L’équipe spéciale de Trump sur les chemtrails démantèle une opération fédérale et poursuit les responsables

La nouvelle équipe spéciale sur les chemtrails de l’administration Trump ne perd pas de temps. Malgré les moqueries des médias mainstream et le silence des institutions corrompues, elle a déjà identifié une source clé de l’assaut chimique qui s’abat sur les villes des États-Unis.

Des opérations clandestines au sein de la NOAA

Des sources internes confirment que des opérations de chemtrails illégales étaient menées par des sous-départements obscurs de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA). Ces unités sont en cours de démantèlement. Les responsables liés à l’État profond ? Ils sont dans le viseur, et perdre leur emploi sera le moindre de leurs soucis… la justice les attend.

Mais ce n’est que le début. Ce que l’équipe spéciale a découvert ensuite est plus sombre et implique des gouvernements étrangers, des systèmes météorologiques militarisés et un plan vieux de plusieurs décennies pour contrôler les esprits et les corps d’une population entière.

Un scandale qui change notre regard sur le ciel

Si les chemtrails ne sont qu’une « théorie du complot », pourquoi plus de la moitié des Américains cherchent-ils à y mettre fin ? Une indignation publique massive, des lanceurs d’alerte, des résultats de laboratoires indépendants et une équipe spéciale gouvernementale ne surgissent pas de nulle part. Ils apparaissent quand les gens savent, au fond d’eux, que quelque chose ne va pas. Que nos cieux ne sont plus naturels. Que nous sommes pulvérisés… et qu’on nous ment.

La vraie question n’est pas de savoir si les chemtrails existent, mais pourquoi on cherche si désespérément à nous convaincre du contraire.

Une révélation en avance sur les médias mainstream

La semaine dernière, The People’s Voice a révélé, avant CNN, Fox ou tout autre média mainstream, que le président Trump, après une discussion directe avec RFK Jr., avait autorisé la création d’une équipe spéciale interne pour enquêter sur ce qui est réellement pulvérisé dans le ciel américain. Les sceptiques ont ri, les médias ont raillé, mais aujourd’hui, même CNN rapporte que l’administration Trump démantèle les laboratoires de recherche météorologique et climatique de la NOAA à travers le pays.

Nicole Shanahan, ancienne colistière de RFK Jr., a confirmé que les « théoriciens du complot » avaient encore une fois raison, et The People’s Voice avait l’exclusivité des semaines avant que les médias mainstream ne changent leur discours.

Ce qui se passe en coulisses

Selon l’administration Trump, les activités de la NOAA « ne correspondent pas à la volonté exprimée du peuple américain ». Après des années de cieux étouffés par des toiles toxiques de chemtrails, c’est un euphémisme. Les sources de l’équipe spéciale confirment que les autorités saisissent des données classifiées, des preuves matérielles et des communications internes directement liées aux programmes de chemtrails. Ce n’est pas une simple réprimande, mais une purge totale de l’État profond.

Des acteurs étrangers et une guerre météorologique

De nouvelles informations pointent vers des acteurs étrangers, des entreprises de bio-ingénierie et même des officiers militaires à la retraite impliqués dans une guerre météorologique et un agenda de contrôle de la population vieux de plusieurs décennies. Les brouillards étranges et non naturels qui ont enveloppé les villes américaines et européennes pendant des mois ? Ce n’étaient pas des anomalies météorologiques, mais des tests, des déploiements, une phase de conditionnement.

Et maintenant, une nouvelle phase apparaît : des poussières roses et jaunes recouvrent des villes et zones rurales américaines. Ce n’est ni du pollen, ni du sable, ni quelque chose d’« inoffensif ». Les premiers résultats des analyses de laboratoires indépendants sont alarmants : baryum, strontium, aluminium, plomb, cadmium et traces de Ba-137, un isotope radioactif lié aux retombées nucléaires. Un ancien officier de sécurité radiologique ayant travaillé à Tchernobyl a déclaré : « Si cette poussière tombait à Pripyat, nous ordonnerions un confinement immédiat. »

Un agenda de contrôle de la population

Depuis les années 90, les rumeurs sur les chemtrails ont explosé après la fuite d’un rapport de l’Air Force, Weather as a Force Multiplier, décrivant un plan pour contrôler le climat et manipuler les populations d’ici 2025. Les autorités ont qualifié cela de fiction, mais les témoignages, comme ceux d’Art Bell, ont révélé que des avions pulvérisaient des particules toxiques. Les dénégations officielles, comparant les chemtrails à de simples contrails, n’ont fait qu’attiser les soupçons.

Aujourd’hui, le scénario ressemble à celui du vaccin COVID : d’abord, nier l’existence ; ensuite, face aux preuves, changer le discours — « ce ne sont pas des chemtrails, c’est de la géo-ingénierie ». On nous dit que ces pulvérisations sont pour « lutter contre le changement climatique » ou « sauver l’humanité », mais les taux de cancer augmentent, les troubles cognitifs explosent, et les cieux ne ressemblent plus à ceux d’il y a vingt ans.

Une demande de justice

Nicole Shanahan l’a dit clairement : les responsables, comme Bill Gates, le Forum Économique Mondial et les technocrates non élus, doivent répondre de leurs actes. Pourquoi Gates finance-t-il des expériences de pulvérisation atmosphérique ? Pourquoi le WEF promeut-il la modification du ciel sans transparence ? Qui profite des contrats et des brevets ? Et pourquoi ceux qui orchestrent ces opérations ne vivent-ils pas sous les cieux qu’ils pulvérisent ?

Regardez la vidéo pour plus de détails (avec un VPN si vous êtes en France).

Source : thepeoplesvoice.tv