Une voix discordante dans le concert pandémique
« J’ai pris l’engagement dès le début de cette affaire de rester dans un cadre légal tel que nous le connaissons aujourd’hui, » déclare le Dr. David Martin, scientifique et fondateur de M-CAM, une société d’analyse de brevets. Cette affirmation pose le décor d’une enquête minutieuse et explosive sur les origines et la gestion de la pandémie de COVID-19. Loin d’un simple accident naturel, le Dr. Martin soutient que nous sommes face à une « Grande Machination », une opération orchestrée de longue date, dont il décrypte les rouages à travers l’analyse inattendue des brevets et des déclarations publiques. Cette série documentaire, qu’il présente implicitement comme un « signal d’alarme », exhorte à « réévaluer les conséquences d’accepter aveuglément ce qu’on lui a dit sans en questionner les implications. »
Partie 1 : le tissu d’un agenda clandestin – brevets et préméditation
Le cœur de l’argumentation du Dr. Martin repose sur une affirmation radicale : le coronavirus n’est pas une nouveauté surgie de nulle part, mais une technologie connue et brevetée.
Des brevets révélateurs : le SRAS comme modèle viral manipulé
« La source originelle du virus à l’origine du coronavirus 2019 proviendrait des chauves-souris, » nous dit-on. Mais le Dr. Martin, fort de son expérience (il a fondé le premier programme d’essais cliniques pour dispositifs médicaux à l’Université de Virginie dans les années 90), trace une autre histoire. « Ma première réunion d’information [sur le coronavirus] a eu lieu en 2002. Mon premier briefing publié était en 2003. » Sa société, M-CAM, disposait dès 1998 de « tous les brevets et demandes de brevets des offices de brevets du monde entier ».
Il pointe un brevet crucial déposé par Ralph Baric (UNC Chapel Hill) en 2002 sur un « clone infectieux à réplication défectueuse du virus Corona ». « Ce n’était pas un virus, » insiste-t-il, « il a été conçu sur la base d’un modèle viral… qui devait spécifiquement utiliser un modèle viral en tant que technologie. » Ainsi, « cette idée de SRAS ou de SARS-CoV n’existe pas du tout dans la nature. C’est quelque chose qui a été développé et conçu pour être un mécanisme de prise en charge. » Le SARS-CoV-2, selon lui, « est le dérivé de ce que nous appelons SARS-CoV-1. Ni l’un ni l’autre n’est un phénomène naturel. Il s’agit de technologies d’ingénierie. »
La libération programmée : des signaux ignorés
Le Dr. Martin affirme que les signes d’une libération intentionnelle ou, à tout le moins, anticipée étaient visibles. « Au printemps 2019, Moderna a déposé des demandes de brevet qui avaient été rejetées précédemment. Et dans ces demandes de brevet, ils ont fait référence à la libération intentionnelle ou accidentelle d’un agent pathogène respiratoire. Nous sommes en avril 2019. C’était avant le virus chinois. » Il questionne : « Pourquoi une entreprise qui n’a jamais fabriqué de produit commercial… modifierait-elle des demandes de brevet… pour y inclure la mention ‘libération accidentelle ou intentionnelle d’un agent pathogène respiratoire’ si quelqu’un ne se préparait pas à libérer un agent pathogène respiratoire ? »
Il ajoute que l’Event 201 (octobre 2019) et un exercice de l’OMS (mi-septembre 2019) simulaient une « dissémination accidentelle ou intentionnelle d’un pathogène respiratoire mortel ». « La seule surprise que j’ai eue, » confie-t-il, « c’est l’audace avec laquelle les criminels ont annoncé au public qu’ils allaient le faire, sans que personne ne s’en préoccupe. »
Le vaccin : la fin justifie les moyens ?
« Nous allions obtenir le vaccin ! » s’exclame-t-il ironiquement. Pour le Dr. Martin, le vaccin était l’objectif préétabli. Cela aurait justifié la « suppression des alternatives commercialisées et publiées qui ont fait leurs preuves. » En effet, « dans le cadre de la loi Prep Act de 2005, le seul moyen d’obtenir une autorisation d’urgence d’une contre-mesure médicale est de prouver qu’il n’y a pas d’autres solutions valables. »
Plus troublant encore, la définition même du vaccin aurait été altérée. « Au printemps 2020, nous avons fait deux choses. D’une part, on a changé les règles du jeu. On a dit que le vaccin n’avait plus rien à voir avec la transmission ou l’infection. Il s’agit d’une prétendue réduction des hospitalisations ou la gravité de la maladie après la deuxième injection. » Il rappelle que jusqu’en avril 2020, BioNTech et Moderna, dans leurs déclarations financières, qualifiaient les injections d’ARNm de « thérapies géniques expérimentales classées comme telles par la FDA. »
Le « crime » et ses architectes : une « guerre contre l’humanité »
« Le crime n’est pas Moderna et Pfizer, » affirme le Dr. Martin. « Ce ne sont que des marchands d’armes. Le crime est en fait ce qui leur a permis de devenir des marchands d’armes. Et pourquoi nous avons déclaré la guerre à l’humanité. C’est ça le crime. » Il dénonce une collusion entre « un ensemble de conspirateurs, tant dans le secteur public que dans l’industrie » qui « savaient qu’en 2015… nous allions faire comprendre au public la nécessité d’une contre-mesure médicale telle qu’un vaccin contre le coronavirus. » Il cite Peter Daszak expliquant la nécessité d’un « battage médiatique ».
Partie 2 : justice, non-conformité et la quête de vérité dans un cadre légal miné
Face à cette « Grande Machination », le Dr. Martin ne se contente pas de dénoncer. Il explore les voies de recours et appelle à une prise de conscience collective, tout en naviguant dans un système qu’il juge compromis.
Un combat légal et personnel :
« J’ai seulement demandé que les lois soient respectées, » martèle-t-il. Pourtant, il constate que « les tribunaux ont déclaré sans ambiguïté que nous étions en situation d’urgence sanitaire et que l’Organisation mondiale de la santé et le CDC étaient les seuls arbitres des faits. » Une situation qu’il juge aberrante au vu des « 88 % des dons versés à l’OMS par les organisations et agences donatrices » provenant de la sphère d’influence de Gates, ce qui constitue selon lui « par définition une position de contrôle. »
Ce combat a un coût. « J’ai perdu énormément de relations professionnelles et sociales à cause de cela, » avoue-t-il, soulignant l’isolement que peuvent engendrer de telles prises de position, même au sein de sa propre famille où son frère travaille au CDC. « Je me suis reproché d’avoir échoué… à alerter les gens à un niveau qui leur aurait permis de mettre fin à la situation avant qu’elle ne se produise. »
La force de la non-conformité et les victoires légales émergentes :
Malgré tout, l’espoir réside dans l’action citoyenne et la persévérance légale. « La première réponse est, je pense, la non-conformité, » explique-t-il, citant l’exemple de 40 000 employés de santé en Californie qui ont fait reculer l’obligation du port du masque. « Nous devrions parler de cette histoire. »
Sur le front légal, il évoque l’affaire Devan Griner dans l’Utah, où une plainte a été déposée contre le gouvernement américain pour « l’exercice illégal de la médecine dans l’État de l’Utah ». Bien que la procédure initiale ait été complexe, il souligne que « le gouvernement fédéral… a admis l’exercice de la médecine dans l’Utah sans licence. » En vertu de la loi de l’Utah, « le procureur général doit poursuivre ce crime de classe 3. » « Ce crime ne disparaît pas, » assure-t-il.
Démasquer les mensonges institutionnels :
Le Dr. Martin accuse le NIH et d’autres agences d’avoir menti au Congrès, notamment sur leurs intérêts financiers dans les vaccins et leurs relations avec des sociétés comme Acuitas et Arbutus, qui détenaient les brevets sur les nanoparticules lipidiques essentielles aux injections d’ARNm. « Ils ont menti au Congrès sur leurs relations avec Acuitas et Arbutus qui, comme par hasard, sont des entreprises canadiennes qui ont réalisé d’énormes, énormes, énormes profits sur le dos d’une chose qui a accidentellement vu le jour. » Il pointe même un candidat à la présidence américaine, Vivek Ramaswamy, comme ayant financé ces entreprises.
Les « fils d’Ariane » de la distraction :
Pour que cet agenda puisse se dérouler, il fallait détourner l’attention. « Nous avons eu le fil d’Ariane de la 5G, nous avons eu le fil d’Ariane du SARS-CoV-2, nous avons eu le fil d’Ariane des ovnis… des transgenres… des hommes qui peuvent avoir des bébés… de Black Lives Matter. C’est une blague ? » s’insurge-t-il. « Il ne s’agit pas d’une émergence de questions sociales qui seraient apparues au hasard en même temps. Il s’agit d’une destruction de la confiance du public. »
La vérité fondamentale : la liberté et le respect mutuel :
Au-delà des scandales, le Dr. Martin en appelle à un retour aux principes fondamentaux : « Ma capacité à mener ma vie devrait être une priorité absolue en matière de liberté, à condition que l’exercice de ma liberté ne porte pas atteinte à la vôtre… Cela signifie que nous devons parler, nous devons communiquer, nous devons engager un dialogue respectueux. »
Conclusion : un appel à la vigilance et à l’exigence de vérité
Les propos du Dr. David Martin dessinent une chronologie et une causalité alternatives de la pandémie de COVID-19, soutenues par une analyse de documents publics souvent ignorés. Sa lecture des événements est celle d’une « guerre » menée contre les peuples, où la peur et la manipulation ont été des armes maîtresses. « Si nous, en tant que société, cessions de vivre dans le récit de la peur, le message ne pourrait pas être transmis, » conclut-il. Son travail, bien que controversé, constitue un appel pressant à la vigilance citoyenne, à l’examen critique des informations et à une demande inébranlable de transparence et de justice de la part des institutions qui régissent nos vies. La « Grande Machination », si elle est avérée, ne pourrait être déjouée que par une prise de conscience collective et une action déterminée.
Sources:
odysee.com
odysee.com
www.uimedianetwork.com
www.uimedianetwork.com