« Les vaccins COVID ont causé 74 % des décès » : le Dr Peter McCullough choque le Sénat avec une déclaration fracassante

« Les meilleures données que nous ayons proviennent des autopsies. Dans la plus grande série d’autopsies publiée à ce jour — et je le sais, car j’en suis l’auteur principal —, nous avons examiné et réexaminé chaque décès, avec un comité d’arbitrage chargé de déterminer si le vaccin avait causé la mort. Résultat : parmi les personnes autopsiées après la vaccination, il a été conclu que dans 73,9 % des cas, le vaccin était effectivement la cause du décès.

Le 27 septembre 2021, on imposait la vaccination à tous, y compris aux femmes enceintes, en suivant scrupuleusement tous les critères du HHS (le ministère de la Santé américain). Et on prévenait : « Si vous ne le faites pas, nous vous détruirons. » J’ai personnellement exposé mes analyses devant les comités consultatifs de la FDA et conseillé des entreprises pendant des décennies, je connais donc très bien la réglementation. Quand un produit cause clairement des décès — et il existe des milliers d’articles scientifiques évalués par des pairs sur ce sujet —, il est impératif d’ajouter immédiatement un encadré d’avertissement sur ce produit.

Je viens de vérifier la notice des vaccins actuellement disponibles — ceux que le sénateur Blumenthal souhaite encore promouvoir, tout comme, semble-t-il, le gouverneur ici présent. La FDA continue de recommander ces injections, pourtant, à ce jour, le mot « décès » n’apparaît toujours pas dans la notice. Les Américains ne sont donc pas informés de manière transparente.

Avez-vous le moindre doute sur le fait que l’injection COVID ait causé des décès ? Que pensez-vous des 37 000 ou 38 607 décès actuellement recensés dans VAERS ? Selon vous, quel est le chiffre réel ? Disposez-vous de preuves scientifiques pour étayer votre opinion ?

Encore une fois, les meilleures données sont celles issues des autopsies. Dans cette plus grande série jamais publiée — dont je suis l’auteur principal —, nous avons étudié et réétudié tous les décès, avec un comité indépendant pour déterminer la cause. Sur les cas d’autopsies réalisées après vaccination, il a été établi que dans 73,9 % des cas, le vaccin était bien à l’origine du décès. Le premier auteur de l’étude est Holshire et ses collègues, présents ici-même derrière moi. D’après la réglementation de la FDA, ce fait devrait être mentionné dans la notice du vaccin, et ce, immédiatement.

En 2021, la Dre Carol Taccetta, en collaboration avec le Daily Cloud, a écrit à Peter Marks à l’été 2023 pour lui demander : « Où est l’avertissement en encadré noir ? » Aucune réponse de la part de Marks.

Docteur Vaughn, un mot sur le consentement éclairé ?
— Oui. Concernant le consentement éclairé, la situation était tout à fait différente pour les femmes enceintes. Le HHS semble avoir pris le contrôle du Collège américain des obstétriciens et gynécologues (ACOG). Mon équipe de recherche, avec Maggie Thorp (JD), l’a prouvé grâce à une demande FOIA qui a coûté plusieurs millions de dollars. Dès décembre 2020, l’ACOG a été « capturé ». À ce moment-là, tout le monde à l’ACOG et dans d’autres organisations disait qu’ils ne recommanderaient pas ce vaccin chez les femmes enceintes, du moins pas au cours de la grossesse (40 semaines).

Mais le 27 septembre 2021, la directive était sans appel : « Vous devez promouvoir le vaccin, y compris chez les femmes enceintes, et suivre tous les critères du HHS. Sinon, nous détruirons votre carrière, nous retirerons votre licence et vous serez radié. » Ce message a été envoyé à 60 000 gynécologues-obstétriciens.

On aurait sans doute dû donner à cette intervention un titre plus large : il s’agit d’une véritable corruption de la science, des agences fédérales de santé, et des organisations professionnelles qui gouvernent la pratique obstétrique, non seulement aux États-Unis, mais dans le monde entier.

Au fait, savez-vous dans quelle mesure les journaux médicaux sont financés par des entités aux intérêts parfois contradictoires, comme les laboratoires pharmaceutiques, voire des intérêts chinois ? En avez-vous connaissance ?

— Oui, vous faites référence à l’article écrit par les éditeurs du New England Journal of Medicine. Je connais l’étude de Wen et collègues, publiée le 10 octobre 2024, qui montre que 1,06 milliard de dollars ont été versés aux évaluateurs de journaux médicaux parmi les plus influents (NEJM, Lancet, BMJ), provenant de l’industrie pharmaceutique. C’est avéré.

Docteur Walscott, en tant que victime d’un effet indésirable vaccinal, estimez-vous avoir reçu un véritable consentement éclairé ?
— Absolument pas. Pour moi, le consentement éclairé, auquel je crois profondément en tant que médecin, exige des données authentiques et transparentes. On peut marteler à longueur de journée que « c’est sûr, efficace, des millions de vies sauvées », mais en réalité, ce n’est pas vrai. »

Source : The Economic Times