimer, Parkinson… à qui profite l’explosion des maladies neurologiques ?

Un million de malades d’Alzheimer en France. Une « pandémie neurologique » dont les victimes sont de plus en plus jeunes. Et les causes parfaitement identifiées. Pourtant, les autorités sanitaires préfèrent regarder ailleurs, dénoncent la scientifique Marie Grosman et le philosophe Roger Lenglet. Dans les coulisses de la recherche et des décisions gouvernementales, ils ont enquêté sur les nombreux conflits d’intérêts qui paralysent toute politique de prévention. Entretien. Lire la suite →

Les compléments alimentaires qui guérissent

Couverture des Compléments alimentaires qui guérissent

Allergies saisonnières, arthrose, ostéoporose, constipation, insuffisance veineuse, hypertension artérielle, diabète de type 2, migraines, insomnie, spasmophilie, psoriasis, maux de dents, ménopause, fibromyalgie, polyarthrite rhumatoïde, maladie d’Alzheimer, chimiothérapies…

Et si vous vous tourniez vers les compléments alimentaires ? Car ils peuvent vous aider à aller mieux, voire nettement mieux !

Le marché des compléments alimentaires est en plein essor. De plus en plus de produits innovants à la composition irréprochable sont désormais disponibles. Encore faut-il savoir repérer ces produits de qualité parmi tous ceux qui inondent actuellement le marché.

D’où le grand intérêt de cet ouvrage, éminemment pratique, qui balaie un large spectre de troubles de santé, indiquant, pour chacun d’entre eux, les cures à entreprendre à l’aide de produits soigneusement sélectionnés par un spécialiste des compléments alimentaires. Lire la suite →

Le stress, faites-en un allié

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Les symptômes du stress sont multiples 

creux dans l’estomac, gorge nouée, souffle coupé, sensation d’être dépassé ou encore problèmes de sommeil ou tensions musculaires inexpliquées… Mais le stress n’est pourtant pas une maladie. Qui ne s’est jamais senti galvanisé face à un défi habilement relevé, une situation inextricable magiquement surmontée?? Quel est donc vraiment ce flot d’énergie d’apparence incontrôlable?: ami ou ennemi??

Les ressorts du stress

Mieux connaître les ressorts du stress, c’est assurément un premier pas pour l’apprivoiser. Son mécanisme, qui se déroule en trois phases, a été décrit sous les termes de «syndrome général d’adaptation», par Hans Seyle, un endocrinologue canadien.

La première, dite phase d’alarme, est une réaction immédiate. L’adrénaline met toutes nos cellules nerveuses en alerte afin de générer une réponse adaptée à la menace (observation puis choix d’action ou de fuite). La tension artérielle augmente ainsi que la fréquence respiratoire, le rythme cardiaque et l’insuline, tandis que la digestion est bloquée, nos poils se hérissent, nos mains et pieds deviennent froids et nos pupilles se dilatent. Nous sommes instantanément prêts à faire face.

Quand le danger est écarté, le système orthosympathique cesse de faire feu et les mécanismes de récupération du corps, via le système parasympathique, prennent alors le relais. C’est ainsi que nous alternons entre action et récupération.

Cependant si la menace dure ou si les facteurs de stress se succèdent trop rapidement, le corps doit alors maintenir son effort face au danger (présumé ou réel) et libère alors du cortisol via les surrénales, les glandes endocrines situées au-dessus des reins.

On entre alors dans la phase de résistance qui peut durer plusieurs jours, des semaines, tant que l’agent stressant est présent. Au passage, le cortisol entraîne tout un cortège de conséquences qui affaiblissent notre organisme (lire ci-contre). Comprendre ces mécanismes peut nous permettre d’agir à temps et d’éviter la dernière phase, celle de l’épuisement : parce que l’événement stressant est trop fort en intensité ou dure trop longtemps, il nous laisse exsangue.

À chacun son stress

Il n’existe pas de véritable consensus pour déterminer à partir de quand le stress devient toxique. Ses ressorts sont propres à chacun et sollicitent notre être profond, notre histoire, notre manière de traverser la vie et notre capacité à accueillir le changement.

À l’origine du stress, on retrouve toujours la peur générée par une situation inconnue et qui nous oblige à changer. Pour chacun la source de cette peur sera différente: 

«Ce qu’une personne perçoit comme une menace incontrôlable peut représenter un défi bienvenu pour une autre», explique le professeur Gerald Hüther, un éminent neurobiologiste allemand.

Ce stress que nous croyons notre ennemi est en fait notre allié et source de progrès. À chaque obstacle surmonté, notre organisme apprend et fait en sorte qu’à la menace suivante la réponse sera plus rapide, efficace et sans stress ! Cela explique qu’un enfant dont la mère s’absente va d’abord pleurer face à ce stress intense puis petit à petit s’habituer et la première fois que nous conduisons, nous pouvons avoir le cœur qui bat ou les mains moites, avant que ces symptômes ne finissent par s’atténuer.

Pour nous encourager à progresser, le cerveau a mis en place des circuits de récompense qui s’activent et nous procurent du bien-être quand nous avons réussi à surmonter un problème. Ainsi nous pensons pouvoir tout contrôler et maîtriser… À tort?!

Dans un environnement stable jalonné de défis plus ou moins identiques, nos circuits neuronaux existants se perfectionnent dans un mode de pensée spécifique voire unique ce qui en réalité nous fragilise. Qu’un stress totalement nouveau surgisse et c’est la crise. Il nous faut alors puiser tout au fond de nous de nouvelles ressources car nos autoroutes de la pensée bien rôdées sont devenues impraticables et notre cerveau nous oblige à sortir des sentiers battus. Nous relativisons alors les problèmes, la peur disparaît et le stress devient ainsi contrôlable.

«La réaction de stress n’est pas là pour nous rendre malades, elle nous sert à changer ! conclut le Pr Hüther. Nous tombons malades seulement si nous évitons les défis que nous propose la vie ou si nous cherchons invariablement des défis spécifiques».

Résister au quotidien

Si être stressé, c’est-à-dire réagir et s’adapter au changement, est le propre de l’homme, notre organisme a parfois besoin d’être soutenu quand il n’arrive plus à gérer l’équilibre entre les phases de réaction (concentration, prise de décision) et celles de récupération (insomnie, difficulté à se détendre ou se reposer). Avant d’en arriver là, pensez à soutenir les surrénales, les glandes de l’adaptation, particulièrement de l’automne au printemps, périodes où elles sont très sollicitées par l’organisme :

  • Vitamine C et jus d’argousier le matin, infusion de cannelle à volonté, jus de cassis ou macérat glycériné de cassis (50 gouttes trois fois par jour en première dilution décimale), ginseng, gingembre ou encore gelée royale sont autant d’alliés efficaces pour les surrénales (ginseng et gelée royale étant à éviter sur un terrain cancéreux).

Quand les premiers effets du stress se manifestent, veillez à augmenter votre temps de sommeil. Des études montrent qu’en passant de 6 heures de sommeil à 8 heures, on réduit de 50?% le taux de cortisol, l’hormone du stress. Évitez également les surstimulations à la tombée du jour :: faire ses comptes, veiller devant la télévision, travailler sur ordinateur dont la lumière perturbe la production de mélatonine, l’hormone clé du sommeil. Une tisane de passiflore et de mélisse le soir permettra de se détendre et de s’apaiser agréablement avant la nuit. En cas de risque d’insomnie, ajoutez un peu de tilleul.

Quand le stress est là, pensez tout de suite à la lavande. C’est la plante reine pour nous aider à mieux tempérer nos réactions. Antispasmodique majeur, elle est très utile pour détendre les muscles, les tensions de la sphère digestive, de la vessie, du cœur ou encore des poumons (asthme). Pour profiter de ses bienfaits, frictionnez quelques gouttes d’huile essentielle diluées dans une huile végétale sur les poignets, la colonne vertébrale, la plante des pieds ou respirez-la. Des études montrent que, simplement inhalée, elle réduit notablement la sécrétion de cortisol. Par voie interne, évitez l’huile essentielle de lavande sans avis médical et privilégiez une infusion à raison de 3 tasses par jour dont une au moment du coucher.

Traverser les épreuves

La finesse du monde végétal permet aussi une réponse sur mesure selon notre personnalité. Les personnes d’un tempérament plutôt sanguin seront plutôt sujettes à des stress forts et soudains (colères…) tandis que quelqu’un de plus introverti subira plus les ruminations d’un stress latent comme le harcèlement par exemple. 

«Les plantes sont particulièrement adaptées à tous les problèmes de stress, explique le Dr Jean-Christophe Charrié, médecin généraliste, enseignant en phytothérapie clinique et en endobiogénie. « Le stress, qui peut survenir aussi bien lors d’événements heureux (un mariage peut être aussi stressant qu’un licenciement) fait en effet intervenir notre système neurovégétatif et endocrinien, deux champs majeurs sur lesquels agissent les végétaux. Nous avons en nous les outils pour puiser dans ces organismes vivants, ce dont nous avons besoin au moment où nous en avons besoin.»

Passiflore et valériane

La première compagne pour traverser les épreuves telles que des examens à préparer, un deuil, ou une irritabilité répétée est la passiflore, la plante du calme par excellence. Son effet sur le système nerveux est connu depuis les Aztèques. Elle permet d’apaiser, de pacifier et de nous aider quand nous avons peur «de ne pas y arriver». «Elle calme les angoisses, réduit les palpitations, agit sur les spasmes et facilite le sommeil. Sans être hypnotique ou sédative, elle amplifie les effets sédatifs des autres plantes comme la valériane», explique le Dr Charrié. Elle était traditionnellement utilisée en bains pour calmer les états anxieux.

Millepertuis et houblon

Dans des épisodes douloureux comme un deuil, le millepertuis et le houblon sont deux autres plantes complémentaires qui aideront à passer le cap. Le houblon agit à la fois au niveau hormonal, nerveux et psychique; il est tonique pour le moral et plus spécifiquement dédié à la femme qu’il accompagne en période de ménopause notamment. Il est à éviter en cas de cancer et de maladie liée aux œstrogènes. Quant au millepertuis, c’est la plante de choix contre les attaques de panique et pour apaiser l’anxiété en général. Il faut souvent attendre deux à trois semaines avant d’en percevoir ses effets.

L’aubépine

Surmené, débordé?? L’aubépine est une autre plante phare pour ramener le calme, elle est idéale pour la nervosité et le stress qui se manifeste dans la sphère cardiaque (palpitations…) tout en renforçant l’efficacité au travail.

Quand le stress devient chronique.

Notre mode de vie nous amène à traverser des épisodes de stress de longue durée. Ces tensions répétées et chroniques ont des répercussions profondes sur l’organisme. Les hormones du stress interfèrent par exemple sur le thymus, une glande essentielle dans la synthèse des anticorps qui est aussi considérée dans le taoïsme comme le siège de la force vitale.

Quand le stress dure, la thyroïde prend le relais des surrénales et se trouve à son tour très sollicitée, ce qui peut entraîner des désordres immunitaires et psychologiques. À ce stade, des manifestations physiques notoires apparaissent comme des palpitations, des tensions musculaires, des douleurs, de l’eczéma ou encore des infections à répétition. Pensez donc à aider la thyroïde et les surrénales, deux organes surtout sollicités aux printemps et à l’automne.

Pour soutenir la thyroïde en cas d’épuisement du système nerveux, commencez la journée par un porridge à base de lait d’avoine et de flocons d’avoine en cure de quinze jours (à éviter en cas d’hyperthyroïdie ou de cancer du sein, de l’utérus ou d’endométriose). Toutes les algues, fucus et laminaire en compléments alimentaires, ou dans l’alimentation, aideront également les thyroïdes fatiguées (à éviter en cas d’hyperthyroïdie).

Les plantes dites adaptogènes vont aider l’organisme à faire face. Le ginseng, l’éleuthérocoque ou le gingembre sont d’excellents soutiens mais certains médecins comme le Dr Charrié considèrent qu’il faut les éviter sur des terrains cancéreux. Sans risque, on peut se tourner vers le cassis (Ribes nigrum) et l’églantier (Rosa canina) sous forme de macérats glycérinés de bourgeons (en pharmacie).

De même l’orpin rose, ou Rhodiola rosea, a été reconnu comme médicament dans certains pays européens «pour soulager les symptômes physiques et psychiques en cas de stress et de surmenage». Elle réduit le taux de cortisol et ses effets antidépresseurs et anxiolytiques sont aujourd’hui bien étayés. En cas de surmenage, quand le burn-out nous guette ou si on a tendance à prendre du poids vers le haut du corps, elle sera tout indiquée en cure d’attaque de 15 jours tous les matins puis en soutien une semaine par mois.

Source : Plantes et santé

WAKAME

Le wakamé , algue marineLE WAKAMÉ , UNE ALGUE MARINE AU SERVICE DE VOTRE SANTÉ

Le wakamé ou Fougère de mer est une algue alimentaire très populaire en Asie et notamment au Japon dont elle est originaire . Le Japon  en fait abondamment usage dans le domaine culinaire mais aussi sur le plan thérapeutique . Pour faire face à la croissance de la consommation mondiale des élevages industriels ont été mis en place .  En France , le wakamé a  été introduit en 1985  en Bretagne où il est cultivé .

LE WAKAME ,UNE ALGUE RICHE  EN ELEMENTS NUTRITIFS

Sans doute ne songez – vous jamais aux algues comme à un aliment sain et nutritif ; rien d’étonnant si elles sont absentes du placard de votre cuisine et si elles ne font pas partie de votre menu habituel; en général , les algues ne sont pas des produits auxquels on pense spontanément  quand on pense “ nourriture” . Pourtant manger des algues est loin d’être une mauvaise idée : les statistiques montrent que les Japonais dont l’algue est l’un des aliments de base sont en meilleure santé que les autres populations du globe . La nourriture que nous consommons est en effet sur – traitée et issue de cultures sur des sols appauvris . Rien de tel avec les algues : le fond de l’océan est très riche en matière nutritives ; l’algue est donc une source concentrée de minéraux . Manger des algues c’est être assuré d’obtenir les quantités nécessaires d’oligo –éléments et de vitamines dont on a besoin . … Lire la suite sur methodes-douces-et-bien-etre

Intolérant à la consommation de verdures ?

Il n’est pas question ici d’envie, de dégoût, de plaisir ou déplaisir mais d’intolérance digestive dont seraient atteintes certaines personnes.

Il semble surréaliste de penser que l’aliment de base de la race humaine, la verdure, puisse devenir un poison pour son corps… pourtant après avoir fait tout et surtout n’importe quoi pour l’alimenter en dépit du bon sens il arrive que le corps finisse par rendre les armes et devienne véritablement incompétent à faire son travail efficacement (aboutissant ainsi au fil de quelques générations à une « dégénérescence » –par perturbation des gènes– qui nous amènera finalement à évoquer des causes « génétiques »… que nous aurons –enfin, plutôt nos ascendants– fabriquées !).

Il est donc possible que certains expérimentent des difficultés digestives en consommant des verdures. Et comme pour toute rééducation, il faut du temps, du bon sens, de la délicatesse, et surtout de la persévérance pour retrouver ses capacités.  Lire la suite →