Les dangers du four à micro-ondes

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arme de destruction massive de la vitalité

Généralités

Les micro-ondes sont des ondes électromagnétiques de 300 Méga-Hertz à 100 Giga-Hertz, soit de longueur d’onde de 1 m à 3 mm, se situant dans le spectre entre :

  • d’une part les ondes radio,
  • d’autre part, les rayonnements infra-rouges, visibles et les UV.

La fréquence des fours industriels et ménagers est de 2450 Méga-Hertz – soit 2,45 Giga-Hertz, soit une longueur d’onde de 12 cm. Sous l’action de ces ondes, les molécules d’eau contenues dans les aliments placés dans ces fours changent d’orientation 2 .450.000 fois par seconde, d’où l’échauffement suite aux frottements intenses consécutifs.

Ces micro-ondes particulières concernent essentiellement – outre les fours – les radars de surveillance et les satellites et relais TV (UHF). On les utilise également pour le préchauffage des matières plastiques.

Suite à la dernière guerre mondiale, les USA se trouvent à la tête d’un important stock de magnétrons dont ils ne savent que faire. Ces magnétrons étaient destinés à la fabrication des radars. Le Dr Percy SPENCER met donc au point le four à MICRO-ONDES, dans la seule optique commerciale d’écouler ces matériels encombrants et onéreux. De multiples accidents au cours de la guerre avaient pu démontrer que ces ondes radars déclenchaient des brûlures. La mise au point et la commercialisation des fours à MICRO-ONDES résultent donc de problèmes d’écoulement de surplus américains.

Les pays de l’Est ont été, semble-t-il, rapidement convaincus des influences des micro-ondes. Ainsi, l’ambassade des Etats-Unis à Moscou a été irradiée de 1943 à 1976 par des fréquences allant de 0,6 à 9,45 giga-Hertz. Ce  » bombardement  » fut détecté en 1953 et, en conséquence, varia en direction et en intensité.

L’avenir des fours à MICRO-ONDES semble bien incertain, en particulier aux USA et au Japon où ils seraient passés de mode. Des recherches sont faites pour mettre au point des fours à vapeur, inventé par un physicien, Désiré YOVANOVITCH, plus ou moins basé sur le principe de la cocotte minute. Une toute nouvelle technique utiliserait la vapeur libre, sans pression. La cuisson des aliments se ferait encore plus rapidement. Ces matériels sont encore trop onéreux pour l’usage domestique. Ils sont néanmoins au point pour les professionnels.

Répercussions directes des micro-ondes sur les êtres vivants

Inutile de rappeler le décès par brûlure, qui est universellement admis et reconnu. D’après Jacques TREMOLIERES, journaliste, l’être humain, en tant que structure verticale, réagit comme une antenne, comme un collecteur d’ondes. Chacun de nos organes réagit de même comme un collecteur d’ondes. En clair, cela signifie que nous absorbons des quantités plus ou moins importantes de rayonnements électromagnétiques selon le principe même des antennes. Un rayonnement est d’autant plus dangereux que sa fréquence est plus élevée, à compter de 10 Méga-Hertz.

Les premières études sur les répercussions de ces ondes sur l’organisme humain datent de 1943. Elles ont été effectuées par la Marine Américaine.

Entre 1966 et 1970, des chercheurs polonais et russes ont constaté sur les techniciens exposés aux micro-ondes :

  • des altérations fonctionnelles du système nerveux,
  • des troubles cardio-vasculaires, troubles du rythme, modification de la tension artérielle,
  • des troubles du comportement : fatigabilité, céphalées, vertiges, somnolence, irritabilité, anorexie, troubles de la mémoire, hypochondrie, insomnie. Cf EDELWEJN et BARANSKY /
    1966-1968, puis PETROU 1970 qui constate l’altération de l’électro-encéphalogramme, prouvant ainsi le caractère concret et objectif des lésions. Lésions qui peuvent se manifester par des convulsions chez des ouvriers exposés aux micro-ondes depuis plus de 3 ans dans le cadre de
    leur travail,
  • des perturbations du transit intestinal,
  • des perturbations glandulaires, en particulier au niveau de l’hormone de croissance.

De telles ondes pénètrent dans le cerveau sur une profondeur entre 1/2 et 1 cm, c’est à dire qu’elles touchent essentiellement le cortex. Elles sont extrêmement dangereuses pour l’oeil (cataracte). Les premiers à l’avoir mentionné sont CLEARY et PASTERMAK.

La pénétration dans les graisses atteint 5 cm de profondeur. Sang, lignées sanguines et mécanique immunitaire sont atteint, ce qui explique les leucémies chez les personnes exposées : une étude sur la mortalité globale à New-York entre 1950 et 1979 (438 000 décès) montre une augmentation importante de la mortalité par leucémie aiguë pour 10 catégories socioprofessionnelles exposées aux champs électromagnétiques. De nombreux chercheurs ont constaté ces méfaits : DEICHMAN (1964), KITSOUSKAJA (1964), KOTKOUSKA et WAAK (1975), WANGEMANN et CLEARY (1976), MICHAELSON (1971). Les désordres les plus courants annonçant la gravité du problème sont des hyperleucocytoses (augmentation du nombre des globules blancs), des lymphocytoses, de l’anémie. Les troubles semblent fonction de la dose absorbée.

Les micro-ondes lèsent aussi les cellules génitales. Outre l’effet thermique, on a constaté des lésions testiculaires et une altération de la spermatogenèse à partir d’une puissance de 10 mW/cm2 (BARANSKY et CZERKI en 1976). L’hyperthermie que de telles ondes engendrent est enfin particulièrement nuisible pour les gonades (testicules surtout) : il a été observé en Suède en particulier un affaiblissement de la libido et une modification de la proportion masculin-féminin parmi les nouveaux-nés. Sur 2018 physiothérapeutes et leurs 2043 enfants, on a observé 33 cas de morts néo-natales ou malformations majeures, le seul fait explicitant cette proportion anormale étant l’utilisation plus fréquente d’équipements à ondes courtes chez les mères de ces enfants (Drs Pierre et Suzanne DEOUX :  » L’écologie, c’est la santé  » chez Frison-Roche)

A signaler des avortements à répétition entre le 2ème et le 3ème mois de la grossesse si le four se situe à la hauteur du ventre des mamans, dans la cuisine. A cet âge, le foetus atteint la taille de 12 cm, ce qui correspond à la longueur d’onde des MICRO-ONDES, et il encaisse donc alors l’intégralité des fuites !

Les problèmes techniques lors de l’utilisation des fours

1) Les fuites

Il est curieux de constater que les normes autorisées varient considérablement d’un pays à un autre :

– L’AFNOR (normes françaises) recommande de ne pas dépasser 5 mW/cm2.
– Les USA ne tolèrent que 1 mW/cm2.
– Dans les pays de l’Est, ces normes ne dépassent pas 10 pW/cm2

Hervé POUCHELET dans l’Express du 28 mai 1978 explicite bien la chose : « Aux USA, on ne badine pas avec les règles de sécurité. On a crié : attention ! Le four en question peut paralyser les porteurs de stimulateurs cardiaques en créant dans les circuits du pacemaker un courant continu « . Et comme l’a dit un directeur de recherche au CNRS : la France a le triste privilège d’être un des rares pays industriels à ne pas posséder de niveau de sécurité pour l’utilisation des micro-ondes dans le domaine civil. » Les micro-ondes attaquent très rapidement les caoutchoucs assurant l’étanchéité du four. Très rapidement, au bout de quelques heures d’utilisation normale, les fuites dépassent les normes ci-dessus.

Un test effectué sur 60 fours familiaux usagés a révélé que seuls, 22 appareils étaient encore aux normes. Une extrapolation aux millions de fours présents sur le marché laisse rêveur, pour le moins ! (Danielle BERTRAND-DURET, Médecine Naturelle) Le four produit également un champ magnétique E.L.F. de 40 à 90 mG à 30 cm et de 3 mG à 1,5 m.

2) La dénaturation des aliments

L’OMS estime que  » la connaissance actuelle des mécanismes biophysiques qui sous-tendent le fonctionnement des membranes cellulaires et les propriétés (…) des composants des cellules reste limitée. L’interprétation des résultats (…) doit s’entourer d’une grande circonspection « . Cf  » Critères d’Hygiène de l’environnement  » – n°16 / OMS.

Un certain nombre de techniques permettent de mesurer de façon fiable et reproductible l’ENERGIE VITALE des aliments et des corps biologiques.

  • l’examen au microscope selon la technologie de Gaston NAESSENS qui permet de prendre conscience des microzymas pré-existant dans tous les processus vitaux.
  • la BIO-ELECTRONIQUE de Louis-Claude VINCENT,
  • la photographie selon le procédé KIRLIAN, (technique qui utilise les hautes fréquences),
  • la cristallisation sensible,
  • la SPECTROSCOPIE, qui, elle, utilise les basses fréquences.

En fonction des expérimentations réalisées avec ces techniques, il est possible de « quantifier » l’énergie VITALE ou VIBRATOIRE des aliments. Cette énergie VIBRATOIRE apparaît essentielle pour la bonne assimilation de l’aliment et son bénéfice pour la santé.

Un être humain en bonne santé atteint un taux de +15 d’énergie vibratoire positive.
Un malade affaibli oscille entre 0 et -10.
Un malade souffrant du cancer avoisine les -35.
Un mourant se situe à -45.
3 jours après la mort, l’énergie vibratoire est encore à -50.

Il semble donc, et c’est bien logique, qu’il existe des fuites d’énergie vibratoire, en permanence. Ces fuites doivent être compensées, ce qui se fait au travers des aliments ingérés. C’est ainsi qu’une carotte va avoir une énergie vibratoire de :

+ 15 pour une carotte ordinaire,
+ 25 pour une carotte obtenue en culture biologique,
+ 5 pour une carotte ayant séjourné 8 jours dans un réfrigérateur,
+ 2 pour une carotte biologique cuite de suite après le ramassage.

Les produits traités (engrais chimiques et pesticides) se situent à des taux autour de – 15. Le pain blanc industriel est à – 25. Par contre, le pain de culture biologique cuit au feu de bois se situe à + 25 ! Un aliment qui possède une énergie vibratoire avant cuisson à + 25, une fois cuit au four à micro-ondes, en ressort avec un taux à – 20°… (Cf. travaux de GILBERT ALTENBACH & BOUNE LEGRAIS).

Des études ont été menées un peu partout dans le monde pour tenter de démêler le vrai du faux, dans ce problème de l’éventuelle dénaturation des aliments.

Le LANCET de mars 1990, un prestigieux journal scientifique et médical, a publié les travaux des professeurs LUBEC, WOLF et BARTOSCH en Autriche, à l’université de Vienne, sur le chauffage du lait. Une dénaturation des protéines avec passage de la forme TRANS à la forme CIS à été constatée. De même, certaines formes lévogyres passent à l’état dextrogyre (organisation spatiale des molécules). Le LANCET informe :  » la conversion de la forme trans à la forme cis présente certains dangers : elle peut conduire à des altérations structurelles, fonctionnelles et immunologiques des peptides ou protéines. Il faut également retenir qu’il y a eu transformation de la L-Proline en D-Proline. Cette dernière est neurotoxique, et nous avons rapporté les effets néphrotoxiques et hépatotoxiques de cette molécule. Nous recommandons donc une étude plus approfondie des altérations moléculaires qui affectent les acides aminés et d’autres composés, car il a été publié très peu de choses sur cet aspect du traitement par les micro-ondes « .

D’autres études contradictoires ont été réalisées en France par l’équipe du Pr AUDHUY en collaboration avec le Pr MARCHELLI de la faculté de Parme, en Italie. Qui oserait dire que la communauté scientifique n’a pas une dimension mondiale ? Mais, en ce qui concerne le micro-ondes, les recherches sont encore bien limitées, et les résultats de toutes ces études sont controversés ou passés sous silence.

Le Pr. JOYEUX avec C. VENTURIN, les Prs CHEN, BAU, GIANNAGELI, DEBRY, ont eux travaillé sur le soja.

A Nimes, le Pr Luis MIRO, chef du Service Nucléaire et de Biophysique Médicale du CHR de Nimes, travaille depuis 15 ans sur les ondes radio-électriques. Il semble résulter de tout cela que :

– les facteurs anti-trypsiques contenus dans le soja sont détruits par ce mode de cuisson, ce qui serait plutôt favorable,
– mais les protéines sont dénaturées, comme pour le lait, et deviennent non seulement dangereuses au plan immunitaire (risque de cancer, leucémies, etc), mais aussi toxiques pour le foie et le rein.

Le Nouvel Observateur du 13 février 1992 fait état d’une étude réalisée par Hélen YO et Takayuki Shibamoto au sein de l’université de Californie, sur les saveurs obtenues par la cuisson au four à micro-ondes. Il apparaît que les saveurs normales (caramélisée ou torréfiée) n’apparaissent pas, alors que des saveurs indésirables peuvent venir donner un goût de légume vert à un gâteau dit quatre-quart ! Tout ceci est explicité par l’apparition ou non de certains composés chimiques en cours de cuisson.

3) L’émission de MICRO-ONDES par les aliments sortant du four !

Il s’agit d’une notion qui est mentionnée dans certaines notices de four ! On retrouve cette mention dans des livres de cuisine pour le four à micro-ondes. Il faut donc éviter de consommer un aliment pendant les 10 à 15 minutes qui suivent sa sortie, pour éviter d’être brûlé au niveau des muqueuses par les ondes émises en écho par les aliments.

Ce qui rend l’intérêt du four à micro-ondes – pour réchauffer rapidement un aliment – très aléatoire !

4) Le champ Électromagnétique autour du four :

Toujours avec les mêmes procédés de mesure que ci-dessus, il est possible de constater que l’énergie environnante est « aspirée » par le fourà MICRO-ONDES, et le champ magnétique est déstructuré sur un rayon de 3 à 5 mètres. Tout individu restant à côté du four voit donc son propre champ magnétique (produit par la juxtaposition des champs Électromagnétiques de chacune de nos cellules) profondément perturbé. D’où la sensation de fatigue, quasi-immédiate. Ce phénomène est amplifié lorsque le four n’est pas relié à une « terre » de bonne qualité.

Si vous décidez de conserver votre four, après avoir lu cet article, éviter au moins :

 de le placer à hauteur du ventre de ces dames,
– de le placer près d’une source de chaleur,
– de le placer près d’une source d’humidité ou de vapeurs,
– de le placer dans un rayon de soleil.

Il doit être installé à plus de 4 mètres d’une radio ou d’une télévision. Son plancher doit être rigoureusement horizontal. La mise à la terre doit être parfaite, avec une résistance inférieure à 10 ohms… Il faut absolument s’éloigner à plus de 5 mètres du four lorsqu’il fonctionne !

Les données de l’observation clinique

Reste à traiter l’impact clinique du four, c’est à dire ce que chacun d’entre nous peut observer, lorsqu’il use de cet ustensile issu des surplus de nos amis américains. A ce niveau, le test est facile à contrôler pour chacun. Prendre deux repas identiques, à des heures comparables dans la journée, dans des conditions psychologiques également comparables, l’un cuit normalement, l’autre au MICRO-ONDES. Vous constaterez des troubles digestifs quasi-immédiats : ballonnements, somnolence, brûlures d’estomac, pesanteur, puis très vite flatulences et gaz nauséabonds. Quel que soit le menu. Et uniquement après le repas cuit au MICRO-ONDES. Ces phénomènes une fois constatés, reste à les intégrer dans un cadre cohérent.

La Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC) nous offre ce cadre sur un plateau.

Il s’agit, cliniquement, de ce que les chinois appellent une ATTAQUE DE RATE.

La RATE, en MTC, a une fonction existentielle absolument centrale et primordiale. Elle englobe toute la fonction alimentaire de l’organisme. En particulier, elle règne en maîtresse incontestée sur les mécanismes de la digestion, de l’assimilation et de l’évacuation des déchets. Ce qui explique très bien les problèmes que l’on ressent après ingestion d’aliments cuits au four à Micro-Ondes ! En particulier les ballonnements et les flatulences nauséabondes.

Elle répartit l’énergie alimentaire qui découle de ce travail de digestion dans tout l’organisme, la faisant monter vers le haut du corps, en particulier vers les centres nerveux du cerveau archaïque (tronc cérébral) qui régulent les mécanismes homéostasiques : le réglage de la température du corps, par exemple. Mais aussi le réglage de l’appétit, et le contrôle de la morphologie et de la tonicité globale de tous les tissus du corps. Cet apport d’énergie va donc éviter toute prolifération néoplasique, certes, mais aussi les coussinets de cellulite disgracieux, les prises de poids intempestives, le relâchement des tissus et de la peau, etc…

La RATE est aussi, avec le FOIE, à l’origine de la fabrication du SANG. Son bon fonctionnement évitera donc les leucémies et autres troubles immunitaires graves.

Enfin, elle régule la circulation sanguine capillaire et veineuse.

Le four à MICRO-ONDES n’est certes pas le seul élément qui attaque la RATE : l’alimentation crue, froide, comme les boissons froides (ce qui explique entre autres choses que les personnes qui font un régime amaigrissant à base de crudités continuent à grossir), et surtout les soucis et le stress sont aussi des facteurs péjoratifs considérables pour la RATE. Inutile donc d’en rajouter aujourd’hui avec le FOUR à MICRO-ONDES !

En conséquence : user du FOUR à MICRO-ONDES, c’est ouvrir la porte à toutes sortes de désagréments et de maladies :

  • troubles digestifs,
  • perte de vitalité,
  • problème de poids, bedon chez monsieur, culotte de cheval chez madame. Relâchement des tissus, peau flasque.
  • troubles circulatoires sanguins capillaires et veineux,
  • verrues, cancers, leucémies,
  • effondrements immunitaires
  • comme pour les vaccins mais dans une moindre mesure pourtant.

Je suis à peu près certain que le four à MICRO-ONDES concourt à l’effondrement immunitaire du SIDA, beaucoup plus que le fameux virus H.I.V. Moins pourtant que l’accumulation imbécile et charlatanesque des vaccins ! Il faut donc – en toute logique – éviter d’acheter cet engin, et dans le cas où la bêtise est faite, la réparer en allant le jeter à la première décharge venue !

Extrait de la revue « Des Clef Pour Vivre » n° 14 – mars 1996

Dr Alain SCOHY – Alès et Dr Sylvette MEKERTA – Nîmes NB – décembre 2004

L’entrée dans le paradigme (système de pensée scientifique) de la Psychosomatique permet de reprendre quelques éléments de ce dossier… Il est clair que les leucémies ou autres cancers ne proviennent sans doute pas de l’usage du four à micro-ondes. Ils sont des phénomènes de survie dans des conditions de stress mortel pour les cancers, de guérison pour les leucémies…

Mais ces phénomènes pathologiques sont aggravés de manière évidente par une mauvaise hygiène de vie. Et l’usage de cet instrument est un facteur évident de majoration des risques et des symptômes. Je pense qu’il faut entendre les micro-ondes comme une énergie négative
– et nous en avons déjà bien assez à assumer et à surmonter.

À bon entendeur, salut !

Alain Scohy

La diététique du Tao

3 commentaires à “Les dangers du four à micro-ondes”

  1. Sol delaforet dit :

    Je n’ai jamais acheté de four à micro-ondes ! Déjà, ça m’a paru suspect dès le début et j’avais aussi lu des articles à ce sujet ! J’ai été beaucoup critiquée, surtout par des « SCIENTIFIQUES » ! qui se gaussaient en entendant mes arguments : « LES ONDES », riaient-ils ! Eh bien, qu’ils se GAUSSENT ! C’est vrai, les ONDES, CA NE SE VOIT PAS ! ALORS : sous-entendu, ça n’existe pas, ou tout au moins, ça ne peut pas avoir d’effet ! CA, C’EST SCEINTIFIQUE ! N’EST-CE PAS ?

  2. Sak dit :

    Sol > N’importe quoi, vous vous amusez à attribuer des propos illogiques à d’autres personnes.
    Si  » les ONDES, CA NE SE VOIT PAS ! ALORS : sous-entendu, ça n’existe pas, ou tout au moins, ça ne peut pas avoir d’effet », alors donc le micro-onde ne va pas cuire les aliments.
    Mais comme le micro-onde cuit effectivement les aliments (ou que le téléphone reçoit le signal), c’est que les ondes ont donc bien évidemment des effets, et évidement les « scientifiques » sont au courant hein, puisque ces techniques sont issues de leurs recherches.
    Bref, si votre paranoïa le permet encore, essayez de construire des raisonnements logiques.

  3. eugene dit :

    Cher Alain, il ne sert à rien d’aligner des valeurs en MHz, GHz, longueur d’ondes ou vibration par seconde ( sauf faire plus savant ) mais encore faut-il qu’il soient juste. Je vous laisse le soin de retrouver l’erreur ( un facteur mille, une paille )

    Je précise qu’il n’y a pas besoin d’être un grand scientifique pour repérér cette erreur

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