Une recherche confirme l’efficacité exceptionnelle de ce remède

Les dernières années ont été marquées par une vague de peur sans précédent à l’échelle mondiale. De nombreux facteurs, tels que des stratégies de communication alarmistes, la mise en place de mesures sanitaires contestées et la censure d’informations médicales alternatives, ont contribué à amplifier cette inquiétude face au COVID-19. Parmi les options thérapeutiques ayant suscité la controverse figure l’ivermectine, un médicament longtemps utilisé pour ses propriétés antiparasitaires, mais dont les effets antiviraux et anti-inflammatoires sont de plus en plus étudiés.

Analyse comparative de 10 médicaments contre le variant Omicron

Des chercheurs ont mené une étude computationnelle pour évaluer l’efficacité de 10 médicaments couramment proposés contre le variant Omicron du SARS-CoV-2. Parmi les médicaments analysés figuraient le nirmatrelvir (Paxlovid), le ritonavir, la lopinavir, le boceprevir, le MPro 13b, le MPro N3, le GC-373, le GC376, le PF-00835231 et l’ivermectine.

  • L’étude a utilisé le docking moléculaire pour examiner la capacité de chaque médicament à interagir avec la protéase principale du virus, une cible clé de l’inhibition virale.
  • Les mutations d’Omicron n’ont pas affecté de façon significative l’efficacité des médicaments étudiés.
  • L’ivermectine a obtenu les meilleurs résultats, surpassant même le nirmatrelvir (Paxlovid), pourtant récemment autorisé et vendu à un prix bien supérieur.

Alors que le traitement par Paxlovid coûte environ 529 dollars, celui à base d’ivermectine varie entre 48 et 95 dollars pour 20 comprimés, selon le pays.

L’ivermectine : propriétés et résultats observés

Initialement reconnue pour son action antiparasitaire, l’ivermectine a également démontré des effets antiviraux et anti-inflammatoires. Ses bénéfices dans la prise en charge du COVID-19 sont multiples :

  • Réduction de la charge virale grâce à l’inhibition de la réplication du virus.
  • Diminution du risque d’infection de 86 % en utilisation préventive, selon une méta-analyse publiée dans l’American Journal of Therapeutics.
  • Une dose unique permettrait d’éliminer 99,8 % du virus en 48 heures, selon un article.
  • Accélération de la guérison en limitant l’inflammation et en protégeant les organes, ce qui réduit le risque d’hospitalisation et de décès.
  • Méta-analyses indiquant une réduction de la mortalité de 75 à 83 %.
  • Prévention de la transmission du virus lorsqu’elle est administrée avant ou après l’exposition.

Une étude menée au Bangladesh auprès de soignants a montré que parmi ceux ayant pris 12 mg d’ivermectine chaque mois pendant 4 mois, seuls 4 sur 58 ont présenté des symptômes légers, tandis que parmi ceux n’ayant pas pris le médicament, 44 sur 60 ont été contaminés.

Impact du traitement précoce sur le COVID long et les hospitalisations

Le traitement précoce du COVID-19 joue un rôle déterminant dans la réduction du syndrome dit « COVID long », caractérisé par des symptômes persistants tels que fatigue, troubles cognitifs, douleurs musculaires ou perte de l’odorat et du goût. Selon une étude de novembre 2020, 18,1 % des personnes ayant contracté le COVID-19 ont reçu un diagnostic psychiatrique dans les 14 à 90 jours suivant leur guérison, avec des troubles anxieux, insomnie ou démence en tête.

Le Dr Peter McCullough, cardiologue, indique que 50 % des patients hospitalisés pour COVID-19 souffrent ensuite d’un COVID long. Il souligne l’importance du traitement précoce :

« Ainsi, plus une personne est malade et plus la durée de COVID est longue, plus elle est susceptible d’avoir un syndrome de COVID long. C’est la raison pour laquelle nous apprécions le traitement précoce. Nous raccourcissons la durée des symptômes et il y a moins de risque de syndrome de COVID long. »

Des études montrent également que le segment s1 de la protéine Spike reste détectable dans les monocytes jusqu’à 15 mois après une infection sévère, expliquant la persistance des symptômes chez certains patients.

Malgré la démonstration de l’efficacité de l’ivermectine dans de nombreux protocoles de traitement, les autorités sanitaires n’ont pas publié de recommandations officielles sur le traitement précoce, privilégiant souvent une attitude attentiste ou la prescription de médicaments plus récents et plus coûteux.

Situation en Afrique : faible taux d’infection et de mortalité

Comparée à d’autres régions du monde, l’Afrique présente des taux d’infection et de mortalité liés au COVID-19 relativement bas. Plusieurs facteurs pourraient expliquer cette situation :

  • Utilisation répandue de l’ivermectine comme prophylaxie contre l’onchocercose (cécité des rivières), touchant plus de 99 % des personnes dans 31 pays africains, selon l’OMS.
  • Disponibilité d’autres médicaments comme l’hydroxychloroquine et la chloroquine, utilisés depuis longtemps dans la lutte contre le paludisme.
  • Usage traditionnel de l’Artemisia annua (absinthe douce), plante employée contre la fièvre et le paludisme, dont le principe actif, l’artémisinine, est actuellement étudié pour son potentiel antiviral contre les coronavirus (voir l’étude).
  • Exemple de l’État d’Uttar Pradesh en Inde, où l’administration d’ivermectine a permis d’atteindre un taux de guérison de 98,6 %.

L’Organisation mondiale de la santé qualifie l’Afrique de « l’une des régions les moins touchées du monde ». Des études japonaises suggèrent également une chute rapide du nombre de cas suite à l’autorisation de l’ivermectine en traitement, tandis que le président de l’Association médicale de Tokyo a relevé la corrélation entre l’usage préventif du médicament et la faible mortalité observée.

Controverse, censure et enjeux de santé publique

Malgré son inclusion dans la liste des médicaments essentiels de l’Organisation mondiale de la santé, l’ivermectine, tout comme l’hydroxychloroquine, a souvent été écartée ou déconseillée par les agences sanitaires et les médias. Cette censure a freiné l’accès au traitement précoce dans de nombreux pays occidentaux.

Le contraste est frappant avec la prise en charge des maladies chroniques, telles que les maladies cardiaques, dont le taux de mortalité est vingt fois supérieur à celui du COVID-19 aux États-Unis, mais qui n’a pas suscité de mesures sanitaires radicales telles que l’interdiction du tabac ou des produits sucrés.

La question demeure : qu’est-ce qui empêche les instances officielles, les professionnels de santé et le grand public de reconnaître et d’exprimer objectivement les résultats scientifiques accumulés concernant certains traitements ?

Source : lavieensante.com