Category Archives: Régime Paléo

Les jaunes d’œuf sont bons pour la santé

Un gros œuf contient 190 mg de cholestérol. Les autorités sanitaires recommandent de consommer au maximum 300 mg par jour de cholestérol alimentaire, pour éviter les maladies cardiaques.

Cela veut dire que si vous mangez deux œufs par jour, vous dépassez déjà largement la limite, y compris en vous abstenant de toute autre source de cholestérol (andouillettes, saucisson, pâté, foie, beurre, mayonnaise, fruits de mer…). Lire la suite →

Il guérit toutes ses maladies avec le régime paléo

Par Guillaume de Paléo Québec

Bonne semaine à tous!

Aujourd’hui, un témoignage de Marc-André, un jeune homme qui souffrait de symptômes de diverses maladies auto-immunes qui mystifiaient les médecins et qui a réussi à tout régler en mangeant paléo.

C’est une excellente histoire à partager si vous avez des proches qui souffrent de problèmes semblables!

Bonne lecture! Lire la suite →

3 erreurs paléo à éviter

Bonjour groupe!

Cette semaine, un article rapide: 3 erreurs à éviter quand on s’essaie sur le paléo

Résumé des 3 erreurs:

– Oublier l’essentiel: viande-fruits-légumes

– Vouloir  »tricher » trop souvent

– S’attendre à des résultats trop rapides

1. Oublier que le paléo, c’est au moins 80% viande-fruits-légumes

L’internet abonde de recettes incroyables pour faire de la pizza paléo, du gateau paléo ou même des pâtes paléo. La farine de noix de coco ou la farine d’amandes sont pratiques de temps en temps, mais devraient faire partie du 20% occasionnel, de la zone grise.  Le noyau du paléo c’est une quantité généreuse de viande, de fruits et de légumes, frais et non transformés le plus possible. Chercher à tout prix à manger exactement comme avant, mais avec des aliments substituts, c’est manquer les fondements du concept paléo. Lire la suite →

Glucides et paléo : l’art de trouver l’équilibre

Plusieurs lectrices et lecteurs du blog m’ont récemment contacté pour me faire part de difficultés lors de leurs débuts avec le paléo : perte de masse grasse (poids) trop rapide, manque de « jus » lors d’activités sportives, sensation d’être fébrile, ou sans énergie.

Après quelques échanges, nous sommes venus à la conclusion que leurs difficultés proviennent d’une inadéquation entre la quantité de glucides consommée et le niveau d’activité.

Dans cet article nous abordons donc la question de la bonne quantité de glucides.

Le paléo, faible en glucides ?

Quand on fait un essai avec l’alimentation paléo, on retire soudainement ou progressivement de son assiette les céréales, les légumineuses et les produits transformés.

On supprime ainsi par la même occasion les principales sources de glucides d’une alimentation « normale ».

Chez la plupart des gens, cette suppression a pour effet immédiat d’enclencher un mécanisme de perte de masse grasse (et donc de poids). Lire la suite →

Menu Santé : la cuisson basse température donne du goût

Un rôti de bœuf cuit à très basse température est particulièrement tendre et savoureux. ©Phovoir

Après avoir laissé mijoter un bœuf bourguignon pendant des heures, la dégustation est un véritable… délice ! Eh bien sachez qu’il est possible de faire cuire ainsi à peu près n’importe quel aliment. Mais il est primordial de le faire à très basse température. Soit, globalement, entre 65°C à 80°C. Ainsi, non seulement les saveurs sont décuplées, mais le risque induit par la  est annulé. Les chefs de www.ma-cuisine-ma-sante.fr ont mijoté pour vous des recettes pleines de saveurs et de vitamines.

La cuisson à basse température est une méthode qui consiste à cuire les aliments en les maintenant de façon constante et longtemps entre 65°C à 80°C. De cette façon, la viande reste très tendre, juteuse et conserve ses qualités nutritives. « La cuisson à basse température permet de garder un maximum des vitamines et des sels minéraux », précise Philippe Baratte, chef et créateur du site Cuisine basse température. « La viande reste gorgée de son jus à l’intérieur, car l’eau contenue ne s’évapore pas. » Lire la suite →

Oui, on peut prévenir le cancer de la prostate !

Peu d’hommes et de médecins, spécialistes urologues comme généralistes, savent quelles sont les causes – elles sont multiples – du cancer de la prostate, dit aussi cancer prostatique.

Il faut dire que cela ne les intéresse pas outre mesure. Ils ont été formés dans toutes les facultés d’Europe pour faire des diagnostics et proposer les meilleurs traitements. La prévention qui était un des premiers soucis de la médecine chinoise il y a des millénaires semble ne pas faire partie de la mission du médecin et du chirurgien du XXIe siècle. C’est pourtant ce que le grand public attend avec une impatience grandissante. Lire la suite →