Beljanski : on a tout fait pour que vous ayez peur

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Mirko Beljanski en 1956 était encore à l’Institut Pasteur

Beljanski : ce nom restera gravé dans l’histoire de la lutte contre le cancer. Il y a vingt ans, le succès des produits mis au point par ce grand scientifique s’est répandu sous le manteau comme une traînée de poudre chez les malades du cancer. Et la poudre a pris feu… Beaucoup d’entre vous connaissent la suite : la fin dramatique d’un homme poursuivi à mort par les autorités judiciaires françaises. Son nom, sa réputation scientifique, ses produits, frappés d’anathème. Un acharnement sournois et dissuasif est, depuis, à l’œuvre, qui nous laisse croire en 2014 que les produits Beljanski sont interdits tout en faisant passer pour un danger sanitaire le seul fait d’en parler. Et pourtant : des centaines, des milliers de patients suivent les traitements originaux et en sont satisfaits, en France comme ailleurs et plus souvent qu’on ne le croit avec la coopération de leur médecin.

Cet article vous paraîtra peut-être un peu long, mais si vous avez le cancer, lisez-le jusqu’au bout, c’est important, et en plus… passionnant.

Tant de contre-publicité et de contrefaçons pour rien ?

Que n’a-t-on dit, vu, entendu… Des livres entiers ont été écrits sur le sujet et des kilomètres d’informations, contradictoires, se déroulent sur le Net. Des hommages, certes, mais de méchantes accusations souvent, de pseudo « démystifications ».

Les autorités de santé et les labos pharmaceutiques peuvent se frotter les mains. Leur incroyable travail de sape a porté ses fruits. Dans les grands médias, c’est le black-out, avec juste ce qu’il faut de désinformation de temps à autre… Pour encore dissuader les récalcitrants, sait-on jamais… Mais pas un mot qui pourrait laisser penser qu’il n’y a rien d’illégal à utiliser un produit Beljanski !

En 20 ans, au fond, rien n’a changé

Un pseudo reportage du Magazine de la Santé de France 5, diffusé le 14 février 2013, résume à lui seul la situation. Avec un titre-question dont on devine la réponse : « Mirko Beljanski, héros ou escroc ? ». Un monument d’ignorance (feinte ?) et de mensonges dans lequel le « journaliste » va jusqu’à affirmer que ce scientifique a refusé de publier ses résultats (objets de 133 publications…) et se trompe sur la date de décès de celui qu’il prétend cerner…

Les calomnies en tout genre continuent de se répandre, les mauvaises langues se concentrant désormais sur l’« affairisme » présumé de la famille Beljanski, exilée aux Etats-Unis. Ces produits mènent leur vie, attisant des jalousies. Et pour nous embrouiller définitivement, une grosse quinzaine de sites Internet étrangers proposent des imitations ou des contrefaçons que le système médical en place met dans le même sac. En vrac.

Des produits sans intérêt méritent-ils tant de mauvaise publicité et copie-t-on si massivement ce qui ne marche pas ?

Comment ne pas se tromper quand le cancer vous presse ?

Si nous ne sommes pas tous dupes, cette situation met quand même sur la touche, par méconnaissance ou ignorance, nombre de patients qui pourraient ainsi augmenter leurs chances de guérir d’un cancer. Et elle ne peut que favoriser la triche ou les abus que d’autres malades subissent pour les mêmes raisons. Devant tant de mensonges, comment ne pas se tromper, ou être trompé quand apparaît le cancer, que le temps presse et que l’on n’est pas épaulé par des thérapeutes avertis ?

Comment ne pas méjuger de l’intérêt de tel ou tel produit ? Ma réponse est nette : mieux vaut s’adresser à Dieu qu’à ses saints, à la maison-mère (fille à vrai dire), Natural Source, qui garde le bénéfice de l’antériorité, avec la garantie de produits fabriqués selon les formulations d’origine de Mirko Beljanski.

Primo, et même si on ne les a pas déjà expérimentés directement ou à travers un proche, le large usage qui en a été fait toutes ces années les valide en partie.

Secundo, ces garanties sont aussi d’ordre scientifique, ce que beaucoup ignorent encore. Il est donc temps de clarifier la situation. De rétablir quelques vérités pour comprendre le fin mot de l’histoire. Et de donner à ces traitements naturels (articulés autour de cinq compléments) la juste place qu’ils méritent.

Et que ceux d’entre vous qui ont la malchance de devoir affronter un cancer se rassurent : ces thérapies naturelles n’excluent pas les traitements officiels auxquels, inquiet, on se raccroche toujours dans l’urgence. Au contraire !

Interdits par qui ?

On dit toujours ces produits « interdits », alors on se les procure discrètement. En réalité, ils ne sont interdits en France que dans les esprits car il n’existe aucune preuve négative d’une quelconque interdiction.

La DGCCRF, que j’ai interrogée à ce sujet après que l’ANSES (l’agence en charge des compléments alimentaires) ait botté en touche, ne m’a d’ailleurs jamais répondu. Silence vaut acceptation… De fait, beaucoup de médecins ou thérapeutes les recommandent. Ils n’ont pas à faire d’ordonnance, et c’est parfaitement légal.

Ces médecins ne sont-ils que des escrocs exploitant la détresse de leurs patients (l’argument toujours brandi) en leur refilant des tuyaux bidons ? Les patients qui y recourent des ignorants, des idiots, maso de surcroît ? Si tel était le cas ces produits n’auraient jamais résisté à tant de pressions et la demande ne continuerait pas à progresser.

Nombre de cancérologues reconnaissent leurs vertus en privé mais évidemment aucun ponte de la cancérologie ne le dira publiquement. Vu la réputation que l’Institut Pasteur a fait à celui qu’il a longtemps hébergé, pas question de se mouiller et de compromettre ses bonnes relations avec ses sponsors.

Rien de miraculeux mais des remèdes ciblés et validés

Depuis New York la veuve de Mirko Beljanski, Monique, et sa fille surtout, Sylvie, ont réussi à faire avec la recherche américaine ce que la recherche française refusait à Mirko : des études de validation. Et sans grande surprise, leurs résultats corroborent ses travaux et valident les effets thérapeutiques observés empiriquement.

Les 133 publications scientifiques de Mirko Beljanski (qui les a lues ? Mais il n’est jamais trop tard, elles sont toutes ici) avaient bien posé les bonnes bases. De prestigieuses équipes scientifiques américaines le confirment d’année en année. L’approche scientifique a repris le dessus, il était temps…

Le mystère qui entourait ces produits dans les années 80 s’est dissipé. Le caractère « miraculeux » qu’on a pu leur prêter (un aspect qui a longtemps arrangé les autorités sanitaires et fait encore l’affaire des contrefacteurs) s’est évanoui.

Mais en 2014 nous le savons bien : aucun produit naturel ne peut arrêter une grosse tumeur ou guérir un cancer avancé.

Voici en revanche ce qui doit nous retenir notre attention :

– Ces produits sont dénués de toute toxicité.

– Tous participent à contrer l’activité néfaste des cellules cancéreuses, ou précancéreuses, même lorsque celles-ci sont chimio ou radio-résistantes. Certains stoppent ou enrayent la multiplication des cellules tandis que les autres protègent et restaurent le système immunitaire.

– Ces produits agissent en synergie avec la chimiothérapie (voire la radiothérapie) qu’ils contribuent à rendre plus efficace.

– Ce sont non seulement des traitements d’attaque mais aussi, pour un patient en rémission, des produits préventifs face aux risques de rechute.

– Enfin, et ce n’est pas rien, ces compléments sont actifs pour tous les types de cancers. Heureusement que les plantes ont des cancers Beljanski avait pour lui de n’être pas cancérologue. Sans doctrine particulière, sans idée préconçue, cet excellent biologiste moléculaire est parti de l’observation des cellules vivantes en étudiant les bactéries, le monde enzymatique, les ARN, l’ADN.

Parmi ses découvertes, la plus utile pour nous est celle qu’il a faite à partir de l’étude du monde végétal. Il travaillait sur les cancers des plantes et avait observé que pour qu’une plante se cancérise, il lui faut un afflux d’hormones donc une plaie et un processus de cicatrisation : alors entre en jeu un petit ARN injecté par une bactérie du sol qui engendre la cancérisation, et des tumeurs ayant toutes les caractéristiques de la tumeur cancéreuse.

De là à assimiler ces cancers végétaux aux cancers animaux, il n’y avait qu’un pas. Délicat à franchir mais il l’a fait, et ne s’est pas trompé. A la fin des années 70 il a montré que tous les ADN isolés et provenant de tissus cancéreux, que ce soit chez les plantes, les animaux ou les humains ont un ADN « ouvert » par endroits : la double hélice présente des relâchements étendus et permanents en même temps que d’autres zones se retrouvent plus étroitement enroulées sur elles-mêmes. L’expression des gènes n’est plus correctement régulée, c’est l’anarchie.

Environnement et cancer : Beljanski a vu le lien avant tout le monde

Dans la foulée, et alors que l’on pensait que seuls les agents mutagènes étaient capables d’altérer ainsi le génome par mutation (en affectant la nature même des éléments le constituant), Beljanski a démontré que toutes sortes d’agents chimiques ou biologiques pouvaient perturber l’ADN autrement, c’est-à-dire par déstabilisation (en altérant la conformation en double hélice de la molécule comme vu ci-dessus).

Ce n’est que 30 ans plus tard, au tournant des années 2000, et de façon totalement indépendante, qu’un chercheur américain, D.C. Malins démontra cette déstabilisation progressive et croissante aboutissant au cancer de la prostate chez l’homme en comparant les génomes d’hommes jeunes puis mûrs, puis âgés et cancéreux.

En résumé, Beljanski a compris bien avant tout le monde le rôle de l’environnement dans le cancer en montrant que la déstabilisation progressive et cumulative de l’ADN sous l’impact de toutes sortes de molécules (cancérogènes, toxiques, hormones) conduit peu à peu vers le cancer.

On comprend mieux la progression parallèle et spectaculaire de la pollution et du nombre de cancers. On comprend mieux l’évolution de la théorie officielle du cancer qui à l’épreuve des faits ne peut que se rallier à cette position. Mais que d’années perdues…

Des anticancéreux végétaux

Après avoir étudié l’extrême sensibilité de l’ADN des cellules cancéreuses aux divers agents agresseurs, le Dr Beljanski supposa qu’à l’inverse, des substances aux effets restructurants pouvaient peut-être redonner à l’ADN son aspect normal.

Toutefois, il fallait que ces composés n’agissent qu’au niveau des cellules cancéreuses, sans altérer le fonctionnement des cellules normales. Il avait inventé entretemps l’Oncotest, un appareil permettant de savoir en quelques minutes si une molécule est cancérogène, neutre, toxique ou anticancéreuse, et d’analyser le degré d’altération de l’ADN.

Cette géniale invention n’a jamais intéressé l’industrie, elle est tombée dans le domaine public : mais combien se seraient tiré une balle dans le pied en utilisant ce test ?..

Toujours est-il qu’ainsi, il a réussi à identifier des substances ayant pour points communs :

– de provoquer la mort des cellules cancéreuses les plus malignes en bloquant définitivement leur métabolisme,

– de ramener à la normale les cellules cancéreuses dont le fonctionnement n’a été que peu altéré,

– et de n’intervenir d’aucune façon dans la marche des cellules normales.

Ces substances, c’est encore dans le monde végétal qu’il les a trouvées. Ce sont des alcaloïdes de la classe des béta-carbolines (flavanones, flavonoïdes) tels que l’alstonine, extraite du Rowolfia vomitoria, la serpentine, la sempervirine ou la flavopereirine provenant d’une espèce de poirier du Brésil, le Pao Pereira.

Les vertus du Pao sont maintenant validées par la science

Parmi les cinq produits Beljanski spécifiques au cancer, deux sont toujours à base de Pao. C’est le coeur du traitement.

L’extrait particulier de l’écorce du Pao pereira (que les tribus amazoniennes utilisaient en décoction pour enrayer les fièvres et retrouver des forces) utilisé aujourd’hui dans le Pao V et le Pao V FM, favorise l’apoptose (suicide) des cellules malignes au-delà d’un certain seuil de dégénérescence.

Cette puissante action anticancéreuse (doublée d’une action anti-inflammatoire) du Pao a été vérifiée récemment, aussi bien sur des cultures cellulaires que chez des souris atteintes de cancer.

Le Dr Beljanski, dans son avant-dernière publication, avait montré l’efficacité du Pao sur 16 lignées in vitro, 16 lignées cancéreuses différentes (sein, ovaire, prostate, côlon, etc.) dont certaines résistantes aux antimitotiques.

Ces 10 dernières années, le travail de plusieurs équipes américaines, de la Columbia University et du Centre Médical de l’Université du Kansas surtout, confirme ces résultats. Ils montrent de plus que l’extrait de Pao améliore grandement l’efficacité des chimiothérapies. Sur toutes les lignées comme l’avait indiqué Beljanski, et en particulier :

– sur le cancer de la prostate (étude de 2009 de la Columbia University), et même sur le cancer avancé de la prostate (nouvelle étude de 2013 de la C.U.),

– sur le cancer (pourtant méchant) du pancréas et des ovaires (une première étude de 2012 et deux en 2013 du Centre Médical de l’Université du Kansas).

Ces deux institutions de recherches, ainsi que le Cancer Treatment Centers of America (CTCA/Chicago) ont confirmé l’efficacité des autres produits Beljanski comme le Rovol à base de Rauwolfia vomitoria (sur le cancer du pancréas et des ovaires notamment) ou le RealBuild.

Toutes ces résultats sont disponibles dans le détail en cliquant ici. Ce nouvel apport scientifique est fort utile. Il valide et précise l’action thérapeutique de chacun des 5 grands produits Beljanski. Surtout ces données, croisées à celles qui sont issues de l’expérience humaine des patients, permettent de mieux se soigner en fonction de l’évolution du cancer, par des traitements ciblés, complémentaires et qui agissent en synergie, y compris avec le traitement officiel.

Mais pourquoi avoir attendu que les Américains « fassent le job » ?

Rien ne nous interdit de penser qu’un jour peut-être ces produits rentreront dans des protocoles officiels. Leur réhabilitation est en bonne voie, les Américains font le job. Mais pourquoi la France ne l’a pas fait avant ?

Toujours pour les mêmes raisons, que l’on devine : compte-tenu des enjeux pharmaceutiques en jeu mieux valait envoyer ces produits au cimetière des remèdes naturels trop utiles pour être commercialisés à grande échelle.

Mais ce n’est pas la seule raison… Le pays est petit, les esprits moins pragmatiques, sa recherche est concentrée, en proie à un dirigisme qui concentre lui-même les gros intérêts industriels sur l’ego de quelques « grands patrons ». Cette fameuse nomenklatura… Si l’on n’intègre pas cela, on ne peut comprendre comment une belle aventure scientifique est devenue une « affaire ».

Car la traque judiciaire inouïe à laquelle a succombé Beljanski est bien l’aboutissement d’une intrigue où se superposent et se rejoignent grands intérêts et règlements de compte personnels. Une histoire somme toute classique mais un vrai cas d’école d’obscurantisme scientifique.

Du cancer au sida : le succès trop beau du Pao…

Le Pao a suscité un temps d’autres espoirs. Car il a donné de bons résultats chez des patients atteints de sida en bloquant le virus. Cette capacité, expliquait Beljanski, était le fait de son composé alcaloïde qui stoppe la « transcriptase inverse » par laquelle ce rétrovirus (à la différence des virus classiques) s’introduit et se multiplie dans les cellules.

La force du Pao repose donc à la fois sur sa capacité à tuer les cellules cancéreuses, à enrayer le processus cancéreux, et sur ses propriétés antivirales (y compris dans le cas d’hépatites à virus), antirétrovirales mais aussi anti-inflammatoires. D’où son grand succès diffusé par le bouche à oreille dès le milieu des années 80 et l’engouement qu’il a rencontré chez les malades du sida de la première heure.

Certains de ces malades ont témoigné haut et fort : ils avaient réussi à stopper la progression de l’infection et des maladies opportunistes associées (souvent des cancers), et même à remonter leur système immunitaire avec d’autres produits Beljanski.

Gérard Weidlich, CRS sauveteur en mer, fut le premier de ces malades déclarés à expérimenter (contre l’avis de Beljanski à qui il signa une décharge) ce traitement jusqu’alors utilisé en cancérologie mais jamais en en virologie. Il guérit des maladies opportunistes, stabilisa son état et vécut jusqu’en 2007, terrassé comme sa mère par une embolie.

Quelques dérives et très vite beaucoup de tracas

Tout cela, évidemment, allait trop loin. D’autant que nombre de ces patients ont à l’époque abandonné leurs traitements classiques, y compris l’AZT pour le sida. Ils s’affranchissaient des dogmes, commençaient à se regrouper, s’organiser. La grande presse, instrumentalisée, y compris par des associations officielles de malades, fit ses choux gras de ce « charlatanisme ».

A l’instar de l’Express qui publia en 1993 un article intitulé « Les apprentis sorciers du sida » donnant de Mirko Beljanski une image de voyou. Arrêter une chimiothérapie pour un cancer au profit d’un traitement naturel pouvait être et reste dangereux.

Mais dans le cas du virus du sida, l’histoire a donné raison à ces pionniers : la chimiothérapie par AZT (celle que défendait L’Express) a détruit plus de vies qu’elle n’en a sauvées. Beljanski a sans doute commis des erreurs dans la gestion de ses affaires. Comme il en a commis, par la force des choses, vis-à-vis des règlements sanitaires.

Sûr de l’efficacité et de la non-toxicité de ses remèdes il les fabriquait seul avec son épouse et une petite équipe puis se mit à en vendre directement à des malades, notamment par l’intermédiaire de l’association Cobra.

Cobra (Centre oncologique et biologique de recherche appliquée) a été fondée par un homme d’affaires sujet à controverses, Pierre Silvestri, à qui Beljanski devait la création de son dernier laboratoire, à St Prim. Sous sa gouverne Cobra n’aurait pas toujours été « clean » vis-à-vis des médecins et des patients regroupés dans l’association. Silvestri a finalement été évincé et Cobra est devenu CIRIS (Centre d’innovation, de recherches et d’informations scientifiques) que Gérard Weidlich dirigera longtemps.

Quand les accusations d’affairisme tombent à l’eau

Scientifique têtu, obsédé par l’avancée de ses recherches et leurs applications thérapeutiques, Beljanski n’a peut-être pas su s’entourer. Et visiblement il été dépassé par le succès et les margoulins qu’il a attiré. Son arrestation l’a contraint au silence à un moment où il avait à subir toutes sortes d’attaques.

C’est à cette époque que ses produits ont été contrefaits, en Suisse, en Espagne, en Italie, en Belgique… Spectacle auquel il assisté, impuissant. Certains médecins, autoproclamés « héritiers spirituels » ont aussi profité du désordre, abusant des patients ou recommandant des copies sous son nom.

Et on a dit pire : montages financiers obscurs, fraude fiscale, etc. Pas étonnant que l’administration fiscale ait resserré son étau autour de l’homme, l’accusant notamment d’avoir dirigé une entreprise à l’étranger et d’avoir perçu illégalement de grosses sommes d’argent. Contrôles, lourds redressements fiscaux, huissiers…

Mais ce que beaucoup ignorent c’est qu’un jugement de la Cour d’Appel Administrative de Paris rendu en 2011 a mis fin à ces 15 ans de procédure au motif que l’administration fiscale n’avait pas apporté la preuve du bien-fondé de ses agissements.

L’Affaire, ou l’histoire d’une traque implacable

En 1988, le ministère de la Santé dépose une première plainte contre lui pour « exercice illégal de la pharmacie ». Il s’en tire astucieusement. Non lieu.

En 1993, rebelote : Claude Evin, ministre de la Santé, dépose une plainte pour exercice illégal de la médecine et de la pharmacie. L’affaire est jugée en mars 1994 et Beljanski n’est condamné qu’à une petite amende.

Mais le directeur général de la Santé n’en démord pas et prépare derechef une troisième plainte, motivée cette fois par l’absence d’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) des produits (une AMM que Mérieux avait fait miroiter au découvreur, avant que sa fusion avec Pasteur ne stoppe tout).

Cette plainte ne sera déposée (on va voir pourquoi) qu’en juin 1996 mais ce sera l’estocade fatale. Le 9 octobre 1996 au petit matin a lieu l’incroyable arrestation de Mirko Beljanski, à St Prim, où il avait alors son laboratoire.

Vous connaissez l’histoire : des dizaines de gendarmes, le GIGN cagoulé, des maîtres-chiens, un hélicoptère. On n’aurait pas fait plus pour Mesrine ou Pablo Escobar. Un mois plus tard, le biologiste, Docteur es Sciences devenu Directeur de recherches honoraire du CNRS, déclenchait une leucémie myéloïde aigüe. Une maladie 100% mortelle à 74 ans. L’homme n’y résistera qu’un an : il meurt en octobre 1998.

Un procès condamné par l’Europe des Droits de l’Homme

En d’autres temps Mirko Beljanski aurait été conduit au bûcher, ce qui aurait été plus propre que l’acharnement judiciaire qui a fini par le tuer et le jugement post-mortem qui a enterré sa réputation publique.

Ses proches, dont Monique Beljanski, ont pu éviter les peines sévères prononcées en première instance en 2001 (prison avec sursis et lourdes amendes) mais ils ont été condamnés tout de même avec amendes pour exercice illégal de la pharmacie dans un jugement de la Cour d’Appel de Paris en 2002.

Plusieurs prévenus ont été relaxés. L’un d’eux m’a raconté qu’il avait là « subi toute la quintessence malséante du lobby pharmaceutique associé aux pouvoirs publics » et qu’un magistrat avait évoqué devant lui « une pression énorme sur ce dossier ».

Dans un arrêt de février 2002, confirmé trois mois plus tard, la Cour européenne des Droits de l’Homme a condamné la France pour dépassement du « délai raisonnable » de l’instruction et violation de la Convention européenne des droits de l’homme, compte tenu de l’âge de Mirko Beljanski et de l’atteinte portée à sa réputation de scientifique et au sérieux de ses recherches.

Tout sauf une histoire de charlatan

Le sort qui a été réservé à Mirko Beljanski n’est effectivement pas celui d’un simple charlatan. On l’aurait sinon facilement réduit au silence. Non : la répression sans commune mesure avec les faits reprochés nous dit autre chose.

Ce qui n’était sous toute apparence qu’une histoire d’exercice illégal de la pharmacie ou de la médecine, est devenu une affaire d’Etat pour d’autres mobiles moins avouables :

– Les produits découverts par ce scientifique faisaient trop d’heureux chez les patients. Beljanski piétinait les plates-bandes du système politico-médico-industriel de lutte officielle contre le cancer et le sida. Pour cela déjà il devait payer.

– Mais surtout cet immigré serbe s’était fait des ennemis à la tête de la nomenklatura scientifique, de Pasteur à l’INRA…
Des « grands patrons » qui n’ont jamais réussi à discréditer ses travaux scientifiques et auxquels il faisait de l’ombre. Ce n’était pas admissible !

Alors en visant l’homme dans une campagne orchestrée depuis l’Institut Pasteur et relayée au plus haut sommet de l’Etat, on faisait d’une pierre deux coups.

Comme l’a écrit feue Sylvie Simon, on trouve de nombreux points communs entre « l’affaire Beljanski » et « l’affaire Dreyfus» ou d’autres affaires « montées de toutes pièces par des pouvoirs corrompus, basées sur des mensonges, propagées par une presse désinformée ou mal informée »

Pas touche à l’ego d’un Nobel installé

Mirko Beljanski a passé 30 ans à l’Institut Pasteur, de 1948 à 1978. C’est là qu’il a très vite rencontré sa future épouse, Monique, sa technicienne de laboratoire. C’est là qu’il s’est immédiatement intéressé aux ARN. Et heurté à un dogme, et à un homme.

L’ARN est une molécule chimique omniprésente dans les organismes vivants, y compris certains virus mais très vite à Pasteur on se concentre sur l’ADN, molécule très proche mais dont on devine qu’elle porte le code génétique des êtres vivants. Bien accueilli dans le service du Pr Macheboeuf, Beljanski, après la mort de celui-ci en 1952, rencontre Jacques Monod, qui reprend la direction du labo.

Monod est déjà le champion de l’ADN, et l’ARN n’a à ses yeux qu’un rôle secondaire de messager. Les rapports entre les deux hommes prennent d’emblée une mauvaise tournure. Monod n’apprécie pas que Beljanski ne travaille pas comme tout le monde suivant son axe de recherche, axe qui le conduira avec André Lwoff au prix Nobel de médecine en 1965.

Mais Beljanski va lui aussi avancer en collaboration avec des chercheurs de tous horizons. En 1960 il obtient le prix Charles-Léopold Mayer (de l’Académie des Sciences) pour ses travaux sur l’ARN, et plus il va avancer plus il va irriter Monod en bousculant le dogme de l’ADN tout puissant, régnant sur tout et dirigeant tout dans la cellule. Jusqu’à invalider l’idée dominante d’un ARN messager se contentant de véhiculer les informations de l’ADN à la protéine…

En 1973, il met en évidence la transcriptase inverse chez les bactéries, les champignons et dans les œufs de poissons. Il démontre clairement que l’ARN peut envoyer des informations à l’ADN.

L’Américain Temin l’a précédé de peu en découvrant ce mécanisme de la transcriptase inverse dans les virus, ce qui lui vaudra à lui aussi un Nobel. Et en plus Beljanski démontre que l’on peut transformer des bactéries à l’aide d’ARN d’autres bactéries.

Monod explose et lui interdit de publier ces résultats qui vont à l’encontre du nouveau paradigme du génie génétique. L’INRA, bien engagé dans cette voie, voit aussi cela d’un mauvais œil. Mais Beljanski continue à publier, plus vigilant que jamais car il sait que la moindre erreur scientifique lui sera fatale.

Règlement de comptes final

Monod, qui avait accédé à la direction de Pasteur détestait Beljanski et le tolérait tout juste dans la maison. Il discréditait ses travaux pendant que ses crédits de recherche fondaient. A sa mort en 1976 la réputation de Beljanski est faite et son successeur François Gros, qui le déteste pareillement, le pousse vers la sortie.

Sur liste rouge un peu partout, il réussit malgré tout à s’installer à la Faculté de Pharmacie de Châtenay-Malabry, avec l’aide financière (ridicule) du CNRS. Là, grâce à l’Armée qui lui octroie un budget pour travailler sur la radioprotection, il poursuit ses recherches pendant 10 ans, met ses produits au point et commence à les expérimenter sur des patients en demande, jusqu’à sa retraite en 1988.

Après un court épisode où il poursuit son activité dans son pavillon de banlieue, il s’installe à St Prim, sa dernière escale. Bien plus tard François Gros sera mis en examen dans l’affaire du sang contaminé pour son rôle de conseiller scientifique du Premier ministre, mais certainement pas pour avoir encouragé Claude Evin, aidé en cela par la ministre des Affaires sociales Simone Veil, à faire arrêter le trublion en 1996.

Beljanski aurait dû être menotté bien plus tôt mais comme le président Mitterrand avait utilisé ses produits sur la fin, et que ceux-ci l’avaient visiblement aidé à terminer son mandat, il avait fallu attendre qu’il soit bien mort !

Des hommages appuyés, en attendant une réhabilitation ?

Les travaux de Beljanski non seulement n’ont jamais été contredits scientifiquement mais ils ont été soutenus par plusieurs savants dont des prix Nobel (Severo Ochoa pour le rôle des ARN, Temin pour la transcriptase inverse, etc) et exploités par d’autres professeurs étrangers, à l’exemple des Pr Stroun et du Dr Anker qui à Genève en ont déduit une méthode de détection du cancer par analyse du plasma sanguin.

Ses produits aussi, comme le Bioparyl (Ginkgo V aujourd’hui) dont le grand cancérologue Lucien Israël a dit le plus grand bien pour l’avoir testé dans son service sur les effets secondaires de la radiothérapie.

En 2008, un autre Nobel, français mais anticonformiste, Luc Montagnier, a écrit :
« J’ai bien connu l’homme et j’ai gardé pour ce collègue de l’Institut Pasteur une certaine estime (…). Le Pr. Beljanski a été poursuivi pour exercice illégal de la médecine et de la pharmacie. Je juge cela anti-scientifique et je préfère l’attitude inverse, celle du doute positif. Cet obstructionnisme médical va très loin. »

En 2004, Henri Boiteux, ancien administrateur de l’Institut de Recherches Scientifiques sur le Cancer, s’était déjà interrogé sur le refus des « biologistes officiels » de prendre connaissance de ces travaux et avait comparé cette attitude à celle de la Papauté devant Galilée.

Et en 1994, lors du deuxième procès, même le Procureur avait
« osé » déclarer à l’audience : « Mirko Beljanski est un biologiste réputé. Personne ne conteste la valeur de ses travaux. Le représentant du ministère public reconnaît que le biologiste n’est pas un charlatan. Il n’y a pas d’élément dans le dossier qui puisse permettre de discréditer la valeur scientifique de ses travaux… L’Etat aurait dû l’aider financièrement ». Sic !

Et encore une fois, sans le dire, la politique de lutte officielle contre le cancer intègre peu à peu son approche environnementale. Je ne serai pas surpris qu’il soit réhabilité un jour, comme Galilée l’a été.

Des applications thérapeutiques polyvalentes

Les produits Beljanski ont commencé à voir le jour dès le milieu des années 70, le chercheur menant plusieurs travaux de front et la gamme, telle qu’on la connaît aujourd’hui à peu de choses près, était au point 10 ans plus tard. Les formulations ont été affinées mais les noms surtout ont changé, c’était alors des noms de code : les composés ou extraits devaient être préservés par un relatif secret…

Ces 5 grands produits permettent de se traiter de façon globale :

1. Ils stoppent la multiplication des cellules cancéreuses :

Le Rovol V (autrefois BG-8), extrait de l’écorce de la racine de Rauwolfia, inhibe spécifiquement les cellules cancéreuses et tumorales en modifiant l’expression d’un certain nombre de gènes intervenant dans la régulation du cycle cellulaire et la réparation de l’ADN. Cela a été démontré aussi. C’est un produit particulièrement actif en synergie avec les thérapies conventionnelles.

Posologie habituellement recommandée : 4 gélules par jour.

Le PaoV et le Pao V FM (dérivé du PB-100), je l’ai dit, favorisent la mort des cellules cancéreuses. Ils sont conseillés dans tous les cas de cancer. Ils sont aussi antiviraux et anti-inflammatoires. Ces deux appellations se distinguent uniquement par leur concentration en principes actifs. Notez que le Pao franchit la barrière sang-cerveau, d’où une certaine efficacité et de jolis résultats (en cours d’évaluation) sur le glioblastome (le cancer du cerveau le plus fréquent et le plus agressif).

Posologie recommandée : 6 à 10 gélules par jour pour le Pao V (1 gélule par 10 kg de poids précisément) et 4 à 10 pour le Pao V FM.

Comme les mécanismes d’action du Rovol V et du Pao V diffèrent quelque peu, il est recommandé d’utiliser ces 2 produits simultanément.

2. Ils protègent et restaurent le système immunitaire :

Le RealBuild (jadis RLB pour « Remonte Leucocytes Beljanski ») a été l’un des premiers mis au point par Beljanski grâce à sa connaissance poussée du monde des ARN : composé de fragments d’ARN de colibacilles (appartenant à la souche K12 connue pour être non pathogène et non mutagène), il stimule la genèse des globules blancs et des plaquettes non cancéreux en restaurant rapidement leur taux normal sans agir, le cas échéant, sur les globules blancs et les plaquettes cancéreux. On observe souvent le résultat en 48 h (dans la mesure où le taux de globules rouges n’est pas tombé en dessous d’un certain seuil). L’action de ce produit a notamment été vérifiée par le service du Pr Léon Schwarzenberg.

Les risques infectieux ou/et hémorragiques et létaux qu’entraînent fréquemment les chimiothérapies et radiothérapies sont donc considérablement diminués. Il en va de même avec les hématies (globules rouges), de sorte que toute anémie grave peut être évitée. Derniers bénéfices, et non des moindres : pas de troubles digestifs ni de perte de cheveux. Posologie recommandée : une dose un jour sur deux.

3. Ils corrigent les désordres enzymatiques :

Le Ginkgo V (anciennement Bioparyl) doit beaucoup – ironie de l’histoire – aux travaux portant sur la radioprotection que l’Armée avait confiés au scientifique. Sans avoir de réelle vertu anticancéreuse, ce produit à base d’extraits de feuilles dorées de Ginkgo biloba aide les cellules soumises à un stress excessif (suite à une exposition toxique ou à une radiothérapie) à réparer les dégâts qu’elle a subis. Et à éviter que ce stress ne perdure (via des cures de radiothérapie longues et répétées) et finisse par rendre la régulation des enzymes chargés de cette tâche (les ribonucléases tout particulièrement) anarchique. Chez les patients sous radiothérapie, il inhibe l’apparition de la fibrose radique dans près de 75% des cas. En résumé le Ginkgo V permet de réparer les diverses anomalies cellulaires qui accompagnent les cancers (et le sida).

Posologie recommandée : 4 à 10 gélules par jour. Ne pas oublier de bien s’alimenter aussi, d’éliminer les toxiques et de prévenir

Au-delà de ces 5 piliers du traitement Beljanski, d’autres produits sont proposés pour des raisons pratiques ou en accompagnement. Citons par exemple le Prostabel, combiné de Rovol V et de Pao V pour les hommes, ou le Ladybel, qui comprend en plus du ginkgo et du magnésium pour les femmes.

Le Dr Beljanski – et ça aussi ne se sait pas assez – a également beaucoup insisté sur la nécessité d’adopter une alimentation de qualité, la moins toxique possible, et sur l’importance de faciliter le travail des émonctoires afin que les polluants inhalés et ingérés soient le plus rapidement possible éliminés des cellules.

Sa fille Sylvie propose dans cet esprit un dépuratif doux, Signature Chelate, dont la composition n’est pas dénuée d’intérêt : il contient en effet une base de tourbe hongroise (Humifulvate), du glutathion, du chitosan (kératine marine) et de la chlorella, des substances antioxydantes, chélatrices et régénérantes.

Enfin, et tout spécialement pour ceux qui ont réussi à sortir d’un cancer, ces produits sont toujours utiles en prévention. On conseille dans ce cas des cures régulières de Pao et de Rovol (une cure d’un mois trois fois par an), histoire de donner un coup d’arrêt à un redémarrage et des métastases que l’on sent pas forcément venir.

C’est cher tout ça !

C’est le dernier point, et il n’est pas à négliger sachant que le traitement Beljanski passe idéalement par la prise des 4 produits de base en cures simultanées.

Si vous êtes atteint(e) d’un cancer et qu’il n’est pas trop tard pour vous soigner, et si vous pesez autour de 80 kg par exemple, ce protocole vous coûtera facilement 500 euros par mois.

Pas évident pour ceux qui gagnent le SMIC !

C’est un obstacle incontournable : ces produits, affirme la famille Beljanski (qui ne reçoit aucune subvention), sont particulièrement coûteux à fabriquer. A la production, on fait valoir un rendement de 1% après extraction et purification et un coût important du contrôle qualité. Et puis il faut financer la recherche.

Il en aurait été autrement si le Dr Beljanski avait pu boucler à temps son dossier d’AMM. Cette AMM qu’il attendait tant. Mais si l’on privilégie le prix en allant voir ailleurs, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.

Le PAO non extrait et non purifié, simplement mis en flacon, existe aussi. Natural Source International, chez qui vous pouvez vous procurer les vraies formules, affirme avoir fait pratiquer des études comparatives entre ces imitations et les produits originaux par un laboratoire indépendant.

Dans la plupart des cas les copies souffrent de défauts de qualité et par dessus tout, les concentrations examinées sont insuffisantes pour agir efficacement. Et il en va de même aux Etats-Unis où des « me too products » commencent à se répandre au fil des reconnaissances scientifiques.

Le Cancer Treatment Centers of America (CTCA), qui a expertisé avec de beaux résultats le RealBuild sur des malades en chimiothérapie, ne se gêne pas pour commercialiser aujourd’hui un produit équivalent. Or celui-ci n’est qu’à base de levures…

Vraiment trop cher ? Vous êtes sûr(e) ?

Cet obstacle financier peut dissuader. Mais le dilemme est le suivant : vaut-il mieux se soigner par la thérapie officielle ou par la thérapie Beljanski ?

Dans le premier cas vous serez remboursé(e), mais avec les chances de guérison que l’on sait, et des effets secondaires parfois mortels.

Dans le second cas, la Sécu ne vous remboursera pas (pas demain en tout cas) mais vous décuplez vos chances de guérir sans subir d’effets secondaires importants. On trouve toujours des solutions pour acquérir une maison, une voiture ou que sais-je encore. Mais habitués que l’on est à l’assistance médicale d’Etat, on répugne à ces solutions pour se soigner. Curieux non, s’agissant de notre santé et de notre vie tout court ?

Bon, c’est l’affaire de chacun et chacune…

En tout cas, si vous vous sentez concerné(e) et que vous vous le permettez (ou vous l’autorisez), mieux vaut se fournir à la source que de gaspiller son argent en aveugle, sans résultat.

Références :

–    Les 133 publications du Dr Beljanski : https://www.beljanski.org/engl/biography-mirko-beljanski-phd/mirko-beljanskis-publications/
–    Les références et résultats des études américaines menées depuis le début des années 2000 : https://www.beljanski.info/fondation-beljanski-la-recherche-contre-le-cancer/
–    Les travaux de l’Américain D.C.Malins confirmant le phénomène de “déstabilisation” de l’ADN ont été publiées dans le Proceedings of the National Academy of Sciences (PNA) : PNA 1996 (93 : 140414052, 93 : 2557-2563), 1997 (94 : 3611-3615) et 2003 (100 : 5401-5406).
–    « Les apprentis sorciers du sida », article d’Annie Kouchner publié le 9 septembre 1993 par le magazine L’Express.
–    « Beljanski : héros ou escroc ? », chronique du Magazine de la Santé de France 5 (14 février 2005) : 10 mn de grosse rigolade…
–    « Les combats de la vie – Mieux que guérir prévenir », Luc Montagnier (Livre de poche)
–     « Une nouvelle approche thérapeutique du cancer : affaire Galilée du XXème siècle ? », article d’Henri Boiteux, ancien administrateur de l’Institut de Recherches Scientifiques sur le Cancer (CNRS) publié dans la revue Nexus de juillet/août 2004.

Pour en savoir plus :

–    « Cancer’s Cause, Cancer’s Cure: The Truth About Cancer, Its Causes, Cures, and Prevention », du Dr Morton Walker (2012, Hugo House Publishers). Ce livre écrit par un expert américain des thérapies complémentaires est l’un des plus sérieux qui soient, et des plus complets. Il n’a hélas pas fait l’objet d’une traduction française.
–    « La santé confisquée – Le dossier des découvertes interdites », Monique et Mirko Beljanski (2010, Guy Trédaniel Editeur).
–    « La Diététique et Beljanski », de Dany Toussaint et Monique Beljanski (2011, Guy Trédaniel Editeur).
–    Site de la Fondation Beljanski : https://www.beljanski.info/notre-mission/ Cette entité américaine à but non lucratif se consacre à la diffusion et à l’approfondissement de l’héritage scientifique du savant et travaille à son développement par des instances scientifiques et médicales. Elle diffuse également livres, articles et événements consacrés aux recherches de Mirko Beljanski en coopération avec le CIRIS, Centre d’Innovations, de Recherches et d’Informations Scientifiques, association de bénévoles et de patients basée en France présidée par Pierrette Weidlich.
–    Le blog de Sylvie Beljanski : pour un contact direct, des billets d’humeur, les dernières actualités et projets… http://www.beljanskiblog.com./
–    « Politiquement incorrect mais scientifiquement exact » : un film réalisé par la Fondation Beljanski à voir sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=fR_XfAlLSEA&feature=kp

Crédit : Alternative Santé