Alerte sanitaire : Les vaccins ARNm contre le Covid-19 mis en cause par « Les Enfants d’Hippocrate »

Le 1er mai 2025, l’association « Les Enfants d’Hippocrate », regroupant médecins et chercheurs, a publié un document d’alerte sanitaire dans lequel elle réclame le retrait immédiat des vaccins à ARNm contre le COVID. Elle y accuse les autorités sanitaires d’avoir validé des produits dont la qualité, l’efficacité et la sécurité seraient gravement compromises. Cette alerte intervient alors que des millions de personnes ont reçu ces vaccins depuis 2021, en pleine pandémie.

Une fabrication jugée incontrôlée et opaque

Au cœur du dossier : des défaillances dans les procédés de fabrication. Selon l’association, les vaccins ARNm souffrent d’un ensemble de défauts structurels, à commencer par une « dissimulation de données aux autorités de santé » telles que l’EMA et l’ANSM. Elle accuse également les industriels d’avoir mis sur le marché des produits issus d’une « fabrication non maîtrisée », avec des « contrôles qualité inadaptés à ces nouvelles technologies ».

Le document énumère plusieurs éléments problématiques, notamment la présence d’« impuretés, d’ARN dégradés, d’ADN plasmidique et d’une séquence SV40 ». À cela s’ajoute un constat particulièrement inquiétant : « le produit distribué n’a pas été comparé au produit testé ». L’organisation déplore aussi une « variabilité inter-lot » importante, autrement dit des différences de composition ou de comportement entre les lots, susceptibles de compromettre la cohérence des effets.

Une efficacité jugée largement insuffisante

Les Enfants d’Hippocrate s’attaquent également à la question de l’efficacité des vaccins. Celle-ci serait, selon eux, « faible à nulle ». Le dossier évoque une baisse rapide de la protection, particulièrement contre le variant Omicron, avec une efficacité qui ne dépasserait pas « 19 à 27% contre Omicron après 3 à 4 mois ».

Par ailleurs, l’association affirme qu’« aucun effet sur la transmission du virus n’a été démontré », une affirmation qui s’appuierait notamment sur une déclaration de Janine Small, cadre dirigeante de Pfizer, en octobre 2022. Autre point noir : l’incertitude sur les performances cliniques dans des groupes spécifiques. Selon le dossier, « l’efficacité clinique reste très mal connue », notamment « chez les femmes enceintes et les groupes à risque ».

Une sécurité loin d’être garantie

Sur le plan de la tolérance, le constat est tout aussi alarmant. Le vaccin, affirment-ils, serait un produit « envahissant tout l’organisme », provoquant une « atteinte de tous les organes ». Les Enfants d’Hippocrate évoquent également un « passage transplacentaire » et une « atteinte du fœtus chez l’animal », éléments tirés d’observations toxicologiques.

Les chiffres rapportés à l’ANSM viennent étayer leurs craintes : 193 934 effets indésirables auraient été déclarés, dont plus de 40 000 considérés comme graves, soit environ 25 % du total. Parmi ceux-ci, on recense, selon l’association, des « myocardites, thromboses et décès ». Le document insiste également sur un point fondamental : « les effets à long terme sont toujours inconnus ».

Des demandes claires et tranchées

Fort de ces constats, le collectif formule plusieurs demandes. Il réclame « le retrait immédiat des produits à ARNm », exige « l’étude exhaustive et indépendante de ces produits », et appelle à « la reconnaissance et la prise en charge médicale des victimes des effets secondaires ».

Les citoyens souhaitant en savoir plus ou entrer en contact avec l’association sont invités à consulter leur site : www.lesenfantsdhippocrate.org, ou à les contacter par email.

Dossier-Alerte-Sanitaire-29-Avril-2025

Source : infodujour.fr