Alors que des millions d’Américains attendent avec impatience que la nouvelle direction du Département de la Santé et des Services sociaux (HHS) s’attaque aux injections d’ARNm contre le COVID‑19 — déjà administrées à plus de 9 millions d’enfants cette année — Robert F. Kennedy Jr. est enfin passé à l’offensive :
Points-clés soulevés par RFK Jr.
« La recommandation en faveur de la vaccination des enfants a toujours été douteuse. Leurs risques face au COVID‑19 sont quasi nuls : seuls certains enfants présentant des comorbidités très graves encourent un risque réel. Pour la plupart, il est inexistant. »
Myocardites :
Dans la plus vaste synthèse à ce jour comparant la myocardite post‑infection par le SARS‑CoV‑2 et celle post‑vaccination COVID‑19, Mead et al. montrent que la myocardite induite par les vaccins à ARNm est non seulement beaucoup plus fréquente, mais également plus sévère — surtout chez les enfants et les jeunes hommes. Ces données indiquent que les risques de la vaccination l’emportent largement sur tout bénéfice théorique :
Étude OpenSAFELY :
Cette analyse, qui a porté sur plus d’un million d’enfants et d’adolescents, a mis en évidence que la myocardite n’a été documentée que chez les vaccinés, jamais après infection par le SARS‑CoV‑2. Aucun décès lié au COVID‑19 n’est survenu dans aucun groupe. Les visites aux urgences (A&E) et les hospitalisations non programmées ont également été plus fréquentes après la première dose qu’au sein du groupe non vacciné :
« Pourquoi donc administrer ce vaccin à des dizaines de millions d’enfants alors que les injections présentent, elles aussi, des risques sérieux ? On observe de fortes associations entre myocardite/péricardite et accidents vasculaires cérébraux, ainsi que d’autres atteintes neurologiques. »
Enquêtes de très grande ampleur :
Les deux plus vastes études jamais conduites sur la sécurité des vaccins COVID‑19 — l’une portant sur 99 millions de personnes (Faksova et al.) et l’autre sur 85 millions (Raheleh et al.) — confirment ces inquiétudes en documentant une hausse marquée des effets indésirables graves post‑vaccination, notamment :
- Myocardite : + 510 % après la deuxième dose
- Encéphalomyélite aiguë disséminée : + 278 % après la première dose
- Thrombose veineuse cérébrale : + 223 % après la première dose
- Syndrome de Guillain‑Barré : + 149 % après la première dose
- Infarctus du myocarde : OR observé de 1,24 (+ 24 %) après la première dose seulement, sans augmentation significative après la deuxième dose.
- Coronaropathie : + 244 % après la deuxième dose (OR = 3,44 ; IC 95 % : 1,99–5,98).
Essai clinique Pfizer (Polack et al., NEJM) :
Selon les données cliniques de Pfizer, 18 décès sont survenus dans le groupe vacciné contre 16 dans le groupe placebo — soit une augmentation d’environ 12,5 % lorsque l’on inclut les décès survenus après « unblinding ».
« Et cela apparaissait déjà clairement dans les données cliniques de Pfizer : on comptait plus de décès dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo. Il faut poser des questions et consulter les parents. »
« Nous devons garantir un consentement éclairé : ne recommandons pas un vaccin dont les risques pourraient nuire à la population. »
Perspective d’impact sur l’espérance de vie
Une reconnaissance publique de la gravité des effets indésirables liés aux vaccins ARNm contre le COVID‑19 laisse entrevoir une action imminente. Espérons toutefois qu’elle concernera tous les groupes d’âge, car aucun n’est épargné par la réduction de l’espérance de vie qu’ils peuvent induire :
Alessandria et al. (n = 290 727, ≥ 10 ans) :
Les personnes ayant reçu deux doses de vaccin ont perdu 37 % d’espérance de vie par rapport à la population non vaccinée au cours du suivi.
Nicolas Hulscher, MPH
Épidémiologiste et administrateur, McCullough Foundation
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Sources :
Focal Points
Fox News