Covid, Big Pharma : les trois décisions de Kennedy qui vont tout changer !

Dans une récente vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, s’exprime avec véhémence sur ce qu’il qualifie de scandale sanitaire mondial lié aux vaccins anti-Covid et à la corruption dans l’industrie pharmaceutique. S’appuyant sur des décisions récentes prises aux États-Unis et des études internationales, il interpelle les autorités françaises pour leur inaction face à ce qu’il considère comme une dissimulation de la vérité.

Les décisions américaines qui secouent le monde de la santé

Dupont-Aignan met en avant les récentes déclarations du nouveau ministre de la Santé américain, Robert F. Kennedy Jr., qui marque un tournant dans la politique sanitaire des États-Unis. Selon lui, Kennedy a pris des mesures radicales, notamment :

  1. Retrait des recommandations de vaccination anti-Covid pour les enfants et les femmes enceintes : Les responsables de la FDA et du NIH, deux grandes institutions sanitaires américaines, ont décidé de ne plus recommander le vaccin anti-Covid pour ces populations, arguant de son manque d’utilité. Cette décision, selon Dupont-Aignan, constitue une révolution face à l’influence de l’industrie pharmaceutique.
  2. Arrêt des subventions à Moderna : Le président américain Donald Trump a annulé une subvention de 700 millions de dollars accordée par l’administration Biden à Moderna pour développer un vaccin à ARN messager contre la grippe aviaire. Cette décision s’accompagne de critiques acerbes, qualifiant la technologie de l’ARN messager de « sous-testée » et non justifiée scientifiquement ni éthiquement.
  3. Dénonciation des revues scientifiques : Kennedy s’attaque aux grandes revues scientifiques, accusées de corruption et de partialité en faveur des laboratoires pharmaceutiques. Dupont-Aignan relaie les propos du professeur Didier Raoult, qui qualifie ces revues de « cartel des trafiquants de médicaments », manipulant les études pour discréditer des traitements comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine.

La situation en France : un silence préoccupant

Dupont-Aignan déplore l’inaction de la France face à ces révélations. Il cite un rapport de l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) datant de novembre 2021, qui fait état de 17 748 effets graves liés aux vaccins anti-Covid. Il affirme que parmi les plaintes signalées à l’ANSM concernant les injections anti-Covid chez les femmes enceintes, 80 % étaient des effets graves. Pourtant les données officielles se sont arrêtées en février 2023, et aucune enquête approfondie n’a été menée depuis.

Il demande instamment la publication des statistiques de mortalité par tranche d’âge et par statut vaccinal par l’INSEE. Selon lui, ces données permettraient de vérifier si les pics de mortalité observés, notamment chez les jeunes, sont liés aux vaccins. Il cite des études japonaises et européennes (Royaume-Uni, Suède, Danemark) qui montreraient une augmentation des arrêts cardiaques chez les personnes vaccinées, en lien avec la protéine Spike.

Une enquête sur les lots de vaccins

Dupont-Aignan évoque une étude suédo-danoise suggérant que certains lots de vaccins anti-Covid pourraient être plus dangereux que d’autres. Il appelle à une enquête approfondie en France pour analyser la composition des différents lots et déterminer s’ils ont eu des effets différenciés sur la population. « Il y aurait eu trois types de lots : dangereux, moins dangereux, et sans effet », explique-t-il, insistant sur la nécessité de vérifier ces allégations pour rétablir la confiance.

Un appel à la transparence et à la justice

En conclusion, Dupont-Aignan formule plusieurs exigences claires :

  • Publication des statistiques de mortalité par tranche d’âge et statut vaccinal.
  • Enquête sur les lots de vaccins pour identifier d’éventuelles différences de composition.
  • Application stricte de la loi sur les conflits d’intérêts pour les médecins intervenant dans les médias, avec obligation de transparence sur leurs liens avec l’industrie pharmaceutique.
  • Réforme de l’homologation des médicaments au niveau européen, qu’il juge influencée par des lobbies et des comités sans compétences médicales avérées.

Il appelle également à la création de revues scientifiques indépendantes, à l’image des propositions de Kennedy, pour garantir des évaluations objectives des médicaments, loin des intérêts financiers des laboratoires.

Un cri d’alarme pour la vérité

Nicolas Dupont-Aignan insiste sur l’urgence de diffuser ces informations, qu’il juge étouffées par une censure médiatique en France. Il demande le soutien de ses sympathisants pour financer des recherches indépendantes via des dons à Debout la France, afin de poursuivre cette quête de vérité. « S’il y a des coupables, ils doivent être traduits devant les tribunaux », conclut-il, comparant le scandale actuel à celui du Mediator, mais à une échelle bien plus grande.

Cette prise de position, volontairement provocatrice, vise à relancer le débat sur la gestion de la crise Covid en France et à exiger des comptes sur les décisions sanitaires prises ces dernières années.

Source : Nicolas Dupont-Aignan