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Ai-je besoin de graisses saturées dans mon alimentation? Si oui, combien?

Oui, les graisses saturées ont un rôle important dans le maintien de la santé, mais elles sont nécessaires en quantités limitées. L’apport quotidien recommandé est de 7% de votre apport calorique quotidien total. Donc, si vous consommez 1800-2000 calories par jour, cela ferait 126-140 calories, ou 14-15 grammes de gras saturés.

Les gras saturés se trouvent surtout dans les sources animales mais aussi dans certaines plantes. Les aliments issus d’animaux sont le bœuf, la graisse de boeuf, le veau, l’agneau, le porc, le saindoux, la graisse de volaille, le beurre, la crème, le lait, les fromages et autres produits laitiers fabriqués à partir de lait entier. Tous ces aliments contiennent aussi du cholestérol alimentaire. Les aliments dérivés de plantes qui contiennent des gras saturés comprennent la noix de coco, l’huile de coco, l’huile de palme et l’huile de palmiste (souvent appelé huiles tropicales), et le beurre de cacao.

source: whfoods

Un régime trop riche en protéines animales tuerait autant que le tabagisme

Une alimentation riche en viande, œufs, lait et fromage pourrait être aussi nocive pour la santé que le tabagisme selon une nouvelle étude américaine.

Les personnes de moins de 65 ans qui mangent beaucoup de viande, d’œufs et de produits laitiers sont quatre fois plus susceptibles de mourir d’un cancer ou de développer du diabète selon les résultats d’une étude de l’Université de Californie du Sud.  Lire la suite →

Lait, mensonges et propagande : l’interview vérité de Thierry souccar

Thierry Souccar est l’invité de l’émission « La tête au carré » sur France Inter, à l’occasion de la sortie de son livre « Lait, mensonges et propagande » en 2007.

Le livre qui a lancé un pavé dans la mare (de lait)

Suite à la chronique du livre « Le mythe de l’ostéoporose », je vous propose d’écouter l’interview de Thierry Souccar à propos du lait et de son industrie, un thème très proche du « Mythe de l’ostéoporose ».
Vous pouvez écouter ce podcast téléchargeant le MP3 en cliquant sur ce lien.

Je vous ai marqué ci dessous quelques points remarquables de l’interview.  Lire la suite →

Enquête de santé – Le lait, potion ou poison


Le grand méchant lait – Longtemps considéré comme une véritable potion magique, le lait fait aujourd’hui l’objet de nombreuses accusations. La boisson provoquerait des allergies, mais serait aussi à l’origine d’intolérances, de problèmes digestifs, ou encore de rhinites, d’otites, de polyarthrite, et même de certains cancers. Depuis quelques années, des livres de médecins ou de journalistes dénoncent les tactiques de l’industrie laitière pour écouler les stocks. Aussi la consommation de lait a-t-elle baissé de 13% entre 2000 et 2011. Mais ces accusations sont-elles réellement fondées ? Et que penser, en outre, des laits allégés, enrichis, ou de croissance, destinés aux tout-petits ? Le documentaire lève le voile sur cette industrie en perte de vitesse.

DANS LE LAIT : une soupe d’hormones suspecte

Le lait de vache renferme de nombreuses hormones et facteurs de croissance. Une consommation importante pourrait favoriser les cancers de la prostate et des ovaires.

Des hormones femelles en brique

Les estrogènes peuvent alimenter la croissance de nombreuses tumeurs, y compris dans la prostate, et ils peuvent le faire à des concentrations infimes.
Les chercheurs ont trouvé que les teneurs et le type d’estrogènes varient largement selon les laits étudiés. Les laits vendus dans nos supermarchés proviennent de vaches qui sont traites environ 10 mois par an, y compris pendant la gestation, ce qui explique des taux hormonaux élevés. Par contraste, le lait des vaches de tribus nomades, qui ne sont traites que 6 mois par an et seulement au début de la gestation, renferment moins d’estrogènes.  Lire la suite →

3 À 4 LAITAGES PAR JOUR : UNE RECOMMANDATION ABSURDE ET DANGEREUSE, À ABOLIR SANS DÉLAI(T)

Quand les autorités sanitaires vont-elles enfin reconnaître qu’elles ont eu tort de promouvoir les laitages dans le but de « prévenir les fractures » ? Quand vont-elles faire amende honorable et réviser leurs recommandations (les fameux 3 à 4 laitages par jour) comme je les y invite depuis 2004 ?

Ces questions se posent de manière aigüe alors qu’une grande étude est parue dans JAMA Pediatrics, qui vient une nouvelle fois mettre à mal le mythe selon lequel il faudrait boire plus de lait dans les premières décennies de la vie pour prévenir les fractures à un âge avancé.

Que dit cette étude ? Elle a suivi pendant 22 ans plus de 96 000 hommes et femmes âgés de 50 ans issus de l’Etude des Infirmières et de l’Etude de suivi des professionnels de santé. Les chercheurs de l’Ecole de santé publique de Harvard, qui pilotent ces deux grandes cohortes, ont cherché à établir une association entre la consommation de lait dans l’adolescence et le risque de fractures plus tard dans la vie.

Résultats : après contrôle des facteurs de risque connus, chaque verre supplémentaire quotidien de lait au cours de l’adolescence était associé à un risque significativement plus élevé de fracture du col du fémur chez les hommes. Chez les femmes, la consommation de lait n’était associée ni à une augmentation du risque de fracture, ni à une diminution de ce risque. […]
Lire la suite sur le blog de Thierry Souccar

Voici pourquoi les produits laitiers ne sont pas adaptés à la consommation humaine

Dans une vidéo, Thierry Casasnovas, expert en nutrition et en détoxification, a abordé un sujet souvent controversé : les produits laitiers et leurs effets sur la santé. Cet article se propose de résumer et d’analyser les points clés de cette discussion.

Les produits laitiers et la digestion

Le premier point soulevé concerne notre capacité à digérer les produits laitiers. Il est expliqué que, passé l’âge de trois ou quatre ans, notre corps ne produit plus les enzymes nécessaires pour digérer correctement le lactose et les protéines complexes présentes dans le lait. Cette incapacité à digérer le lait, surtout celui de vache qui contient des protéines plus complexes et plus de graisses que le lait maternel, peut entraîner divers problèmes de santé.

Effets sur la santé respiratoire

Un aspect particulièrement préoccupant est l’impact des produits laitiers sur la santé respiratoire. Le mucus créé par la digestion imparfaite de ces produits peut entraîner des problèmes tels que bronchites, sinusites, otites, migraines, et autres troubles de la sphère ORL. Ces problèmes sont exacerbés par le fait que les protéines laitières non digérées s’accumulent dans le corps, créant un environnement propice à l’inflammation et à la congestion.

Mythe du calcium et réalité

L’intervenant déconstruit également le mythe selon lequel les produits laitiers seraient une source essentielle de calcium. Il explique que, bien que le lait contienne du calcium, les protéines acidifiantes qu’il contient obligent le corps à puiser dans ses réserves de calcium pour neutraliser l’acidité, réduisant ainsi l’efficacité de l’apport en calcium. De plus, les glandes thyroïde et parathyroïde, essentielles à l’utilisation du calcium, peuvent être affectées par le mucus accumulé, rendant le calcium du lait encore moins utilisable.

Impact neurologique et émotionnel

Un autre point soulevé est l’impact des produits laitiers sur la sphère psycho-émotionnelle. L’expert suggère que des troubles tels que l’irritabilité, l’instabilité émotionnelle et les crises de larmes pourraient être liés à la consommation de produits laitiers, en plus du gluten.

La pasteurisation et ses effets

Enfin, il est mentionné que la plupart des produits laitiers sont pasteurisés, un processus qui rend les minéraux contenus dans le lait, y compris le calcium, inutilisables par le corps humain. Cela peut conduire à l’accumulation de ces minéraux sous forme de calculs dans les reins.

Conclusion

En conclusion, bien que les produits laitiers soient souvent présentés comme bénéfiques pour la santé, cette vidéo souligne l’importance de remettre en question ces croyances populaires. Chacun est invité à se renseigner davantage et à faire des choix éclairés en matière de nutrition.