Une proche de Robert Kennedy révèle TOUT sur les scandales Pfizer et c’est une bombe ! – Naomi Wolf

Une figure de la pensée critique devenue dissidente

Naomi Wolf, auteure et intellectuelle américaine, a bâti sa renommée dans les années 1990 avec son best-seller « Le Mythe de la Beauté ». Diplômée d’Oxford, elle a été chroniqueuse dans de grands médias et conseillère politique pour des figures majeures du parti démocrate américain. Pourtant, tout change en 2021, lorsqu’elle publie sur Twitter des alertes sur les effets secondaires des vaccins à ARNm, notamment des troubles menstruels chez de nombreuses femmes. Rapidement, elle subit une vague de censure et de discrédit à l’international.

L’affaire des documents Pfizer

Un tournant survient quand l’avocat Aaron Siri obtient, via la justice américaine, la publication de plus de 450 000 documents internes entre Pfizer et la FDA. Ces documents, que la FDA voulait garder secrets pendant 75 ans, concernent le suivi du vaccin Pfizer-BioNTech contre le Covid-19. Face à la masse de données techniques, Steve Bannon invite Naomi Wolf à lancer un appel à des experts bénévoles. Plus de 3 000 spécialistes de tous horizons (médecins, chercheurs, biologistes, statisticiens, spécialistes de la fraude médicale) rejoignent le projet et produisent 109 rapports, que Wolf édite dans son livre « Pfizer papers. Les crimes de Pfizer contre l’humanité« , publié le 12 mai 2025 aux éditions Eyrolles.

Procédure d’urgence : une étape contournant les protocoles habituels

Naomi Wolf insiste sur l’importance de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA), qui a permis aux vaccins à ARNm d’être mis sur le marché en quelques mois, alors que le développement classique exige en général 12 à 15 ans de tests et de suivi des effets à long terme. Selon elle, cette procédure a court-circuité les étapes nécessaires à la preuve de la sécurité du vaccin, exposant ainsi la population à des risques encore mal évalués.

Ce que révèlent les documents Pfizer selon Naomi Wolf

Wolf affirme que les documents Pfizer analysés mettent en évidence plus de 12 000 décès suspects et 140 000 effets indésirables graves signalés durant les trois premiers mois de vaccination. Parmi les complications les plus préoccupantes figurent des troubles cardiovasculaires (AVC, crises cardiaques, myocardites), des atteintes au système reproducteur, des maladies multisystémiques, ainsi que des troubles neurologiques, musculaires et articulaires. Le livre souligne également que les femmes auraient été trois fois plus exposées aux effets indésirables que les hommes. Enfin, il est avancé que la myocardite liée au vaccin n’est ni rare, ni bénigne, ni transitoire, et que de nombreux cas de Covid auraient été recensés chez des personnes vaccinées sur la même période.

Santé reproductive : un impact majeur et inquiétant

D’après Wolf, le point le plus alarmant est l’impact du vaccin sur la fertilité et la santé reproductive féminine. Les rapports mentionnent de nombreux cas de troubles menstruels (saignements anormaux, hémorragies, perte de cycles), une hausse importante des fausses couches (jusqu’à 80 % dans certains tableaux internes), une augmentation de la mortalité maternelle et fœtale, et une baisse du nombre de naissances observée dans plusieurs pays occidentaux. La fertilité masculine serait aussi impactée, avec une hausse des problèmes testiculaires chez les bébés garçons exposés in utero aux nanoparticules lipidiques contenues dans les vaccins. Wolf souligne également la présence de substances telles que le polyéthylène glycol dans le lait maternel de mères vaccinées, entraînant des troubles et même des décès chez les nourrissons allaités.

La question de l’intentionnalité et le silence médiatique

Naomi Wolf précise qu’elle ne trouve pas de preuve explicite d’intention de nuire dans les documents Pfizer, mais constate que la majorité des études internes se concentrent sur la fertilité et la reproduction, et non sur les poumons ou les voies respiratoires. Pour elle, la poursuite de la vaccination malgré la connaissance des risques relève désormais d’une forme d’intentionnalité, voire de complicité de stérilisation. Elle s’interroge également sur la censure généralisée, qui l’a contrainte à voyager en Europe pour continuer à informer le public.

Un volet géopolitique : transfert de technologie à la Chine

Autre révélation marquante, Naomi Wolf affirme que Pfizer a transféré la propriété intellectuelle de son vaccin au Parti communiste chinois dès 2021, ce qui aurait permis à la Chine de produire un milliard de doses pour l’exportation vers l’Europe et les États-Unis. Selon elle, la Chine n’aurait pas utilisé ces vaccins pour sa propre population, préférant d’autres formulations.

Analyse politique et appel à la vigilance citoyenne

Wolf relie enfin la baisse des naissances en Occident à des stratégies géopolitiques de déstabilisation, soulignant l’arrivée de populations migrantes venant de pays sans tradition démocratique, tandis que la population « historique » subit une crise démographique. Elle critique aussi la dérive autoritaire de certains gouvernements pendant la crise Covid, et plaide pour une refondation démocratique et une vigilance accrue face à la censure et à la désinformation.

Conclusion

Naomi Wolf conclut sur son engagement pour la liberté d’expression et le débat scientifique, en remerciant les médias français qui acceptent de relayer ses travaux. Elle promet de continuer à alerter sur ces questions, malgré la controverse et l’ostracisme dont elle est victime.

Source : Tocsin