La pandémie de Covid-19, déclarée par l’OMS le 11 mars 2020, a plongé le monde dans une crise sans précédent. Le documentaire Vaxxed III : Autorisé à tuer lève le voile sur une réalité troublante : des protocoles hospitaliers aux conséquences mortelles, des incitations financières douteuses, la censure de traitements prometteurs comme l’ivermectine, et une méfiance croissante envers les vaccins. À travers des témoignages déchirants de familles, d’infirmières et de médecins, ce film expose des pratiques médicales controversées et des conflits d’intérêts qui auraient coûté d’innombrables vies. Il appelle à un réveil collectif pour que de telles tragédies ne se reproduisent plus.
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Des protocoles hospitaliers aux effets dévastateurs
Dès les premiers cas signalés en Chine, les autorités sanitaires mondiales ont activé des niveaux d’alerte maximum, et le virus s’est rapidement propagé à des pays comme l’Italie et les États-Unis. En réponse, des protocoles standardisés, dictés par des agences comme le NIH, la FDA et le CDC, ont été imposés dans les hôpitaux. Ces protocoles, centrés sur l’administration de remdesivir, l’utilisation de ventilateurs mécaniques, et des sédatifs comme le Précédex, sont aujourd’hui accusés d’avoir causé plus de mal que de bien.
Le remdesivir : un médicament à haut risque
Développé initialement pour traiter Ebola, le remdesivir a été repositionné pour le Covid-19 malgré des essais cliniques alarmants. Lors des tests contre Ebola, il a entraîné un taux de mortalité de 53 %, supérieur au placebo, ce qui a conduit à l’arrêt de l’étude en 2019, selon le New England Journal of Medicine. L’OMS a émis une mise en garde en novembre 2020, soulignant ses effets néfastes sur le foie et les reins, mais les États-Unis l’ont ignorée. Une codeuse médicale témoigne : « Le remdesivir a rapporté 873 millions de dollars à Gilead en un trimestre. » Des patients, comme Grace, ont souffert de ses effets secondaires. Sa mère explique que Grace a reçu du Précédex, un sédatif, du 9 au 13 octobre, jusqu’à son décès d’une insuffisance respiratoire aiguë, un effet secondaire connu de l’usage prolongé de ce médicament au-delà de 24 heures.
Les ventilateurs : une loterie mortelle
L’utilisation généralisée des ventilateurs mécaniques est un autre point noir. Les patients admis avec des difficultés respiratoires étaient souvent placés sous ventilation, une procédure invasive avec un taux de survie de seulement 20 %, selon un médecin cité dans le documentaire. Une femme raconte comment son mari, Robert, a été ventilé malgré son refus explicite : « Il m’a dit qu’il ne voulait pas de respirateur sauf en cas d’urgence absolue. Ils l’ont mis sous ventilateur sans me contacter. » Des ordres illégaux de « ne pas réanimer » étaient parfois ajoutés aux dossiers, comme dans le cas de Grace, inscrits à 10h56 après une augmentation fatale de Précédex. Les réglages des ventilateurs, notamment le FIO2, ont aggravé la situation. Une infirmière, Pam, révèle un message interne de l’hôpital : « Les réglages FIO2 des respirateurs ont tué des gens. Nous avons appris que ça ne fonctionnait pas. » Ces erreurs, combinées à des pressions pour ventiler, ont transformé les unités de soins intensifs en « champs de bataille », selon une autre infirmière.
Des incitations financières au cœur du système
Les hôpitaux, sous pression financière, ont été incités à adopter ces protocoles via des dérogations de la CMS (Centers for Medicare & Medicaid Services), issues de la loi CARES. Chaque diagnostic Covid, chaque procédure, rapportait des sommes astronomiques. Par exemple, l’administration intraveineuse de remdesivir valait 3 000 $, et un bonus de 20 % s’appliquait sur l’ensemble des séjours hospitaliers. Une codeuse médicale explique : « Un patient désigné Covid pouvait rapporter entre 1 et 5 millions de dollars à l’hôpital. » Dans certains cas, des patients ont généré des centaines de DRG (groupes de diagnostic), chacun associé à une prime. Un témoignage poignant illustre l’impact : « Ils voulaient garder ma mère sous ventilateur pour qu’elle meure à l’hôpital, car cela rapportait plus. »
Les conflits d’intérêts ont exacerbé le problème. Le documentaire révèle que 18 des 23 experts NIH votant sur les protocoles avaient des liens financiers avec Gilead, le fabricant du remdesivir. Cette collusion, qualifiée de « conflit d’intérêt où l’argent prime sur les patients », a conduit à des décisions biaisées, selon une intervenante. Une infirmière déplore : « Tout ça, c’était pour l’argent. Dès qu’ils ont vu les primes pour les tests PCR, tout a changé. »
La censure des traitements alternatifs
L’ivermectine et l’hydroxychloroquine, deux traitements soutenus par des études indépendantes, ont été systématiquement marginalisés. Le documentaire cite « 54 études prouvant que l’ivermectine fonctionnait », et l’hydroxychloroquine était utilisée avec succès dans le cadre de l’opération Warp Speed. Pourtant, les hôpitaux refusaient de les administrer. Une femme raconte : « J’ai demandé de l’ivermectine pour ma mère, ils m’ont ri au nez, disant ‘nous n’utilisons pas ça ici’. » Le cas de Joe Rogan, qui a utilisé l’ivermectine et s’est rétabli rapidement du Covid-19, est emblématique. Ridiculisé par CNN comme prenant un « vermifuge pour chevaux », Rogan a dénoncé la désinformation : « Ils ont mis un filtre jaune sur ma vidéo pour me faire paraître malade. »
Cette censure, selon le documentaire, visait à protéger les intérêts pharmaceutiques. Le film explique : « Si l’efficacité de l’ivermectine était reconnue, elle aurait décimé les marchés des vaccins à ARNm, du Paxlovid, et du remdesivir. » Les traitements non brevetés, sûrs et peu coûteux, menaçaient les profits de l’industrie, estimés à plus de 100 milliards de dollars pour les vaccins et autres nouveaux traitements.
Les vaccins : une méfiance grandissante
Les vaccins constituent un autre sujet brûlant dans Vaxxed III, abordés à travers une critique de leur promotion et un scepticisme généralisé. Le documentaire suggère que la censure de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine était stratégique : « S’il existait une thérapie efficace, il était impossible de faire breveter des vaccins sous autorisation d’urgence. » Cette autorisation, encadrée par la loi PrEP de 2005, protégeait les fabricants, médecins, et gouvernements contre les poursuites, tout en garantissant des profits massifs.
Des témoignages personnels renforcent ce discours anti-vaccin. Une mère, bouleversée, partage l’histoire de son fils, Sawyer, un « enfant miracle » décédé après une vaccination : « Nous avions attendu des années pour l’avoir. Une nuit, il est mort. » Ce récit, porté dans le bus de Vaxxed III avec l’urne de Sawyer, a marqué l’équipe du documentaire. Une participante, enceinte, déclare : « Aucun vaccin ne touchera jamais mon enfant. La mort de Sawyer ne sera pas vaine. »
Le scepticisme s’étend aux vaccins infantiles. Plusieurs intervenants rejettent désormais tous les vaccins, affirmant que « les enfants non vaccinés sont en meilleure santé ». Une personne de 69 ans ajoute : « Je ne me ferai plus jamais vacciner. Je vois 4 à 8 patients par semaine avec des effets indésirables des vaccins. » Le film critique aussi l’obligation vaccinale, qualifiée de « militarisation » par l’industrie pharmaceutique, qui imposerait « une batterie d’injections » aux enfants pour accéder à l’école. Cette méfiance, alimentée par la gestion opaque de la pandémie, a conduit à un « réveil » collectif, où les vaccins sont perçus comme un outil de profit plutôt que de santé publique.
Un appel à la vérité et à la justice
Face à ces abus, des héros ont émergé. Des infirmières, comme celle qui a fait sortir un patient par la porte arrière d’un hôpital, et des médecins, comme celui licencié pour avoir refusé le remdesivir au profit du protocole MATH+, ont risqué leur carrière pour dénoncer ces pratiques. Une infirmière témoigne : « Les médecins inscrivaient SLD (soins de longue durée) sur les dossiers. On savait que ces patients finiraient sous remdesivir, dialyse, ventilateur, et mourraient. » Certains professionnels ont quitté les hôpitaux, incapables de cautionner ces protocoles.
Vaxxed III, soutenu par Children’s Health Defense, donne une voix à ces victimes et appelle à une réforme profonde. Une participante insiste : « Le silence, c’est la conformité. En racontant notre histoire, nous empêchons que cela arrive à d’autres. » Le bus du documentaire, couvert de photos des défunts, est décrit comme un « monument à la compassion et à la vérité », honorant ceux qui ont péri à cause des protocoles ou des vaccins. L’équipe, motivée par ces visages, poursuit sa mission pour que « justice soit rendue » et que de telles tragédies ne se répètent jamais.
Conclusion
Vaxxed III : Autorisé à tuer expose une crise sanitaire marquée par des protocoles hospitaliers mortels, des incitations financières obscènes, et la censure de traitements prometteurs. Les vaccins, promus au détriment de solutions comme l’ivermectine, ont alimenté une méfiance profonde, renforcée par des récits comme celui de Sawyer. Ces témoignages, bruts et émouvants, révèlent une médecine dévoyée par la cupidité et la bureaucratie. Pour honorer les victimes et protéger les générations futures, le documentaire appelle à une révolution de la vérité, où la compassion et l’éthique guideront enfin les soins de santé.